Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile Dominibus, Philippe David.
- Quel plaisir de vous retrouver encore aujourd'hui à partir de 18h jusqu'à 20h avec Philippe David.
- Ça va Cécile ? Oui ça va bien.
- En pleine forme.
- Avec autour de nous Françoise Degoy est avec nous, éditorialiste Sud Radio.
- Bonsoir.
- Coucou ma chère, coucou les amis.
- Bruno Pomard, ancien membre du RAID et maire de Belleflou dans l'Aude.
- Bonsoir les amis, je suis très content encore de partager ce moment avec Madame Degoy parce que je sais que...
- J'ai été forcée à dire...
- J'ai dit les amis, j'ai fait un truc générique.
- Oui, oui, c'est pour ça que j'ai senti une petite pique.
- Non, nous étions exclus mon cher Bruno.
- Et les amis, je souhaitais officiellement souhaiter un très bon anniversaire à notre Maxime qui a fêté son anniversaire samedi.
- Merci beaucoup les Vraies Voix.
- Mais il n'était pas là hier donc...
- Je tiens à rappeler qu'il a fêté son anniversaire samedi, il lui a fallu deux jours pour revenir.
- Je dis ça, je dis rien.
- C'est comme les fêtes dans...
- C'est comme les fêtes dans la police, vous pouvez demander à Bruno Pommard.
- 30 ans ? 30 ans tout pile.
- Et vous me dites ça en me regardant dans les yeux, 30 ans ? Oui, exactement.
- D'accord, ok, très bien.
- Je ne vous parle plus pendant au moins deux jours.
- D'ailleurs, on retire le souhait d'anniversaire.
- On annule, on annule.
- On redémarre depuis le début.
- On te souhaite un très mauvais anniversaire, une très mauvaise année.
- Voilà, non, tout cas.
- Vous voulez savoir ce que j'ai fait la semaine dernière, non ? Ça ne vous intéresse pas ? Super.
- Non mais vous êtes cru...
- Non, je ne sais pas, non, non.
- Je voulais juste vous faire partager ce moment à tout le monde.
- Écoutez, j'étais à la réunion finalement.
- Mais vous savez, à la pause, à la pause, vous passez un coup de fil et vous le partagez avec qui vous voudrez.
- Allez, les amis, le sommaire de cette émission, on va revenir sur cette labellisation qu'a proposée le président de la République, Philippe.
- Et on vous pose cette question, une labellisation.
- Estimez-vous qu'il y a, pardon, une dérive des médias ? Eh bien, vous dites oui à 61%.
- Vous voulez réagir, le 0, 826, 300, 300.
- Et on attend bien évidemment aux appels.
- Que vous soyez pour ou contre.
- On attend vos témoignages.
- Et à partir de 19h jusqu'à 19h30, Alan Brunon, tête de liste et fille de la mairie de Grenoble, va réagir en direct face à Philippe David à la suite de son coup de gueule de la semaine dernière.
- Oui, j'avais fait un coup de gueule lundi dernier où j'avais dit, j'avais fortement critiqué son propos.
- Il avait dit, mon équipe n'aura pas vocation à faire la chasse aux dealers.
- Il a demandé un débat pour se défendre.
- Eh bien, on a dit oui parce qu'on n'est pas du genre à reculer sur Sud Radio.
- Et quand on fait un coup de gueule, c'est que...
- Quand je fais un coup de gueule, pardon.
- C'est que je le pense fondamentalement, je l'assume et je le défends.
- Et ça dépend.
- Ce qui va bien, c'est que sur nos murs, il y a marqué...
- Parlons vrai.
- Allez, soyez les bienvenus.
- Tout de suite, le grand débat.
- Emmanuel Macron assure donc n'avoir jamais évoqué la création d'un label d'État ni d'un ministère de la vérité.
- Avec cette question des jours, estimez-vous qu'il y a une dérive des médias ? 0, 826, 300, 300.
- Et c'est Zach qui vous attend, bien entendu.
- Françoise Degoy.
- Écoutez, moi j'entends la défense de l'Élysée.
- Je ne pense pas qu'Emmanuel Macron va commencer une carrière de dictateur.
- Moi, je ne suis absolument pas dans cette idée qu'il veut un ministère de la vérité et de l'information.
- Le problème n'est pas là.
- Le problème, c'est qu'à partir du moment où Emmanuel Macron met un doigt sur ce sujet, ça prête de toute façon à confusion.
- Et il le sait très bien.
- Et en plus de ça...
- Est-ce que c'est son rôle déjà ? Ce n'est le rôle d'aucun président.
- Je vous le dis...
Transcription générée par IA