Retranscription des premières minutes du podcast :
- C'est un an avant, c'est un an avant, ouais.
- Sud Radio, la radio du rugby.
- Des millions, elle est charmante.
- Vous voyez ce que ça fait déjà ? Un million, l'Armina.
- Où est l'argent ? Où est l'argent ? En fait, je l'ai retiré de l'argent.
- Amis, ouvrez vos cœurs, n'en ayez pas peur, l'argent ne fait pas de bonheur.
- Shut up and take my money ! On va parler du club de Béziers ce soir, de l'ASB, de l'ASBH, c'est selon vous.
- Puisqu'il y a une nouvelle ère qui s'ouvre du côté de Béziers, on va en parler durant les 15 prochaines minutes avec Philippe Spanguero.
- Mais d'abord, on a un invité avec Philippe, c'est Robert Ménard.
- Bonsoir, monsieur le maire.
- Bonsoir, écoutez, je suis au stade et on s'apprête à jouer contre Dax.
- C'est pour ça qu'il y a un peu de monde autour de moi.
- Bienvenue sur Sud Radio, on a notre commentateur qui est en tribune, presque pas très loin de vous, Rémi Ruggiero.
- Juste un tout petit mot avant de rentrer dans cette chronique quand même.
- Il y a des conditions particulières météorologiques ce soir.
- Est-ce qu'il y a un risque qui entoure la rencontre, Robert Ménard ? Écoutez, on a eu une réunion autour de 15 heures avec les pompiers, le préfet, moi-même, les responsables du club et on a décidé que non, les risques n'étaient pas suffisamment graves pour annuler le match.
- Donc le match aura lieu ce soir.
- On préviendra au fur et à mesure les spectateurs, les gens qui sont ici, que s'il y a un problème, on l'arrêterait.
- Mais pour l'instant, tout devrait se passer normalement.
- Et on espère évidemment que tout aille pour le mieux.
- Robert Ménard, le club bitérois change de main, racheté par un consortium irlandais dont l'un des représentants est Andrew Mertens.
- Est-ce que c'est un soulagement pour la mairie de Béziers ? Parce qu'on sait que ces dernières années, il y a eu un sauvetage véritable de la municipalité.
- Ce n'est pas un soulagement, c'est une victoire.
- Il y a quatre ans, on a racheté ce club pour qu'il ne descende pas, notre club, pour qu'il ne descende pas en dessous, dans le fond des équipes, pour qu'il reste en pro D2.
- Et j'avais pris l'engagement qu'on le revendrait, puisque la ville n'a pas pour vocation d'être propriétaire du club.
- C'est exactement ce qu'on a fait.
- Et on est la seule ville en France, la seule ville qui a à un moment donné été propriétaire d'un club de rugby professionnel.
- C'est un sauvetage.
- Je trouve qu'on a pris des risques, mais c'est pris.
- Je suis ravi de les avoir pris.
- Pourquoi ? Parce qu'à Béziers, il est hors de question qu'on n'ait pas une équipe ou en pro D2 ou demain, je l'espère, en top 14 avec l'histoire de ce club.
- Oui, c'est un pari, mais c'est un pari gagné.
- Et je suis fier que la ville l'ait fait.
- Qu'est-ce que ce consortium...
Transcription générée par IA