Retranscription des premières minutes :
- Les vraies voix sud radio, 18h20, Cécile Doménibus, Philippe David.
- Bonjour, bienvenue, on est ravis de vous accueillir. Bonjour Philippe David.
- Bonjour Cécile, ou plutôt bonsoir Cécile Doménibus à 18h04.
- Faites-moi un bon bonsoir.
- Bonsoir mesdames, bonsoir mesdemoiselles, bonsoir messieurs. Au revoir.
- Samuel Botton est avec nous, expert en communication chez Step Conseil.
- Faites-moi un beau bonsoir.
- Bonsoir.
- On n'est pas encore sur la radio-livre, c'est ça ? Pas mal, pas mal.
- Éric Revelle, journaliste et écrivain, auteur de ces mots-là qu'on assassine aux éditions Ellipse.
- Mon cher Éric Revelle, bonsoir. Comment vous diriez-vous bonsoir ? Bonsoir.
- J'étais mis Gainsbourg, mis Strauss-Kahn.
- Ah oui, moi j'ai pensé, je vous ai vu en Strauss-Kahn là.
- Je ne sais pas pourquoi vous aviez...
- C'est l'économie.
- C'est ça, bah oui, le docteur en économie.
- Il a été mon prof d'économie.
- C'est l'économie internationale, Dominique Strauss-Kahn.
- Ah oui, d'accord.
- À Paris-Distantère, à l'époque.
- Allez, refaites-moi un bonsoir dynamique.
- Bonsoir.
- Ça me fait peur.
- Dynamique, c'est dynamique.
- Oui, c'est dynamique.
- Ça fait peur.
- Très dynamique, bravo.
- Au sommaire de cette émission, après des années d'hésitation et de lignes rouges jamais clarifiées, la France se retrouve aujourd'hui donc au pied du mur face au traité européen du Mercosur, surtout que le président brésilien, Lula, vient de dire que si le traité n'était pas signé, il ne serait pas signé, en tout cas sous sa présidence qui se termine en 2026.
- Et on vous pose cette question.
- Mercosur, la France est-elle en train de payer son inaction ? Vous dites oui à 99%.
- Vous voulez réagir.
- Le 0,826, 300, 300.
- Et moi, je pense qu'il aurait fallu taper du poing sur la table bien plus tôt, dire que c'était inacceptable, quitte à aller à la crise, faire la politude de la chaise vide, mais n'est pas le général de Gaulle.
- Et puis la question du soir, toujours sur l'agriculture, à l'heure où plusieurs États membres s'opposent frontalement à l'accord, une signature ferait éclater au grand jour les fractures politiques, agricoles et commerciales de l'Union.
- Et on vous pose une question.
- Va-t-on vers une crise européenne en cas de signature du Mercosur ? Et vous êtes 93% à dire oui.
- Vous voulez réagir, encore et toujours, le 0,826, 300, 300.
- Et à mon avis, cette crise risque d'être multiple.
- Au niveau des agriculteurs, une bronca européenne, une protesta européenne dans les rues, avec les nations pour et contre, et même envers les partis politiques européens, ceux qui sont pour et ceux qui sont contre.
- 0,826, 300, 300, dans un instant, juste avant, un petit cadeau.
- Ah, le sapin de Noël, Sud Radio.
- Alors, vous allez pouvoir gagner une mesure 1m80 de haut et de large.
- C'est mon co-animateur.
- C'est un cube, alors, 1m80, 1m80.
- Je voulais vous offrir, Philippe, parce que je pense que ce serait un très joli, cadeau de Noël, mais on a encore mieux que vous.
- Ah bah oui, c'est pas difficile.
- Le cadeau du jour, ce sont deux forfaits de ski pour la station Péragude.
- Et ça, on adore Péragude, c'est la station de ski des départements des Hautes-Pyrenées et de la Haute-Garonne, avec un domaine skiable, je le rappelle, de 51 pistes.
- Et ça, c'est canon.
- Alors, si vous voulez dévaler les pistes cette année, c'est facile, vous envoyez sapin, c'est ça ? Absolument.
- S-A-P-I-N, et vous l'envoyez à ce numéro 7-20-18.
- Et vous serez sans doute...
- J'ai pas fini.
- Vous serez sans doute tiré au sort.
- C'est ça, exactement.
- Et vous passerez à l'antenne.
- En fin d'émission.
- Voilà, c'est ça, donc j'avais pas fini.
- Oui, mais c'était tout bon quand même.
- Assez époude, d'accord.
- Je peux vous proposer un deal, comme vous vouliez me faire gagner aussi.
- Moi, j'ai déjà skié à Péragude, les pistes sont magnifiques.
- Je skie avec le vainqueur ou la gagnante, et on va boire un vin chaud après, avant d'avoir travaillé le planté de bâton.
- Le planté de bâton, monsieur Duss.
- Soyez les bienvenus, on est ensemble jusqu'à 19h30.
- La signature de l'accord du Mercosur, c'est la fin de l'élevage français-européen.
- La fin.
- C'est terminé.
- Dans un mois, il disparaît.
- La France, aujourd'hui, ne signerait pas en l'état ce traité Mercosur.
- Nous ne croyons pas...
Transcription générée par IA