Retranscription des premières minutes :
- Il est 7 heures. Merci. Parlons vrai.
- Nouveau. C'est Laurie Leclerc qui est là pour les informations, évidemment. Bonjour, Laurie.
- Bonjour, Jean-Jacques. Bonjour à tous.
- Nouveau rebondissement pour ma prime Rénov'. L'aide de l'État pour la rénovation énergétique des logements c'est important sera finalement maintenue pour certains travaux. Nous allons détailler. Et vous allez voir que c'est une bonne nouvelle pour les particuliers, les autres titres de l'actualité.
- Au cinquième jour de bombardement réciproque entre Israël et l'Iran, Donald Trump quitte le G7 prématurément au Canada et appelle à évacuer Téhéran. Les femmes et enfants de djihadistes français en Syrie demandent à être rapatriés en France.
- Une délégation menée par un eurodéputé vient de se rendre sur place. Et puis face au manque de médecins, la limite du nombre d'étudiants en passe d'être supprimée. La proposition du ministre de la Santé est étudiée aujourd'hui au Sénat.
- Le gouvernement a compris la colère après la suppression de MaPrimeRénov' et donc fait marche arrière.
- Le dispositif va finalement être maintenu, mais pas totalement. Écoutez bien, les particuliers, eux, seront privilégiés.
- Oui, MaPrimeRénov' ne va plus concerner que les travaux isolés. Maxime Trouleau, comme par exemple la pose d'une chaudière ou de fenêtres.
- Oui, si vous aviez l'idée de réaliser de gros travaux et de déposer votre dossier MaPrimeRénov', eh bien dès le 1er juillet, ce ne sera plus possible. Les règles auront le temps de changer d'ici mi-septembre, annonce le gouvernement.
- Mais seulement sur les grosses œuvres. Les aides pourraient être recentrées vers les bâtiments les plus énergivores.
- Et ces aides, aujourd'hui plafonnées à 70 000 €, pourraient être abaissées à 58 000 €.
- Leur suppression, même temporaire, avait été vivement critiquée par les professionnels du secteur.
- Mais en fin d'année dernière, l'Inspection générale des finances avait parlé de fraudes massives, industrialisées avec des travaux surfacturés, voire même carrément non effectués.
- Ça avait poussé le gouvernement à dire stop. Sauf qu'entre-temps, Emmanuel Macron avait montré son mécontentement et a poussé l'exécutif donc à revoir sa copie et donc à maintenir ce dispositif seulement pour les petits travaux.
- Voilà. Qui va pouvoir bénéficier de ce dispositif ? Ceux qui veulent remplacer leur chaudière ou remplacer une fenêtre.
- C'est ça. Des aides de quelques milliers d'euros seulement. Voilà. Quelques milliers d'euros seulement.
- Cela dit, c'est le plus important. C'est le plus important. Bien, c'est pour éviter les fraudes aussi.
- La suppression des zones à faible émission soumise au vote aujourd'hui, en fait, c'est le projet de loi de simplification qui est soumis au vote.
- Exactement. Et c'est l'une des mesures. Cette suppression des zones à faible émission contenue dans ce texte.
- Mesure très contestée, puisque les élus macronistes ont annoncé qu'ils allaient voter contre le texte, puisqu'ils sont contre cette suppression.
- Contre cette suppression.
- Contre cette suppression. En même temps, c'est le texte du Sénat qui va venir en commission mixte paritaire. Je vais expliquer tout cela avec Olga Giverney, qui est députée ensemble pour la République de l'Ain et qui est notre invité à 7h10, parce qu'il faut essayer d'y voir clair. C'est compliqué.
- Donald Trump quitte prématurément le sommet du G7 et rentre à Washington pour se consacrer à la situation entre Israël et l'Iran. C'est ce qu'il dit.
- Voilà. Donald Trump souhaite en tout cas une rencontre cette semaine avec les responsables iraniens, les dirigeants du G7.
- Un communiqué commun affirmant le droit d'Israël à se défendre et estimant que l'Iran ne pourra jamais posséder d'armes nucléaires.
- Ce communiqué commun appelle également à protéger les civils dans les deux pays où les frappes réciproques se poursuivent pour le cinquième jour consécutif.
- Oui, les États-Unis ont signé ce communiqué commun.
- Oui, exactement. Donald Trump a signé ce communiqué avant de se rendre à Washington. En France, ce sont près de 40 000 Iraniens qui surveillent de près la situation, comme par exemple Irène Ansari, franco-iranienne, coordinatrice de la Ligue des familles.
- Une femme iranienne pour la démocratie, elle s'inquiète pour ses proches restés sur place.
- Je le vis très très mal. J'ai toute ma famille en Iran, dans différentes villes. Et donc tout le monde est inquiet.
- Il paraît que le régime a quand même réduit l'accès à...
Transcription générée par IA