Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-20h, Frédéric Brindel, Judith Bélair.
- Bonjour les amis et bienvenue dans cette dernière semaine des Vraies Voix de l'été avec vous mon cher Frédéric Brindel, avant de vous retrouver fin août.
- Bonjour Judith Bélair, je maintiendrai le cap, c'est promis.
- Bonjour à tous, profitons ensemble de cette fin de juillet si vous voulez danser le papillon, enfin nager le papillon.
- Oui parce que c'est un nouveau concept.
- Allez aujourd'hui comme tous les jours de 17h à 19h, vous pouvez réagir à ce que vous entendez à l'antenne de Sud Radio dans les Vraies Voix, il y a vrai.
- Et tout ça c'est possible grâce à vous et votre authenticité, bienvenue à la maison.
- Qu'avons-nous concocté pour débattre en passionné et en éclairé, Judith ? Notre grand débat à 17h30, l'Europe souffle mais ne jubile pas.
- Hier soir, Donald Trump et Ursula von der Leyen ont signé un accord commercial de dernière minute entre les Etats-Unis et l'Union Européenne.
- Objectif, éviter une guerre douanière qui menaçait de s'enflammer dès le 1er août.
- Résultat, 15% de taxes sur les produits européens à l'entrée du marché américain.
- Au lieu des 30%, redouté, un compromis qualifié de bon accord par Bruxelles mais jugé déséquilibré par Paris et Berlin car pas de taxes équivalentes en retour sur les produits américains sauf exception dans l'aéronautique.
- En échange, l'UE promet aussi 750 milliards d'achats d'énergie et 600 milliards d'investissements supplémentaires outre-Atlantique.
- Alors simple trêve ou recul stratégique face à un partenaire devenu imprévisible, on se pose la question.
- Ursula von der Leyen semblait soulagée.
- Donald Trump, lui, rassasié.
- Au détour d'un green écossais brexité, la patronne de l'Europe a concédé un triplement des droits de douane sur la plupart des exportations des entreprises européennes vers les Etats-Unis.
- Donald Trump avait menacé un taux à 50%, puis 30%.
- L'Europe obtient un 15%.
- C'est comme au souk, on commence très haut pour finir haut.
- Nous vous posons la question sur le compte X.
- L'Europe est-elle impuissante face aux Etats-Unis ? Répondez sur le compte X de Sud Radio et au 0826 300 300.
- Et puis notre coup de projecteur à 18h40.
- Nouvelle zone de turbulence pour les Républicains qui se retrouvent une fois de plus confrontés.
- Une crise interne.
- Ce lundi, la Commission nationale d'investiture doit trancher entre Michel Barnier et Rachida Dati pour la législative partielle à Paris.
- Le premier bénéficie du soutien officiel de la direction, tandis que la seconde fait planer le doute sur sa candidature.
- Ce duel révèle des ambitions personnelles fortes et des tensions persistantes au sein du parti.
- Rachida Dati, qui nourrit des projets pour la mairie de Paris, critique la stratégie de Barnier.
- Michel Barnier, pour sa part, veut affirmer sa place et son influence politique.
- Pendant ce temps, la gauche espère profiter des divisions pour s'imposer dans une circonstance.
- Une description historiquement ancrée à droite.
- Le duel semble poindre à l'horizon, pas celui d'Edouard Philippe, celui de la droite historique parisienne.
- D'un côté, Rachida Dati, rattrapée par la justice et le macronisme.
- La plus fidèle opposante, Dan Hidalgo.
- De l'autre, l'ancêtre du parti gaulliste, Premier ministre malheureux, savoyard historique, Michel Barnier.
- Lequel de ces deux candidats vous semble le plus légitime pour LR à la mairie de Paris ? Un, Michel Barnier. Deux, Rachida Dati.
- Ou trois, parce qu'il...
- Il est possible que vous votiez pour celui-ci.
- Aucun des deux. Dites-nous tout.
- Voilà, vous votez sur X et vous donnez votre avis au 0800 26 300 300.
- Vous le savez, Aude vous attend au standard.
- Et nos éditorialistes du jour.
- Les vraies voix sud radio.
- Nous sommes avec le cher Jean Dorido.
- Ça fait bien longtemps qu'on vous a pas lu.
- Bonjour les amis.
- Mais oui, mais oui, quelle joie de vous retrouver.
- J'allais mal, j'avais besoin de vous parler.
- Les gens s'excitaient dans le studio.
- On avait besoin de vous, Jean.
- C'était pas hier, ça.
- C'était la semaine dernière.
- C'était je ne sais plus.
- On a oublié déjà.
- Donc Jean, vous êtes docteur en psychologie et spécialiste de l'aide au sevrage tabagique.
- Des fumeurs ont besoin d'aide.
- Oui, et moi aussi du coup.
- Voilà, ça c'est dit.
- Et puis, alors, une des valeurs...
Transcription générée par IA