Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, la vérité en face, Jean-François Aquili.
- Quelle vérité ? Il y en a qui se joue mon cher Jean-François.
- Oui, oui, c'est la censure, pas la censure. Vous continuez de nous appeler là-dessus au 0 826 300 300.
- Patrick, ça passe ou ça casse ? On verra bien à la mi-journée.
- Alors qu'est-ce que vous en pensez justement ? Vous la soutenez ou pas justement ? Là, tout à l'heure, on avait Frédéric qui la soutait. On aime vous donner la parole et vous entendre évidemment au 0 826 300 300.
- Et la question du jour Sud Radio, vous soutenez la censure à 91% quand même. C'est assez majeur.
- Et puis l'un des autres sujets qui est très intéressant, que vous allez aborder en fait tout à l'heure, on l'a un peu évoqué avec Françoise Degoy et Elisabeth Lévy, c'est les questions des choix de société.
- Entre les dépens, dans les dépens il faut faire des choix, et la cistana en fait.
- Vauquier a remis ça sur le tapis.
- Oui, il a dit la cistana.
- C'est un vrai sujet de société.
- Il a dit à l'Assemblée Nationale, après le discours de politique générale du Premier Ministre, arrêtez la cistana et revalorisez le travail.
- Alors, vous savez, on en parle beaucoup, il y aura des coups de rabot sur les aides sociales, dans le budget qui va arriver.
- Mais quelle est la réalité de la cistana dans ce pays ? La cistana, effectivement, vous aurez donc deux débatteurs et puis vous aussi, au 0 826 300 300.
- Est-ce que vous pensez qu'il y a trop de cistanas en France ? Et qu'il faut raboter un peu certaines choses ? Eh bien, vous appelez avec Jean-François jusqu'à 10h.
- Le plus dur est à venir.
- Et si le vote du budget 2026 était un exercice autrement plus périlleux que les deux censures déposées par la France Insoumise et le Rassemblement National ? Il y a d'abord la suspension de la réforme des retraites.
- Grande victoire du Parti Socialiste en échange d'une non-censure immédiate.
- Détail technique qui a son importance.
- Elle ne fera pas l'objet d'une loi spécifique, mais d'un amendement au projet de loi de finances de la Sécurité Sociale, le PLFSS.
- Un festival annoncé de gel et de non-revalorisation des prestations sociales.
- D'un montant de 13 milliards d'euros qui va donner lieu à une foire d'empoigne dans l'hémicycle.
- Ce sera violent, mais devra être bouclé en 50 jours maximum sans le 49-3.
- Ce qui est loin d'être gagné à qui ? Si le PLFSS en question coince, la réforme borne s'appliquera à la menace qui ressemble un peu à quelque chose de théorique et bien réel.
- Il y a ensuite le budget à venir.
- Si l'imagination en matière fiscale était au pouvoir à Bercy, elle est désormais partagée par l'ensemble des partis politiques.
- Michel Barnier, souvenez-vous, pourtant issu du rang de la droite républicaine, s'était illustré par une inévitable hausse des impôts, notamment la contribution sur les hauts revenus.
- Sébastien Lecornu, qui envisage 14 milliards supplémentaires, promettant comme ses prédécesseurs de réduire la dépense publique, va devoir résister à la taxe Zucman, le prochain feuilleton.
- Au final, le scénario se répète.
- Les gouvernements successifs, confrontés à la dette abyssale et à un État toujours plus dispendieux, privés de temps et de majorité à l'Assemblée, cèdent à la tentation fiscale sans jamais, jamais oublier.
- ...
- Ouvrir le capot du moteur, faute de courage politique, faute de temps.
- L'urgence est pourtant de simplifier notre vie quotidienne, celle des entreprises, et plus généralement celle des Français.
- Les introuvables milliards du rebond national, ils sont bel et bien là et pas ailleurs.
- Bienvenue dans La Vérité en Face.
- Le Grand Matin Sud Radio, La Vérité en Face, Jean-François Aquili.
- Et bonjour à vous. Alors on dit, on dit Yovan ? Yovan, oui.
- Ou Jovan ? C'est ça. Yovan ou Jovan.
- Et vous, vous dites comment, vous ? Parce que c'est vous que ça concerne.
- Moi, j'ai dit Jovan.
- Moi, j'aime bien Jovan. C'est un joli prénom en tout cas. Vous vous appelez d'où, Jovan ? Je suis de Chili-Mazarin.
- D'accord, d'accord. Et est-ce que vous êtes à Chili-Mazarin ?...
Transcription générée par IA