Retranscription des premières minutes :
- Et Sud Radio, c'est bon à savoir, vous connaissez le distributeur automatique de boissons, vous connaissez le distributeur automatique de baguettes de pain, sans doute aussi, mais connaissez-vous le distributeur automatique de béton ? Oui, ça existe, c'est peu connu et pourtant le marché est en plein essor.
- Il s'adresse aussi bien aux artisans qu'aux particuliers.
- Aujourd'hui, la France compterait déjà plus d'une centaine de distributeurs automatiques de béton.
- Bonjour Fabien.
- Fabien, bonjour.
- Bonjour.
- Et merci d'être avec nous ce matin sur Sud Radio.
- Vous êtes patron d'exploitation pour Self Béton.
- C'est vrai que c'est assez surprenant comme concept.
- Ça ressemble à quoi déjà concrètement un distributeur automatique de béton ? C'est vraiment comme un distributeur de boissons ? C'est le même principe ? C'est le même principe ou comme vous allez au McDo, vous avez une tablette, vous choisissez ce que vous voulez et vous payez et ça tombe dans votre camion.
- Ça veut dire qu'on a un écran ? Un écran sur lequel on va choisir la quantité de béton qu'on veut ? C'est aussi simple que ça ? Exactement. Vous choisissez vos recettes.
- Donc ça va du mortier à dosage de 250 kilos à 300 kilos.
- Et après, c'est du béton à 250 kilos, 300 kilos, 350 kilos.
- Et après, vous choisissez la quantité que vous voulez.
- Et après, en combien de temps on l'a notre béton ? C'est assez rapide ? Alors, nous avons un Self Béton qui fait un demi.
- Un demi-cube par demi-cube, donc ça fait 500 litres.
- Trois minutes, vous mettez pour faire 500 litres.
- En trois minutes, ça veut dire que pour le coup, ça va très vite quand même.
- Oui, oui.
- Et alors, c'est quoi les autres avantages de ces distributeurs automatiques de béton ? Alors, l'avantage, c'est que sur cette machine, vous pouvez faire le minimum, c'est 150 litres.
- Donc, on va dire, c'est deux, trois brouettes.
- Et ça évite de le faire à la main.
- Et ça, c'est plutôt pas mal pour les particuliers, en l'occurrence, ici.
- Oui.
- Ça apporte de la manutention en moins, on va dire.
- C'est un gain de temps d'une certaine manière.
- Bon, vous avez aussi parmi vos clients, j'imagine, des entreprises, des entreprises de BTP, des artisans aussi.
- Exactement. Nous, nous sommes une entreprise de BTP déjà.
- Et c'est pour ça qu'on avait opté pour cette solution.
- Cette solution-là, parce qu'on avait besoin de petites quantités des fois.
- Et quand on allait dans une salle de travail à béton classique, le minimum qu'on nous servait, c'était un demi-cube ou 750 litres.
- Et on en jetait beaucoup.
- Donc là, le minimum, c'est 150 litres.
- Et c'est plutôt pas trop mal.
- C'est-à-dire qu'il y a moins de gâchis, quoi.
- Exactement.
- Il y a moins de gâchis.
- Ça coûte combien ? Ça ne coûte pas beaucoup plus cher que la méthode classique ? Non.
- Quand vous allez chez un centralier, ça coûte le même prix.
- Là où ça coûte un peu plus cher, c'est quand vous prenez des petites quantités.
- Donc là, ça va être un petit peu plus cher.
- Comment vous avez eu l'idée de ce distributeur automatique de béton ? Ça existait déjà quand vous vous êtes lancé ? Oui.
- Ça fait un petit moment que je regardais.
- Mais ça reste un coût quand même d'investissement.
- Et moi, on a l'activité qui s'agrandit sur notre secteur.
- Donc je me suis lancé.
- Et la première année, je ne regrette pas.
- Vous êtes où précisément ? Nous sommes dans les Landes.
- Dans les Landes.
- Du côté d'Ossegore.
- Et effectivement, il y a une activité.
- Ça marche, ça fonctionne.
- Ça devient véritablement une tendance ? Alors oui.
- Nous, on n'a pas trop fait de pub.
- Donc le bouche-à-oreille marche beaucoup.
- Qui plus est, on vous entendant aussi ce matin, pour les auditeurs qui sont dans le coin.
- Comment ça a coupé ? Je n'ai pas compris.
- Oui, je disais, effectivement, vous n'avez pas beaucoup communiqué.
- Mais là, avec votre présence ici à l'antenne sur Sud Radio ce matin, on sait que vous êtes à Osgore.
- Et ça va peut-être vous ramener d'autres clients.
- Je ne sais pas.
- Peut-être.
- C'est peu connu.
- C'est vrai que c'est assez...
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