Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio. La vérité en face. Jean-François Achilli.
- La vérité en face. Que va-t-il se passer aujourd'hui ? Est-ce qu'il va y avoir un gouvernement ? Est-ce qu'il va y avoir une dissolution ? Est-ce qu'il va y avoir une annonce de démission ? Est-ce qu'il va y avoir une annonce de référendum ou autre chose ? J'en sais rien, moi, Jean-François Achilli.
- Vous avez tout dit. C'est la question qui domine tout aujourd'hui dans l'actualité.
- Vous avez entendu les propos d'Edouard Philippe ce matin qui demande au président de partir après le vote du budget.
- Ça y est, c'est la pression totale sur Emmanuel Macron qui devient un homme seul. Je vous en parle dans un court instant.
- Et c'est vraiment le questionnement. C'est 48 heures de négociation. Mais pourquoi faire ? Allez-y, prenez la parole.
- 0, 826, 300, 300. Vous nous appelez, vous réagissez à ce qui se passe dans la vie politique.
- Il ne faut pas oublier aussi ce matin, le 7 octobre, deux ans après ce programme gigantesque, ce massacre terroriste parti de Gaza en Israël.
- Triste commune.
- Avec ces questions autour de cette tentative d'établir la paix. Mais ça discute toujours en Égypte. Mais pour l'instant, il n'y a rien qui aboutit. Il y a toujours des otages.
- Voilà. Donc on en est là ce matin, deux ans après. Et je reçois à 9h30 la journaliste Nora Bussini, auteure de « Laissez les nouveaux antisémites », un livre absolument saisissant.
- Oui, parce que c'est une enquête, c'est une plongée dans les milieux de l'ultra-gauche révolutionnaire qui veut tout mettre en l'air.
- Et il se rejoigne à une convergence des luttes assez forte.
- Et elle a infiltré. Je vous recommande. Et en tout cas, restez à l'écoute pour l'entendre entre 9h30 et 10h.
- La vérité en face, c'est parti avec vous, Jean-François Aquiti.
- Allez.
- Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Évidemment, c'est sûrement la situation qui a été déjà choisie par le chef de l'État.
- Mais elle ne va pas changer grand-chose aujourd'hui.
- Les Français ont toujours le sentiment de ne pas forcément être entendus et compris.
- Donc moi, j'aimerais vraiment voir aujourd'hui des candidats capables de réagir dans l'urgence.
- Aujourd'hui, il y a une solution qui est mise en place.
- Il y a une présidentielle anticipée.
- Qu'est-ce qu'on fait ? Qu'est-ce qu'on va faire ? On n'a pas quatre ans pour se préparer.
- Et on montre nos capacités aujourd'hui à écouter les Français dans l'urgence.
- Et c'est des capacités à réagir.
- Mais moi, aujourd'hui, c'est ce que j'attends d'un chef de l'État.
- On sait que la politique évolue.
- Il y a tellement de sujets à aborder aussi.
- De plus en plus, ils sont tellement épiés qu'il y a quand même ce besoin de cette capacité à être efficient.
- Et c'est vraiment ce que j'attendrai de la part des candidats.
- Donc, De Gaulle, 1969.
- Merci, William.
- Je vous en prie. Belle journée.
- Merci, William de Brive-Laguillard.
- Nous avons retrouvé Éric.
- Peut-être que vous êtes en ligne, Éric, avec nous.
- Pour conclure avec vous sur ce que disait d'ailleurs William à l'instant.
- Vous évoquiez, vous, une présidentielle.
- Une présidentielle anticipée aussi.
- Oui, tout à fait.
- Je trouve que ce serait le meilleur calendrier pour la Macronie au sens art.
- Soit il peut se représenter parce que le conseil a déjà donné des assurances.
- Soit il ne peut pas.
- Il choisirait un candidat.
- Peut-être le cornu qui a fait une très belle sortie.
- Qui peut-être a marqué les esprits.
- Qui a fait un beau discours, Yermatt.
- Il faut le dire.
- Il a fait un très beau discours.
- Donc, je pense que c'est pour lui, si vous voulez, le meilleur calendrier.
- Le 1er janvier, avant le 1er janvier, il démissionne.
- On fait des élections.
- Donc, il dit, bah, chiche.
- Il a joué à la De Gaulle, puisque tout le monde se réfère à De...
Transcription générée par IA