Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, La Vérité en Face, Jean-François Aquili.
- La Vérité en Face, on pourrait appeler ça aussi Conseil de Famille, finalement, Jean-François Aquili.
- Conseil de Famille, c'est pas mal.
- Alors vous attendez les auditeurs sur quel sujet ce matin ? Emmanuel Macron qui prend la défense des juges après la condamnation de Nicolas Sarkozy, jugeant inadmissible, c'est ce que dit le Président, les attaques contre les magistrats, ça fait réagir ce matin.
- C'est vraiment un sujet qui est au cœur des réactions des Français.
- Cette histoire de Nicolas Sarkozy, c'est comme quoi ce Président est toujours, malgré tout, populaire, ou pas d'ailleurs.
- Oui, c'est vrai.
- Vous continuez d'appeler, vous aurez la parole, ce que je disais tout à l'heure à Muriel aussi, évidemment.
- Vous avez la parole, 0826 300 300, profitez-en.
- Et sur d'autres sujets aussi.
- Oui, vous avez Sébastien Lecornu dans sa semaine de tous les dangers, nouvelle mobilisation syndicale jeudi, nouveau gouvernement avant dimanche, mais pourquoi faire ? Est-ce qu'il peut échapper à la censure ? Autre sujet, faut-il avoir peur de Poutine qui teste les nerfs de l'OTAN avec ses survols de drones ? Nous en parlerons avec nos invités dans La Vérité en face à 9h30.
- Puis je signale aussi, étonnant sujet, le squat quand des locataires refusent de partir.
- Ce sera le thème de c'est quoi le problème avec Félix Mathieu ? Oui, et quand ils refusent de partir, et alors on connaissait ce type de sujet déjà, de phénomène qui se développait où vous étiez en partie en vacances, il y avait des gens qui s'installaient.
- Là, c'est des gens qui passent par Airbnb et Booking, qui s'installent, qui louent et puis qui restent ensuite.
- Un vide juridique, un de plus. Voilà, il faudra en repasser par la loi.
- Les 0800, 26, 300, 300, vous nous appelez, vous témoignez dans La Vérité en face.
- Le corps nu est-il presque dans le corner ? Nous sommes nous dans un scénario barnier un an après.
- Sébastien Lecornu va former son nouveau gouvernement d'ici à dimanche.
- La gauche veut censurer, les fils et tout de suite, dès la rentrée parlementaire ce mercredi, avec peu de chances d'aboutir.
- Le PS hésite encore.
- Il y aura de la revoyure vendredi.
- À La Vérité, le Premier ministre tombera quand Marine Le Pen baissera le pouce, comme pour Michel Barnier l'an dernier.
- La condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq années de prison avec exécution provisoire a ouvert de nouvelles zones de turbulence et n'a fait qu'alourdir le climat de chaos politique que traverse tout le pays.
- A y regarder de plus près, la situation va rester durablement bloquée.
- Pas de taxes Zucman, pas de retour de l'ISF, pas de suspension.
- De réformes des retraites, Sébastien Lecornu, en fixant ses propres lignes rouges dans le Parisien, a claqué la porte à la gauche.
- À moins qu'il ne propose d'autres taxes contre les riches, ce qui reviendrait à faire fuir les Républicains cette fois.
- En attendant, nous nous habitions à vivre sans gouvernement réel.
- Les politiques sont-ils en train de nous démontrer, malgré eux, que le monde peut tourner sans eux ? La solution ne serait-elle pas, au fond, de gérer les affaires courantes jusqu'aux prochaines élections ? Bienvenue dans La Vérité en Face, vous nous appelez 0826 300 300.
- Le Grand Matin Sud Radio, La Vérité en Face, Jean-François Aquili.
- Et bonjour à vous Olivier.
- Oui, bonjour Jean-François Aquili.
- Vous êtes un colombier, Olivier.
- Vous voulez nous parler du gouvernement, j'imagine ? Oui, alors si vous le permettez, moi je vais m'exprimer un petit coup de gueule, disons.
- Il faut, il faut.
- En fait, je pense… Je pense que comme beaucoup de Français, aujourd'hui je me dis, mais quel rôle joue notre président de la République ? Parce qu'il était censé, justement, permettre aux Français de choisir, et choisissant un gouvernement multiple, où il pouvait permettre à la gauche, à la droite, d'émettre aussi leurs souhaits, etc., puis d'essayer de s'unir.
- Et en fait, c'est la désunion permanente au fil du temps de ces gouvernements successifs.
- Oui, vous pensez qu'on pourrait vivre sans, au fait...
Transcription générée par IA