Retranscription des premières minutes :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize. Il a couru, il est essoufflé, donc on va le laisser un petit peu respirer, mettre son casque.
- Maxime Trouleau, bonjour. Bonjour, Benjamin. Bonjour à tous. Je suis là. Comment allez-vous ce matin, Maxime ? Très bien, très bien, très bien. La revue de presse, avec vous, à 5h32. La revue de presse, on commence par un débat, le débat sur la fin de vie, qui fait de nouveaux débats. Texte final du gouvernement présenté ce lundi par la ministre de la Santé à l'Assemblée nationale.
- L'aide à mourir sera strictement encadrée. C'est ce qui est sûr. Catherine Vautrin, dans les colonnes du Parisien aujourd'hui en France.
- Exactement. La ministre de la Santé qui se veut rassurante après des mois et peut-être même des années de débats, de tensions sur ce sujet.
- Ce n'est pas une légalisation de l'euthanasie, assure-t-elle. Dans les colonnes du Parisien ce matin, l'aide à mourir reposera sur des conditions d'accès strictes et sur une décision médicale collégiale.
- Avec le nouveau texte, dit-elle, le patient atteint d'une maladie grave et incurable dont le pronostic vital est engagé pourrait s'administrer une substance létale à la suite d'un avis médical, dit-elle. Le gouvernement va d'ailleurs déposer notamment un amendement pour définir la phase avancée, puisque c'est l'un des critères sur ce pronostic vital extrêmement engagé. En tout cas, je cherche un équilibre entre ceux qui voudraient aller beaucoup plus loin et ceux qui estiment que le cadre actuel est insuffisant.
- Dit Catherine Vautrin, en tout cas, c'est un débat qui divise toujours, même du côté des professionnels de santé.
- Ça fait la une de Sud-Ouest, du côté des soignants qui sont confrontés effectivement au quotidien à cette prise en charge de la mort à l'hôpital.
- En tout cas, les soignants s'estiment mal préparés. Reportage au CHU de Bordeaux à retrouver dans Sud-Ouest.
- 15 jours pour s'entendre, titre de son côté, le Télégramme.
- C'est une histoire qui nous réserve sans doute encore pas mal de surprises.
- La 69, l'autoroute à 69 avec cette question à la une de la dépêche du midi.
- Le chantier va-t-il reprendre ? Oui, puisque les prochains jours s'annoncent décisifs pour ce chantier d'autoroute actuellement suspendu, rappelle la dépêche du midi.
- Le Conseil d'État rendra une décision mercredi dans deux jours, la veille d'un débat, cette fois-ci du côté du Sénat, avec la dépêche du midi qui détaille ce sondage, un sondage au DOXA, qui révèle un large soutien des Français à ces infrastructures, plus globalement que la 69, jugée essentielle pour la souveraineté, la réindustrialisation.
- Le désenclavement du pays, 81% des Français jugent utile ces grands projets d'aménagement, détaille le journal.
- Le second enseignement, d'ailleurs, concerne la prise en compte de l'avis des Français.
- Ces derniers expriment un sentiment d'injustice démocratique dans la conduite de ces grands projets.
- Un trois-quarts, 73%, estiment que l'avis des habitants aux côtés, par exemple, de cette 69 entre Toulouse et Castres, est insuffisamment pris en compte.
- 68% pointent là.
- La même lacune concernant les riverains et les entreprises locales.
- Les Français qui, d'ailleurs, perçoivent les activistes comme violents et antidémocratiques, un sur deux, rejettent ces méthodes jugées disproportionnées ou antidémocratiques.
- Allez, on parle maintenant d'un phénomène qui gagne de plus en plus de terrain.
- Les vacances, oui, mais les vacances sans enfants.
- Pas d'enfants, s'il vous plaît, c'est le titre de Varmatin.
- Oui, les établissements adultes only, seulement les adultes, font floresse dans la région, nous dit Varmatin, qui est parti à la rencontre de ses clients qui aspirent au calme, sans les bambins.
- Ce n'est pas forcément sans ses enfants, c'est des lieux où il n'y a pas d'enfants.
- C'est ça, exactement, en tout cas, c'est ce que nous dit le journal à partir de 16 ans.
- Vous pouvez réserver des vacances pour répondre à une demande croissante.
- D'ailleurs, nous dit le journal, des clients en quête de tranquillité prennent ces vacances avec pas d'enfants, en tout cas, pas en dessous de 16 ans.
- Ça se développe de plus en plus.
- Ça se développe de plus en plus, nous dit le journal, notamment du côté de la Côte d'Azur, Nice, Antibes, Cannes et Jouan-les-Pins.
- Les enfants, ça...
Transcription générée par IA