Retranscription des premières minutes :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- Et à mes côtés, Maxime Trouleau nous a rejoints. Bonjour, Maxime.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour, tout le monde.
- Parce que c'est l'heure de votre revue de presse. Et sans surprise, c'est l'actualité internationale qui prédomine dans les journaux.
- Ce matin, l'entrée en guerre des États-Unis qui fait la une de pas mal de titres. Ce matin, la démonstration de force de Donald Trump à la une du Figaro.
- Vous voyez cette opération Midnight Hammer, un marteau de minuit qui a rassemblé au total 125 avions d'État et le Figaro ce matin, avec les propos de Dan Cain, chef d'état-major des armées américaines. C'est la plus grosse opération de B-2 de l'histoire américaine.
- B-2, ce sont ces fameux avions bombardiers, ajoute Dan Cain, qui explique que c'était une manœuvre plutôt complexe et à haut risque, qui avait demandé une extraordinaire coordination. Très peu de gens à Washington avaient été mis au courant.
- On a écrit le Figaro ce matin. Des avions qui venaient du Missouri.
- Exactement, qui venaient des États-Unis et donc qui ont bombardé l'Iran. Donc il y a deux jours, plutôt, le président américain avait annoncé que les trois sites nucléaires iraniens avaient été totalement anéantis. Dan Cain, lui, s'est montré plus prudent.
- Comme le vice-président G. Devens, d'ailleurs. Les sites visés ont subi plutôt, comme il dit, des sévères dommages et des destructions.
- En tout cas, en frappant l'Iran et en rejoignant ainsi la campagne.
- L'Iranienne, lancée par Israël pour décapiter le programme nucléaire iranien, Donald Trump a pris l'une des décisions stratégiques les plus importantes de son second mandat, nous dit le Figaro. Donald Trump qui fait la une de la dépêche du midi avec ce fameux avion B2. Trump choisit de bombarder l'Iran.
- Qui est le seul capable de porter ces bombes de 14 tonnes, ces bombes antibunkers.
- Les GBU-57 et ce B2 qui fait également la une de libération. La déflagration, titre le journal.
- Un B2, encore en une du Télégramme. La guerre est claire de Trump en Iran.
- Il faut dire qu'il a une forme, ses caractéristiques, comme ça, en très grand.
- Oui, il est magnifique. Il est magnifique.
- C'est pas trop très bon.
- Pourquoi pas. Bon. En tout cas, ça vous fait réagir sur notre compte Twitter Sud Radio.
- On vous pose cette question ce matin. Les États-Unis ont-ils eu raison de frapper l'Iran ? Vous êtes très divisé ce matin, puisque vous nous dites oui à 52% et non à 48% pour le moment sur notre compte Twitter.
- Allez, on revient en France, devant la presse, avec une bonne nouvelle.
- Ce qui séduit toujours plus de visiteurs étrangers. C'est ce qu'on peut lire dans les échos.
- Oui. De juin à septembre, les arrivées aériennes sont en hausse de près de 4,7% sur un an.
- Les touristes américains, notamment, continuent d'apprécier la destination France.
- De fortes progressions sont observées, notamment les Danois, les Suédois et les Australiens.
- Plus 15% par rapport à l'été 2024.
- Le retour progressif des touristes chinois aussi se poursuit en parallèle.
- Plus 10% même.
- Si le niveau de 2019 avant le Covid est encore loin d'être atteint, nous dit les échos.
- Enfin, les voyageurs canadiens aussi aiment la France.
- Plus 10%.
- En tout cas, l'an dernier, le chiffre d'affaires lié aux touristes étrangers a certes battu son record.
- 71 milliards d'euros.
- Mais il y a l'Espagne qui est encore loin devant la France.
- 126 milliards d'euros dépensés par les touristes en Espagne.
- Il faut effectivement attirer plus de touristes, mais surtout qu'ils dépensent plus, confirme Euseko.
- La ministre du Tourisme, Nathalie Delattre.
- Avec un effet sans doute jose-olympique.
- Allez, on passe à la fête de la musique avec cette fête qui a été entachée parce qu'il devient véritablement un phénomène.
- Les piqûres, la psychose des piqûres sauvages, titre la dépêche du midi dans ses colonnes.
- Oui, ça fait beaucoup parler la presse ce matin, notamment du côté de Toulouse.
- Ça a semé la panique, écrit le journal.
- Un suspect de 28 ans avait même été interpellé avant d'être mis hors de cause.
- Des appels à la piqûre sauvage.
- Il avait circulé sur les réseaux sociaux avant l'événement.
- Un travail de...
Transcription générée par IA