Retranscription des premières minutes :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Glaise. Il est 5h32, il est bien présent à mes côtés.
- Maxime Trouleau, bonjour Maxime. Bonjour Benjamin, bonjour à tous.
- Avec tous vos journaux. La revue de presse, on commence par une colère.
- Les agriculteurs qui prévoient de nouveau de manifester le 26 mai prochain, tracteurs de la colère, ils sont de retour.
- C'est le titre à la une de la Dépêche de midi.
- Exactement. Promesses non tenues, sentiments de trahison avec ces propos du président de la FNSE, Arnaud Rousseau, dans la Dépêche du midi, qui avait déjà expliqué sur RMC hier, effectivement, qu'il considère, que nous considérons, après avoir manifesté, travaillé, subi tout ce qui se passe sur le plan politique, les promesses qui nous sont faites ne sont pas là.
- Et c'est intolérable dans dix jours donc, alors que débutera l'Assemblée, l'examen de la proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplan.
- Eh bien les tracteurs devraient quitter les champs pour reprendre la route, écrit le journal.
- Faut-il donc s'attendre, Benjamin, à un blocage de même ampleur qu'en janvier 2024 ? Vous me posez la question, j'en sais rien.
- En tout cas, la Dépêche répond et dit difficile à dire, difficile d'y voir clair.
- En tout cas, l'été arrivant, les agriculteurs ne vont pas être aussi disponibles qu'en plein hiver.
- Ils pensent que le travail fait sur la proposition de loi, en tout cas par la commission de développement durable, est une trahison.
- La FNSE met donc ainsi un coup de pression avant la séance.
- Trois jours après, on y revient. L'interview d'Emmanuel Macron, c'était mardi soir sur TF1.
- Plus de trois heures d'entretien qui n'ont vraiment pas convaincu les Français.
- Le jugement sévère des Français sur Emmanuel Macron, c'est dans Le Figaro.
- Oui, Emmanuel Macron qui n'a manifestement pas réussi à convaincre les Français des bienfaits de son action à la tête de l'État, écrit Le Figaro, donc selon un sondage d'Oxa Backbone Consulting pour Le Figaro.
- Les trois quarts du pays, 71% des Français jugent négativement.
- Le bilan du chef de l'État, son intervention télévisée a déçu les attentes démocratiques des Français.
- Peut-on lire dans Le Figaro, effectivement, 71%, c'est pas autant que François Hollande, tout de même qui était même descendu à 73% d'opinions défavorables.
- Souhaitez-vous que Macron se représente en 2032 ? C'est une possibilité. D'ailleurs, le chef de l'État avait été interrogé sur cette possibilité par Gilles Boulot.
- Pas très clair, en tout cas. 84% des Français la disent carrément non.
- Oui, effectivement. Allez.
- Le chef de l'État, en tout cas, qui compte, eh bien, sauver les salariés d'ArcelorMittal.
- On ne va rien lâcher, assure-t-il à nos confrères de la Provence, ainsi qu'à plusieurs autres titres régionaux.
- C'est ça, exactement. Le chef de l'État qui redit son intention de durcir les règles européennes pour sauver les sites d'ArcelorMittal en souffrance.
- Alors, il y a effectivement Dunkerque, mais il y a aussi Fos-sur-Mer.
- Le président qui est conscient que les déboires d'ArcelorMittal en Europe sont symboliques d'une souveraineté industrielle en berne, parce que mal maîtrisé, tout ça, dit le chef de l'État, est dû à la fausse excès de la réglementation européenne et à un manque de protection, notamment envers l'Asie.
- Donc, c'est un peu tard, mais il faut quand même faire, nous dit notamment Emmanuel Macron.
- Dunkerque est le deuxième site le plus rentable en Europe.
- Les annonces les concernent d'abord, mais il ne faut donc pas oublier Fos-sur-Mer, nous dit le chef de l'État.
- On en vient à ces accusations.
- Quatre anciens militaires de l'armée de terre qui portent plainte contre leur ancienne...
- ...archi. Dans le Parisien aujourd'hui en France, l'un d'eux raconte avoir même été au bord du suicide.
- Oui, et même du meurtre. C'est sans précédent, nous dit le Parisien.
- Quatre ans après leur engagement, ils estiment, ces anciens militaires, désormais, que l'institution a réduit à néant leur vocation quand elle ne les a pas brisés moralement.
- « Je me destinais à intégrer les forces spéciales ou à devenir au minimum sous-officier.
- Aujourd'hui, je suis en arrêt pour dépression », constate l'un d'entre eux, avec ses trois compagnons d'infortune, ce jeune homme de 27 ans qui parle donc...
- Dans Libération,...
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