Retranscription des premières minutes :
- Vous êtes un enseignant de judo, et je.
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- Former les futurs gendarmes, où j'ai vu, mais je vous parle de l'époque, vous n'étiez pas né Valérie, 78, ma classe 77, pardon, et si vous voulez, j'avais des gens qui sortaient du rural et qui n'étaient jamais sortis de leur maison, moi je pense que c'est une erreur de dire c'est un service pour les volontaires, ou c'est pour tout le monde, alors ça coûte 6 milliards, il faut voir avec son travail des casernes, mais moi je trouve qu'aujourd'hui, avec les teubés des réseaux sociaux, les influenceurs, d'avoir un vrai service militaire, de travailler sur l'accompagnement professionnel, et Fabrice le disait bien, de mélanger le gamin qui fait de la médecine et celui de la cité Valérie.
- Mais ça c'est plus possible aujourd'hui, il n'y a plus les casernes, il n'y a plus l'encadrement.
- Mais s'il y a pas des casernes, on trouvera des lieux, vous imaginez quand le gamin se lève à 6h du matin, footing pour tout le monde, enfin quand même, on a une jeunesse exceptionnelle, on n'a pas qu'une jeunesse qui rouille au bas des immeubles, il faut la mélanger.
- Exactement, il faut leur apprendre les valeurs, le respect, la communauté, enfin quand vous êtes à 26 dans un dortoir, vous apprenez à vivre ensemble.
- Exactement.
- C'est-à-dire qu'il faut bien comprendre que les attaques, elles sont très diverses, c'est-à-dire qu'on le voit par exemple, je vais reprendre l'histoire des réseaux sociaux, où vous avez des armées de trolls russes, et là maintenant qu'on peut voir où sont positionnés, si vous voulez, sur X, ancien Twitter, vous pouvez voir maintenant où sont positionnés les comptes.
- Moi j'ai déjà eu des avalanches, notamment sur le pass vaccinal, où moi j'en étais défendeur, défendresse, c'est-à-dire que vous avez des milliers de trolls russes qui vont vous attaquer.
- Mais ça déstabilise quand même, parce que ça amène un contexte, ça pose des positionnements, ça radicalise une société, donc il n'y a que ça.
- Mais ne vous doutez pas quand même que si la Russie voulait attaquer, quel que soit le pays qu'elle veut attaquer, elle a de quoi faire.
- Mais monsieur le député ex-Renaissance ou ex-député Renaissance, je ne sais plus comment vous dire, qui connaissait bien Mme Macron, qu'est-ce que vous pensez de ma petite analyse ? Moi je pense que vous avez raison sur une partie, sur une partie, cher ami.
- Parce qu'en même temps j'ai tort, c'est ça le principe de la Renaissance.
- Vous avez raison sur la même temps.
- Pour garder la paix, il faut préparer la guerre.
- Donc je pense qu'il fallait que la France dise aussi, via l'OTAN, en disant aux Russes, faites attention, si vous passez les limites, nous serons contre vous.
- C'est le premier point.
- Et le deuxième point, effectivement, je pense que c'est un calcul aussi politique pour dire aux Français, vous avez besoin d'avoir des femmes et des hommes qui connaissent les choses, et peut-être qu'avoir un jeune de 30 ans où il y a eu, c'est vrai, des financements de banques russes, mais moi je pense de le dire, parce que la France ne voulait pas financer le parti.
- Enfin, pardonnez-moi, mais le président de la République, quand il est arrivé au pouvoir, il n'y connaissait rien.
- D'ailleurs je me demande s'il y connaît encore grand-chose, je ne suis pas français, mais bon.
- Il est arrivé, il avait 41 ans, il n'avait jamais été élu nulle part.
- Justement, c'est une question.
- Est-ce que vous seriez prêt à voter pour Jordan Bardella ? La question de l'âge, il a 30 ans.
- Est-ce que c'est une question qu'il faut prendre en compte ? 0826 300 300, on vous attend sur ce sujet.
- Donc sondage d'Oxa, Jordan Bardella, élu président, quel que soit l'adversaire au second tour, le chiffre le plus parlant est celui contre Mélenchon.
- 74%, 26% pour Mélenchon.
- C'est bon, voilà.
- Au second tour, il l'emporterait face à Édouard Philippe, 53% contre 47% pour l'ancien Premier ministre.
- Et...
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