Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le grand matin week-end, 6h-10h, Jean-Marie Bordry.
- Il est 7h16 sur Sud Radio, on l'apprend à l'instant, Emmanuel Macron, Friedrich Merz, l'allemand et le britannique Keir Starmer viennent d'arriver en train à Kiev.
- On reviendra un peu plus tard sur ce qu'on peut attendre de ces rencontres, cette réunion, ce sommet européen des nations volontaires pour aider l'Ukraine aujourd'hui à Kiev.
- Mais avant ça, la revue de presse Théo Ampillac, bonjour.
- Bonjour Jean-Marie, bonjour à tous.
- Le Parisien, aujourd'hui en France, qui nous plonge ce matin dans les secrets de l'élection du pape.
- Oui, on peut dire que cette élection du pape Léon XIV a été une véritable surprise et pour cause, figurez-vous qu'elle existait jusqu'à présent.
- Une règle tacite qui voulait qu'aucun pape ne soit issu des Etats-Unis, un pays déjà trop puissant dans le monde avec le risque d'être aligné sur Washington.
- C'est ce que nous explique le journal ce matin.
- Alors pourquoi les cardinaux ont-ils dérogé à cette règle ? Il est le moins américain.
- Qu'un des américains, explique Andrew Munsterman, journaliste pour le quotidien néerlandais qui, d'ailleurs je le rappelle, était l'un des seuls à avoir anticipé l'élection du cardinal Prévost.
- Ah oui, bravo, j'espère qu'il avait parié.
- Il ajoute plus loin, et puis il vient de Chicago, la ville d'Obama, très sociale.
- Il a critiqué la politique anti-migrant de Trump et de Vence, autrement dit, aucun risque que Léon XIV soit influencé par la politique américaine.
- Et puis, page 3 du Parisien, on a ce témoignage, cette interview de François.
- François-Xavier Boustillot, évêque d'Ajaccio et cardinal, qui s'exprime à son sujet après l'élection.
- Il le décrit comme un homme doux, travailleur, déterminé.
- Je vois en lui quelqu'un de solide.
- Il ira de l'avant dans la continuité de François.
- D'ailleurs, il y a quelque chose qu'on a peu remarqué.
- Je ne sais pas si vous avez vu le premier discours du pape Léon au balcon.
- Américain, on le découvrait.
- Il a parlé en deux langues.
- Bien sûr, espagnol et italien.
- Voilà, italien, parce que c'est sur la place Saint-Pierre.
- Et espagnol, avec un clin d'œil au péruvien.
- Mais il n'a pas parlé des Américains.
- Il ne fallait surtout pas montrer qu'on était Américain.
- Allez, on continue avec un sondage d'Oxa Backbone Consulting pour le Figaro, qui révèle ce matin que deux tiers des Français sont favorables à cette idée de François Bayrou.
- L'organisation d'un référendum avec plusieurs questions à la clé.
- Et oui, sur quel sujet précisément ? Alors, en tête avec 62% des sondés figurent les finances publiques.
- Viennent ensuite la réforme des retraites citée à 54%.
- Puis l'immigration à 50%.
- Et puis un peu plus loin, on retrouve la fin de vie avec 36%.
- Mais ce qui se passe, c'est que les Français sont en train de se faire enlever.
- Ce qui se passe, c'est que les Français sont en train de se faire enlever.
- La seule note aux yeux dans ce sondage, c'est le manque de confiance envers Emmanuel Macron.
- 60% des personnes interrogées estiment qu'il n'ira pas jusqu'au bout et qu'il n'organisera pas de référendum.
- Autre signal fort, près de 3 Français sur 4, 73% exactement, y voient une simple manœuvre politique du Président pour tenter de reprendre la main sur la scène nationale.
- Oui, effectivement, c'est ce qui peut sembler aussi, mais ça paraît logique.
- On continue la revue de presse et on termine avec la Provence.
- La Provence, ce matin, vous pose une question, chers amis, dans les bouches du Rhône notamment.
- Cette question concerne tous les automobilistes.
- Faut-il détruire ces saletés de ralentisseurs ? Selon l'association Varoise, pour une mobilité plus sereine et durable, parmi les 450 000 Dodanes recensés en France, quasiment tous seraient-ils égaux, voire dangereux ? Je précise d'ailleurs que c'est sur Sud Radio que vous l'avez entendu en premier, chez Jean-Luc Moreau et Laurence Perrault, dont on parle autour.
- La Provence le rappelle, pour qu'un Dodane soit conforme, il doit se trouver sur une voie limitée à 30 km, 4 heures, empruntée par moins de 3000 véhicules par jour en moyenne, et surtout, où aucun transport en commun ne circule.
- Alors que, souvent, ces ralentisseurs, vous les voyez dans les rues...
Transcription générée par IA