Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, la vérité en face, Jean-François Akili.
- Jean-François Akili et vous, vous le savez, au 0826 300 300. Bonjour Jean-François.
- Bonjour à vous Benjamin. Est-ce que vous avez entendu les infos de Laurie Leclerc ? Est-ce que ça vous fait peur ? Donald Trump qui ordonne la reprise immédiate des essais d'armes nucléaires américaines, annonce, faite un peu avant sa rencontre avec Xi Jinping, au moment où Poutine le défie, avec un drone sous-marin à capacité nucléaire. Nous vous voici revenus aux joyeuses heures de la guerre froide.
- Est-ce que cela vous inquiète, 0826 300 300 ? La France qui devient une société décadente, qui a oublié la valeur travail.
- C'est ce que dit Carlos Tavares. Est-ce que le travailler plus pour gagner plus se transforme peu à peu en travailler trop pour gagner moins, voire rien du tout ? C'est la question qui est posée à 9h30 dans notre débat.
- Ne vous ratez pas. Avec Antoine Fouché qui préside le cabinet Quintet Conseil, auteur de cet essai sortir du travail qui ne paie plus aux déditions de l'aube.
- Vous nous appelez, vous témoignez sur la réalité du monde du travail, les difficultés aujourd'hui, ces salaires qui n'augmentent jamais et ces charges qui font que les entreprises souffrent aujourd'hui.
- 0826 300 300, la vérité en face sur Sud Radio.
- Quand un vote peut se transformer ? En piège. La journée s'annonce difficile pour les députés de la droite et du centre, alors que les discussions budgétaires, vous le savez, n'en finissent pas de s'étirer jour après jour, au point de se demander si tout cela ne va pas finir dans le mur de la censure.
- Ce jeudi sera consacré à une niche, une niche parlementaire, celle du Rassemblement National qui va présenter deux textes qui auront valeur de test.
- Le premier propose de réviser l'accord franco-algérien de 1968.
- Edouard Philippe l'avait réclamé.
- Horizon pourrait donc le voter, tout comme les Républicains.
- Bruno Retailleau y est favorable, il l'avait affirmé lorsqu'il occupait la place Beauvau.
- Mais ce sera plus compliqué pour EPR, même si Gabriel Hottal a appelé lui aussi à dénoncer cet accord.
- Certains députés macronistes risquent d'avoir piscine aujourd'hui.
- Laurent Nunez, le ministre de l'Intérieur, n'a-t-il pas récemment déclaré, contrairement à son prédécesseur, que cette renégociation n'était pas à l'ordre du jour ? L'autre texte propose...
- ...le rétablissement du délit de séjour irrégulier qui sanctionne la présence illégale d'étrangers sur le territoire national.
- Vous savez, elle a été supprimée par François Hollande en 2012.
- Là encore, la droite réclame.
- LR et Horizon sont donc mises doublement au pied du mur.
- Façon pour le Rassemblement National de littéralement piéger la droite, la mettre face à ses responsabilités.
- Même si Marine Le Pen se revendique toujours ni de droite ni de gauche, le vote de l'un des deux textes qu'elle soutient, voire même les deux, serait une première pour la chef de file des députés RN.
- La niche pourrait alors se transformer en un hangar électoral avant les prochains rendez-vous dans les urnes.
- Bienvenue dans La Vérité en Face.
- Le Grand Matin Sud Radio, La Vérité en Face, Jean-François Aquili.
- Nous sommes avec vous, Samy. Bonjour, Samy.
- Bonjour, François.
- Vous êtes à Mitry-Morient, région parisienne, Samy.
- Qu'est-ce que vous pensez, vous, de cette disposition qui fait l'objet d'un vote au travers de la niche RN aujourd'hui ? Je parle de celle du délit de séjour irrégulier.
- Moi, je suis favorable. Il est temps, en fait, d'arrêter cet accord.
- Parce qu'on voit bien que l'Algérie, la France, ça ne va pas.
- Parce que c'est que dans un sens. On n'a pas de retour positif.
- Les EQTF ne rentrent pas chez eux. Ils ne sont pas acceptés par le régime algérien.
- Il n'y a rien qui va. Donc, je ne sais pas ce qu'on attend pour rompre tous les accords d'Alger.
- C'est plus qu'important.
- C'est urgent parce que là, on voit que les Algériens jouent avec ça.
- Et ils nous tiennent limite avec ça.
- Donc, du coup, je ne sais pas ce qu'on attend. Et c'est vraiment plus qu'urgent.
- Alors, vous êtes sur l'accord franco-algérien de 1968. Vous avez vu cet accord.
- Eh bien, la révision réclamée...
Transcription générée par IA