Retranscription des premières minutes :
- Les vraies voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile de Ménibus.
- Et s'il y a de la bourrasque dans notre ciel, cette table aujourd'hui, je pense que ce sera la tempête.
- En tout cas, on vous souhaite la bienvenue, on est ravis de vous accueillir en ce 30 décembre.
- Voilà, c'est bientôt fini cette année.
- Donc on va essayer de la finir en beauté avec autour de cette table Philippe Bilger.
- Encore vous Philippe Bilger, mais c'est bien ! Mais grâce à vous, ma chère Cécile, je ne pouvais pas rêver d'être un lecteur de plus haut niveau.
- Et notamment Françoise que je retrouve avec beaucoup de plaisir.
- Absolument, Françoise Degoy à côté de vous. Ça va Françoise ? Je suis tellement heureuse. Alors je l'ai vue arriver dans le hall de la radio parce qu'on savait que pour les gens qui ne savent pas, on est installé.
- Vraiment, c'est super chic ici.
- C'est très beau.
- C'est très beau. Et alors il y a un monsieur très élégant qui est arrivé avec son pare-dessus, son chapeau.
- Très chic avec sa...
- Avec sa sacoche. T'as l'impression qu'il part au palais de justice.
- Tu vois, qu'il va mettre sa robe en loutre avec sa toque, etc.
- Et bien ça m'a fait tellement plaisir de voir Philippe Bilger.
- Ce n'était que moi.
- Et c'était lui, c'était chic et c'était super.
- Et vous auriez dû croiser aussi Joseph Touvenel qui est avec nous, vice-président du Centre européen des travailleurs et ancien vice-président de la CFTC.
- Bonsoir.
- Bonsoir, je n'ai croisé personne.
- Ah oui, ah oui.
- Je vais ressortir pour faire une nouvelle entrée.
- J'étais à l'arrivée avant, tu sais.
- Vous n'êtes même pas un croisé, je vous laisse.
- Et notre chouchou aussi parmi les chouchous, Bruno Comarque qui est avec nous, ancien membre du RAID et maire de Belleflou.
- Bonsoir, monsieur Comarque.
- Tu peux me dire le maire.
- Monsieur le maire.
- Et je vois qu'il y a une très belle tablée.
- Oui.
- Avec les gens de gauche.
- Oui.
- Les médicalistes de gauche, c'est toujours de gauche.
- Non, non, non, c'est ça.
- François, c'est évidemment de gauche aussi.
- Éternellement, définitivement.
- Et Philippe Bilger, plutôt droite.
- Non, mais Bruno Comarque, moi je ne sais pas parce qu'il y a un truc qui ne va pas du tout.
- Pourquoi avez-vous enlevé votre magnifique doudoune ? Je voudrais qu'on la voit à l'antenne parce que franchement, j'ai failli être aveugle.
- Alors, à la décharge de Françoise, si vous voulez régler les couleurs de votre téléviseur, vous pouvez effectivement la remettre.
- Je vais la chercher.
- Les amis, cette petite tablée, on vous souhaite la bienvenue.
- Merci d'être avec nous.
- Je ne sais pas si vous êtes en vacances ou encore au travail.
- En tout cas.
- C'est un bonheur de vous accueillir jusqu'à 20h.
- Allez, au sommaire de cette émission, c'était le choix du président de la République.
- Un hommage national à Brigitte Bardot.
- Sa famille a dit non et cette idée avait divisé à droite.
- On le réclamait.
- Pétition à l'appui et à gauche.
- C'était non en raison des propos jugés racistes et homophobes.
- Alors, cette question, faut-il un hommage national à Brigitte Bardot ? Pour l'instant, vous dites oui à 68%.
- Donc, c'est assez divisé.
- Et puis, la question du soir pour le réveillon.
- 90 000 policiers et gendarmes sont mobilisés.
- 10 000 rien qu'à Paris autour des grands objectifs.
- Et le ministre de l'Intérieur promet justement réactivité et fermeté.
- Il faut contenir les violences et éviter les débordements pour cette Saint-Sylvestre et qu'elle soit en sécurité.
- Craignez-vous des dégradations et des violences pour la Saint-Sylvestre ? Pour l'instant, vous dites oui à 89%.
- En tout cas, on a envie de vous entendre.
- Ce numéro 0826 300 300.
- Et c'est Aude qui nous accompagne jusqu'à 19h30.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Sur la plage abandonnée, coquillage écrustacé.
- Ça donne envie de se déshabiller, vous trouvez pas ? Non, je plaisante.
- Il ne vous reste pas grand-chose, M. Pomar.
- Bref, ce numéro de téléphone 0826 300 300, c'est Émilie qui est avec nous, qui nous appelle de Chalon-sur-Saône.
- Bonsoir, Émilie.
- Bienvenue.
- Bienvenue sur Sud Radio.
- Émilie, quel est votre avis ? Sur cet hommage qui aurait pu être rendu...
Transcription générée par IA