Retranscription des premières minutes :
- Basile, votre application de recherche immobilière présente Sud Radio, Parlons Imo.
- Parlons Imo, votre rendez-vous 100% immobilier sur Sud Radio comme chaque dimanche d'habitude avec Sylvain Lévy-Valency.
- On embrasse le fondateur de Radio Imo, on est aussi aujourd'hui avec Bérénice de Villeflorio.
- Bonjour. Bonjour GM, c'est vrai que Sylvain est un peu souffrant, on l'embrasse.
- Oui, on l'embrasse très fort. Grégoire Darico est avec nous également.
- Bonjour Bérénice, bonjour à tous. Au programme aujourd'hui, Bérénice.
- Eh bien, on va parler du crédit hypothécaire, vous savez, Monopoly.
- Oui, exactement, ça me rappelle. Je ne sais pas quand on commence à perdre.
- Au Monopoly, si. Mais là, vous allez nous expliquer que justement, ce n'est pas quand on perd.
- Tout à fait. Et on sera avec Véronique Bougardier, la directrice du cabinet Bougardier qui nous propose le crédit hypothécaire.
- Bienvenue à vous. On va aussi répondre aux questions que nous posent nos auditeurs au 0826 300 300 sur le répondeur de Sud Radio.
- Et aujourd'hui, on parle de sous-location. Vous voulez soulouer votre logement ? Attention.
- Quels sont vos droits ? Vous nous le direz.
- On va aussi parler du chantier du siècle.
- Oui, et on sera avec Laurent Permas. On va vous parler de climatisation.
- On s'est dit qu'il commençait à faire chaud et donc c'était important de parler de la climatisation.
- Et après, on fera le tour de France des biens coups de cœur.
- On ira à Marseille parce qu'il faut aller à Marseille.
- Et après, on sortira de France, on ira aux Etats-Unis, à Dalton, dans l'Illinois.
- Parfait. Le rendez-vous est pris. Mais avant ça, on commence par les infos de la semaine à retenir.
- Eh oui, effondrement historique des ventes dans le 9.
- Tension maximale pour se loger quand on est étudiant. Je ne vous l'apprends pas.
- Et des cotes records.
- Pour les passoires thermiques.
- Oui, ça c'est important. On commence donc par cet effondrement historique.
- Eh oui, notamment dans l'investissement locatif.
- Vous le savez, la FPI, la Fédération des promoteurs immobiliers, tire la sonnette d'alarme depuis un petit moment.
- Eh bien, ça a continué cette semaine. L'offre locative s'effondre en cause.
- La fin brutale, vous le savez, du dispositif Pinel qui s'est terminé en décembre.
- Résultat, les ventes à des investisseurs particuliers, vous savez, c'est ceux qui veulent acheter un logement pour le mettre en location, eh bien, s'écroulent.
- 41% au premier trimestre 2025.
- Pourquoi c'est grave ? Parce que, vous l'avez compris, il y aura moins de logements disponibles pour les Français.
- Alors, les ventes aux propriétaires occupants, ceux qui achètent pour occuper, reprennent un tout petit peu plus 10%.
- Mais bon, c'est loin de compenser cette crise du logement.
- Pour les professionnels, la solution passe par un statut clair du bailleur privé que, en fait, les professionnels réclament au gouvernement de toute urgence.
- Autre frein majeur, l'effondrement des permis de construire.
- Il y aura un an des municipales.
- Vous savez, c'est les maires, en fait, qui accordent les permis de construire.
- Donc là, comme les maires veulent se faire élire, en gros...
- Oui, comme les chantiers, ça fait du désordre, ça change le paysage.
- En général, les maires deviennent beaucoup plus frileux en fin de mandat.
- C'est ça, toujours.
- Donc, la FPI appelle les élus à débloquer la situation.
- Et alors, autre phénomène inédit, le retrait des opérations immobilières.
- 26% des logements commercialisés sont retirés de la banque avant d'être construits.
- Je vous explique pourquoi, parce que j'ai demandé à Pascal Boulanger personnellement.
- En fait, pour lancer un changement.
- Pour lancer un changement entier, il faut environ 50% de logements réservés pour lancer les travaux.
- Et c'est pour que la banque suive.
- Et la banque, après, une fois qu'elle a dit OK, les travaux débutent.
- Mais aujourd'hui, les acheteurs ne sont pas au rendez-vous.
- Résultat, les programmes sont suspendus.
- Et même les clients rares qui s'étaient engagés finissent par se désister.
- Décidément, c'est un tableau bien sombre.
- On passe au logement étudiant, Macha Béhanis.
- Nouveau baromètre, c'est de plus en plus compliqué pour se loger aussi pour les étudiants.
- Décidément.
- Oui, c'est compliqué chaque année.
- Ça devient toujours plus compliqué.
- Ça, c'est assez dramatique.
- Donc, le logement étudiant est vraiment un marché sous...
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