Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile Dominibus, Philippe David.
- Chers amis, on vous souhaite la bienvenue, on est très heureux de vous accompagner jusqu'à 20h avec Philippe David.
- That's very American.
- Oui, parce que nous avons parlé de l'international.
- Oh, that's great.
- Yeah, yeah, yeah.
- Mrs. Dominibus.
- Yes, yes, Mrs. Dominibus.
- Cécilia, ça vous va bien, je trouve.
- Cécilia, ouais.
- Ça rappelle une chanson, vous savez.
- Ça rappelle une première dame, surtout.
- Ah oui, absolument.
- Vous n'êtes pas aux Etats-Unis en France.
- Oui, oui, je ne suis pas.
- Je tiens à vous le signaler.
- Vous pourriez.
- Oui.
- Mais même être présidente, moi je dis.
- Mais puis-je choisir mon mari ? Parce que là, c'est possible ? Ah oui.
- D'accord, ok.
- Ok, donc vous pouvez nous rejoindre un petit peu partout, sur Twitter, sur Facebook, sur Instagram, sur TikTok, cette plateforme d'opinion et de débat.
- Et bien entendu, vous abonner à notre chaîne YouTube si ça n'est pas déjà fait.
- Et on est ravis de vous accueillir et d'accueillir Françoise Deloye qui est avec nous.
- Coucou les amis, coucou, coucou.
- Ça va, Fanfan ? Ça va, la Fanfan va bien.
- Il l'a mis.
- Moi, je suis très contente surtout de voir Cécile de Mélibus.
- Ça, ça ne m'étonne pas de vous.
- En vrai, de la voir enchaîner en or.
- De lui, j'ai dit qu'elle était prête à aller à la soupe pour un poste au gouvernement.
- Elle n'a pas appris.
- La méchanceté.
- Pour votre dos, Françoise.
- Non, mais lui, il fait des trucs dans le dos et après, il va t'expliquer.
- Voilà ce que j'ai dit dans ton dos.
- Qu'est-ce que ça fait dans le dos ? Non, je l'ai fait au micro, mais c'est pas grave.
- Sans lui donner de droit de réponse.
- C'est délireux.
- Ah là là.
- Et nous, nous ne sommes pas seuls parce que Pierre-Yves Martin est avec nous.
- Expert.
- Consultant en entreprise.
- Oui, consultant.
- Consultant en rien du tout.
- Ben non, on a un consultant en entreprise.
- Entrepreneur.
- Bonjour, en tout cas, moi aussi, je suis très content.
- Je peux poser une question ? Quelle est la nature de ce bronzage insolent encore ? Je rappelle qu'on est quand même le 30 septembre.
- C'est parce que dimanche midi, il faisait super beau et c'est déjeuné.
- Sur ma terrasse, oui.
- Non, non, dans un jardin en Bretagne.
- J'ai tout le corps.
- Je vous fais une question.
- Petite proposition.
- On fait l'émission et vous parlez de votre vie privée à la machine à café.
- Très bonne question de Françoise, c'est tout.
- Voilà, c'est ça.
- Allez, merci beaucoup, Françoise.
- Je commençais à dire tout le corps, j'étais inquiet.
- Et on va revenir tout de suite sur un sujet très important puisque l'Ordre des médecins a recensé une hausse des violences de 26% par an.
- Et c'est tout de suite le Grand Débat.
- Le 25 novembre dernier, il y a un patient qui est rentré dans mon cabinet vers 16h30.
- Il est rentré en prétextant des problèmes.
- Le remboursement de la consultation de sa maman.
- Je me penche pour regarder, au fait, sur son portable.
- Et là, il m'a asséné un coup de tête qui m'a fracturé le nez, très plus fracture du nez.
- Donc, j'ai eu 15 jours d'ITT, 3 mois d'arrêt de travail.
- Je suis toujours sous antidépresseur depuis presque un an.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Et donc, c'est le témoignage du médecin de Drancy qui connaissait ce...
- Il a connu ce jeune garçon qui a 22 ans.
- Quand il avait 6 ans.
- Et il est venu lui casser le nez pour un espèce de petit différent.
- Et à cette question, faut-il la tolérance zéro pour les agresseurs de personnels médicaux ? Vous dites oui à 95%.
- Vous voulez réagir le 0826-300-300 ? Et pourquoi pas des prênes de prison systématiques pour les agresseurs ? Dites-le nous, encore au 0826-300-300.
- Françoise.
- C'est insupportable.
- Moi, je pense, qui sont les 5% qui ne sont pas d'accord avec cette idée ? Des gens qui...
- Je comprends l'idée qu'on ne puisse pas...
- Comment dirais-je ? Rentrer dans une société qui serait tout sécuritaire.
- Mais là, écoutez, on parle de gens qui sauvent la vie des autres, quand...
Transcription générée par IA