Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile Dominibus, Philippe David.
- Chers amis, vous avez demandé les Vraies Voix, ne quittez pas, on vous les passe directement dans un instant.
- Avant tout, on vous souhaite la bienvenue avec Philippe David.
- Bonsoir Cécile.
- Bonsoir Philippe.
- Comment allez-vous ? Comment allez-vous Philippe ? Ben je vous ai déjà posé la question en premier.
- Oui, absolument.
- Moi ça va bien et vous ? On est content de vous retrouver.
- C'est toujours un plaisir en tout cas d'ouvrir ce micro avec vous, avec notre équipe formidable qu'on salue toujours à la fin, mais rarement au début.
- Donc on commence à les saluer avec Aude, au standard bien entendu, et notre réalisateur extraordinaire Maxime, 0826 300 300.
- Vous savez que vous pouvez nous retrouver sur Twitter, Facebook, Instagram, TikTok, un peu partout sur la chaîne YouTube aussi, en podcast, je vous le rappelle.
- Et puis avec nos Vraies Voix du jour, Sébastien Ménard est là, éditorialiste et patron de Presse Libye.
- Et entrepreneur dans la foodtech.
- Bonsoir Sébastien Ménard.
- Bonsoir à tous.
- Joseph Touvenel est avec nous, vice-président du Centre Européen des Travailleurs et ancien vice-président de la CFTC.
- Bonsoir.
- J'étais ravi de vous voir en rentrant dans le studio.
- Vous aviez le plumeau à la main, l'aspirateur dans l'autre main.
- Je nettoie le studio avant d'arriver.
- Si mon épouse m'écoute, bien un exemple.
- C'est sa vision moderne du féminisme.
- Je pense qu'il va se faire casser la figure en s'entendant du studio.
- Le masculin.
- Le masculinisme toxique en une phrase.
- Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu.
- C'est pour ça que Bruno Rousseau est avec la radio.
- Voilà, bam.
- Allez, le sommaire de cette émission, à l'heure où la France traverse cette crise de confiance, la figure présidentielle se trouve plus que jamais critiquée, Philippe.
- Et oui, à cette question du jour, je préviens déjà, peut-on aller chercher le défibrillateur pour Sébastien Ménard ? À cette question, Macron est-il le pire président de la Ve République ? Vous dites oui à 97%.
- Vous voulez réagir, le 0826, 300, 300, oui.
- 700 ans.
- Elle est d'Alain Minc, portant Macroniste de la première heure.
- Est-ce que ce n'est pas le coup de grâce, d'ailleurs, au bilan d'Emmanuel Macron, cette phrase d'Alain Minc ? On attend vos appels au 0826, 300, 300.
- Et puis, quelques heures après l'annonce d'un accord et d'un cessez-le-feu et la libération des otages entre Israël et Hamas, Benjamin Netanyahou estime que Donald Trump mérite le prix Nobel de la paix.
- Alors, à cette question, accord de paix, libération des otages, Trump mérite-t-il le prix Nobel de la paix ? Vous dites oui à 77%.
- Et moi, je le dis, on l'a donné à Obama pour beaucoup moins que ça.
- Donc, pourquoi pas le donner à Trump ? Calmez-vous, Sébastien Ménard. On revient dans un instant tout de suite.
- Le grand débat du jour.
- Ce n'est pas le moment de changer de président de la République parce que, par définition, la parole de la France à l'étranger, et heureusement avec l'instabilité gouvernementale que nous connaissons depuis un an, le visage à l'étranger, c'est le président de la République.
- Et donc, cette stabilité, et je ne parle pas de sa personne, parce que vous connaissez la loyauté que j'ai pour sa personne.
- Néanmoins, pardon, mais je parle moi de sa fonction.
- Et donc, cette institution présidentielle, elle doit être protégée et préservée.
- Les Vraies Voix Sud Radio.
- Et pour en parler, bien entendu, nos Vraies Voix du jour, on va commencer par peut-être celui qui va défendre le président de la République, Sébastien Ménard.
- Impopularité record aujourd'hui, avec des dettes qui s'envolent, une instabilité politique qui progresse chaque jour.
- Est-ce que, franchement, Emmanuel Macron, peut avoir encore des avis positifs aujourd'hui ? Des avis positifs ? Ne levez pas les yeux quand je vous pose cette question.
- Ça m'agace.
- Et puis, je n'ai pas deux heures pour vous convaincre.
- De toute façon, ça ne suffirait pas, a priori.
- Non, non, ce n'est pas moi qu'il faut convaincre.
- Surtout qu'on termine l'émission dans 1h54.
- Non, mais on a...
- Moi, je suis apolitique, vous le savez.
- On a une crise et institutionnelle, un peu, et politique...
Transcription générée par IA