Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Frédéric Brindel.
- Bonsoir à tous, je suis très heureux de vous retrouver.
- Il y a le pont, il y a les petits jours sympas là.
- Bon, eh bien j'arrive, j'arrive.
- Un coup de main, ouais, un coup de cœur aussi, comme vous voulez.
- À Cécile de Minibus et puis à Philippe David qui se repose tranquillement.
- Ils reviendront lundi.
- Le sommaire de cette émission, alors il peut varier à tout moment.
- Vous avez compris que nous avions, comme vous sans doute, les yeux rivés sur la cheminée Place Saint-Pierre au Vatican.
- Mais en delà de cela, 17h30, le grand débat du jour.
- Depuis 80 ans, jour pour jour, officiellement, nous vivons en paix dans notre beau pays libéré du nazisme par les alliés.
- Dans le contexte géopolitique actuel, la mémoire de cette deuxième guerre mondiale nous renvoie-t-elle à l'idée d'une troisième ? Les grands de ce monde peuvent-ils nous préserver du pire ? Parlons vrai.
- Sud Radio vous pose la question à l'antenne et sur nos réseaux sociaux.
- Question du jour.
- 80 ans après, sommes-nous à l'aube d'une troisième guerre mondiale ? Patrick Martin-Jeunier sera notre invité.
- Et puis donc, en théorie, si un pape n'est pas élu entre-temps, 18h40, le coup de projecteur.
- Alors qu'Emmanuel Macron préside donc en ce moment même la cérémonie commémorative du 8 mai 45.
- Ça se place devant l'Arc de Triomphe.
- Nous évoquerons l'importance de cette démarche.
- Et son impact sur notre quotidien.
- Là aussi, parlons vrai.
- Avez-vous l'impression que ces commémorations servent à quelque chose ? Nous vous posons la question.
- Les commémorations du 8 mai 45 sont utiles à la France pour...
- 1. Sa cohésion.
- 2. L'hommage aux combattants.
- 3. La lutte contre le fascisme.
- 4. C'est inutile.
- C'est une petite consultation que nous vous proposons.
- Allez-y, nous attendons vos points de vue.
- Emmanuel Abramovit sera notre invité pour ce coup de projecteur.
- Vous le connaissez bien, le porte-parole du bureau.
- National de vigilance contre l'antisémitisme.
- Voici le moment de vous présenter nos 3 vrais voix.
- Les vrais voix Sud Radio.
- Ils jouissent d'une vue impeccable.
- Ce qui leur permettra de discerner la fumée blanche de la fumée noire.
- Que nous attendons au cours de cette émission en ce 8 mai 2025.
- Ils commémoreront, mais nous honoreront aussi.
- Ils nous honoreront de leur présence.
- Philippe Bilger, président de l'Institut de la Parole.
- Auteur de Me Too Much aux éditions.
- Vous voyez la cheminée, Philippe ? Je la vois parfaitement.
- Bon, il n'y a pas de fumée.
- Pour l'instant, elle est muette.
- Elle est muette.
- Alors vous, surtout, ne devenez pas muet.
- Tenez-nous au courant.
- Est-ce que vous avez des petites craintes, Philippe ? Pour quoi que ce soit ? Ah non, moi j'attends avec impatience la divination d'un pape.
- Alors, quoi qu'il arrive, on n'a aucune crainte à avoir parce que les deux autres vrais voix sont des références en matière de sécurité.
- Mais des mécraires, c'est ça.
- J'ai entendu tout à l'heure des réflexions que je n'aurais pas tolérées quelqu'un d'autre.
- Alors, nous recevons Jean-Michel Fauvergue, ancien député et donc, pour la sécurité, ancien patron du RAID.
- Bonsoir, Jean-Michel.
- Bonsoir, Fred.
- Je n'ai pas l'impression que ça le rassure d'avoir deux flics.
- C'est faux, pourtant.
- J'ai la vue sur la cheminée, là.
- Et non, rien.
- Alors, ce qui fait peur, c'est qu'il y avait notamment une fumée.
- Non, vers 17h30.
- On est au courant, de toute façon.
- Normalement, la première fumée à 17h30, il y en a une deuxième.
- Je ne dis pas une seconde, parce que tout est possible.
- 19h.
- Vous savez que quand on dit seconde, c'est qu'il n'y a plus de troisième.
- On fait souvent l'erreur.
- Donc, il y en aura une deuxième à 19h.
- Bon, le troisième.
- Le troisième autour de la table.
- Toujours aussi rassurant, président d'Initiative Sécurité Intérieure et maire de Bellefou, ancien du RAID aussi, Bruno Pomard.
- Bonsoir, mon cher Frédéric.
- Toujours un plaisir d'être à Sud Radio.
- Alors, en même temps qu'on est deux policiers, ça me rassure.
- Oui.
- Parce qu'à chaque fois qu'on doit affronter Philippe Bilger, effectivement, on a toujours peur de dérater ou d'être repris à la volée.
- Il y a beaucoup...
Transcription générée par IA