Retranscription des premières minutes :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- Et à 5h32, c'est l'heure de retrouver, d'accueillir Maxime Trouleau. Bonjour, Maxime.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour, tout le monde.
- Pour votre revue de presse, et sans surprise, ce matin, dans la presse, de quoi parle-t-on ? Eh bien on parle de la canicule qui va toucher pratiquement toute la France à partir d'aujourd'hui.
- La canicule qui fait la une, forcément, de nombreux journaux.
- Ce matin, on parle notamment, dans le journal Le Quotidien L'Union, des logements, bouilloires, sous les toits, la fournaise.
- Eh oui, ceux qui habitent un dernier étage ont l'impression de vivre un enfer.
- « Je ne dors pas la nuit, je m'endors vers 4 ou 5h du matin quand le soleil se lève », témoigne par exemple un étudiant dans le journal L'Union.
- Libération fait également sa une sur ces habitations où il fait très chaud le feu aux logis.
- Titre Libération.
- Toujours ce mot qui revient de la presse canicule.
- Libération qui s'intéresse également aux écoles, qui veulent limiter la casse avec ce nouvel épisode de chaleur.
- Pour la dernière semaine de classe, la FCPE dénonce l'absence de consignes claires.
- Le ministère lui plaide pour des solutions au cas par cas.
- Mais ça râle du côté des parents d'élèves qui expliquent qu'il n'y a pas de plan d'action existant.
- Aujourd'hui, il manque des mesures concrètes, disent-ils.
- Bref, tous aux abris, nous dit le républicain Laurent, face à cette canicule qui approche, prêt pour le coup de chaud, se demande le courrier Picard.
- Avec cette photo de certains qui pourront peut-être aller dans certaines bases de loisirs, prendre l'eau.
- Ça ferait du bien.
- Attention aux noyades, il y en a encore eu ce week-end d'ailleurs à ce propos.
- Et effectivement, attention aux noyades, en tout cas, attention aussi au travail, à l'épreuve de la canicule.
- Ça c'est la une du Parisien aujourd'hui en France.
- Il y a eu 200 écoles au total qui seront fermées.
- Mais aujourd'hui, Elisabeth Borne, la ministre, qui a dit qu'il n'y aurait pas de vacances anticipées.
- Ça se poursuit donc pour cette dernière semaine de cours.
- La question, tenez, qu'on vous pose sur le compte Twitter Sud Radio.
- Pensez-vous que fermer les écoles soit une bonne idée ? Ça réagit déjà sur le Twitter de Sud Radio.
- Mais vous êtes assez partagé.
- Vous nous dites que oui, c'est une bonne idée, mais à seulement 43%, 57% de non pour le moment.
- Le Parisien s'intéresse quant à lui également au trafic de cocaïne dans la capitale.
- Le tsunami déferle sur Paris.
- Il s'inquiète le quotidien.
- Et pourquoi ? Car le prix de la cocaïne à Paris et en région parisienne n'a jamais été aussi bas.
- C'est le constat réalisé par les enquêteurs en ce mois de juin.
- Le kilo se négocie actuellement entre 17 000 et 18 000 euros.
- Alors que l'an dernier, en 2024, il valait entre 22 000 et 23 000 euros.
- Le business de la drogue ne déroge pas à la loi de l'offre et de la demande.
- Plus de production, plus de concurrence, plus de consommateurs.
- Mais au détail, cette baisse ne se constate pas.
- Pourquoi ? Parce qu'il règne une entente commerciale entre les dealers qui veulent préserver leurs marges.
- Ils se mettent aussi en oeuvre des stratégies de stockage qui permettent d'ajuster les prix.
- La concurrence féroce entre les réseaux de distribution les oblige aussi à vendre un produit moins coupé.
- Ce qui maintient les prix au niveau.
- Les saisies sont nombreuses et souvent importantes.
- Tout de même, révèle le Parisien aujourd'hui en France.
- Mais les réseaux bien ancrés savent s'adapter.
- Et la semaine passée, il y a été saisi quand même plus de 80 kilos de poudre blanche, nous détaille le journal.
- On parle également dans la presse des PEUF, ces cigarettes électroniques jetables qui circulent toujours chez les ados malgré l'interdiction.
- C'est-à-dire dans la Provence.
- Le 26 février dernier, ces cigarettes électroniques étaient officiellement interdites.
- Cependant, près de 4 mois plus tard, nous dit la Provence, la PEUF continue de circuler chez les jeunes.
- Comme si de rien n'était.
- Les entreprises du tabac se sont adaptées.
- On n'a rien de temps.
- Elles ont développé de nouveaux...
Transcription générée par IA