Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, La Vérité en Face, Jean-François Akili.
- La Vérité en Face avec vous, Jean-François Akili.
- Pour revenir sur tous les sujets, évidemment, qui occupent la une et qui font beaucoup réagir, au 0826, 300, 300, il y a beaucoup d'appels.
- Sur quels sujets les auditeurs peuvent réagir ce matin ? Il y a Emmanuel Macron qui s'apprête à reconnaître l'État palestinien devant l'ONU.
- Alors est-ce qu'il aurait dû poser des conditions préalables ? Et puis, vous savez, le sujet connexe, la controverse autour des drapeaux palestiniens aux frontons des mairies, Patrick.
- Bruno Retailleau a-t-il eu raison de demander aux préfets de les interdire ? Est-ce que vous êtes d'accord avec ça ? Les maires qui peuvent pavoiser, peuvent-ils s'y opposer ? Ça fait beaucoup parler ce matin.
- Oui, parce qu'il y a une symbolique très forte avec ce drapeau-là.
- Le drapeau, c'est quand même un...
- Bien sûr, sur les terres de combat, le drapeau blanc, évidemment, pour la paix, pour le cesser le feu.
- Le drapeau qui représente une patrie, qui représente un pays, qui représente une région.
- Bah oui ! Attendez, on n'allait pas allumer la mèche, là, encore par rapport aux régions.
- Le drapeau breton ou corse.
- Oui, breton ou corse, basque, bien sûr, et puis d'autres régions.
- Non, mais ce drapeau, vous pouvez réagir.
- Autre sujet que vous allez aborder en longueur, parce que c'est l'un des événements du jour.
- Le procès Cédric Jubillard qui s'ouvre aujourd'hui, à Albi, devant la cour d'assises du Tarn.
- Est-ce que vous allez suivre ce procès jour après jour ? Nous, on ouille, avec Christine Bouillaud sur Sud Radio.
- Pensez-vous que la vérité sortira de ce mois d'audience ? C'est pas évident, parce que ça va être vraiment deux versions qui vont s'opposer.
- Oui, avec la personnalité de Cédric Jubillard, qui est quand même assez étonnante.
- Qu'est-ce qu'on dit ? Fantasque ? Oui ! Déroutant, enfin, c'est vraiment un personnage très particulier.
- Oui, c'est vrai.
- Qui a fait des aveux, mais pas devant la justice, à ses ex-compagnes.
- Alors évidemment, ça ne tient pas la route pour la justice.
- Mais elles vont être appelées à la barre.
- Elles vont s'expliquer.
- On verra quelles seront ses réactions à ce moment-là.
- Et puis, il y aura un sujet avec Félix Mathieu.
- Ça concerne deux millions et demi de Français, quand même.
- Les auto-entrepreneurs.
- Ah non, mais ça recommence.
- Ça recommence.
- À combien le seuil de franchise de TVA ? C'est très important.
- Nous verrons ça tout à l'heure avec Félix Mathieu.
- Alors, c'est quoi le problème ? Pas mal de sujets ce matin.
- Allez, bonne émission.
- Et une reconnaissance d'un État palestinien à l'ONU.
- Et après, Emmanuel Macron justifie son choix dans cette vidéo selfie réalisée par lui-même à l'Elysée à la veille de ce discours à New York, comme pour tenter de convaincre une opinion publique française hostile à sa décision à plus de 70%.
- Ce que veut la France, répète le chef de l'État, qui ne pose, c'est là le problème, aucune condition pour y parvenir.
- C'est un cessez-le-feu immédiat, dit-il.
- La libération sans délai des 48 otages.
- Un Hamas démantelé, écarté du pouvoir.
- Une autorité palestinienne réinventée.
- Et au final, deux États vivant en paix.
- Tout le monde veut ce que souhaite le président.
- Mais pas le Hamas.
- Pas le Hamas qui a enclenché une guerre dont il savait qu'elle serait sans retour.
- Au mépris du peuple palestinien, justement, que l'organisation terroriste est censée représenter.
- Mais pas Israël, qui joue sa survie depuis les massacres le pogrom du 7 octobre, et s'est lancé dans une riposte sans issue.
- Il faut le dire à Gaza, qui n'est en rien un génocide, idée imposée avec succès dans le monde entier par les terroristes, mais qui détruit cette offensive des vies innocentes et nourrit la haine qu'elle est censée combattre.
- L'Amérique de Trump soutient Netanyahou, mais jusqu'à quand ? Au final, est-ce le bon moment ? Que pèsera le pari d'Emmanuel Macron ? Cette reconnaissance sans condition préalable vis-à-vis d'un Hamas qui y voit la validation, de sa stratégie terroriste et dans un Moyen-Orient où le rapport de force, depuis toujours, remplace le droit.
- Bienvenue dans La...
Transcription générée par IA
