Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
- On vous souhaite la bienvenue pour ce lundi, lundi de normal, avec Philippe David.
- Il est normal ce lundi ? Oh il est normal, oui, c'est un lundi 5 mai, alors jour historique évidemment, vous m'avez mis un truc à l'oreille là.
- Ah oui ? C'est l'anniversaire de la mort de Napoléon Bonaparte, 5 mai 1821.
- C'est énorme et c'est quelque chose, désolé, moi j'y pense chaque année. Vous allez bien Cécile ? Il est toujours sorti avec un Philippe David, toujours, toujours, vous n'êtes jamais dépourvus, c'est-à-dire que vous balancez une date, il a toujours un truc à dire sur la date.
- Ça c'est intéressant, en tout cas, on n'a pas besoin d'aller sur Google.
- Non on n'est pas besoin, c'est Google.
- Il est mort de quoi d'ailleurs ? Carcinome de l'estomac.
- On pense que c'est un cancer de l'estomac.
- Absolument.
- Tout seul dans la santé de Saint-Hélène.
- Et arsenique.
- En plus, outre le fait d'être gynécologue amateur, il est médecin aussi, Philippe David.
- Gynécologue pour l'estomac, vous êtes sûr que vous n'avez pas de problème ? C'est ce que c'est.
- Bon, c'est parce que c'est proche en fait.
- Pas tant que ça, excusez-moi.
- En réalité, tout est proche dans le ventre.
- Bah oui, c'est pareil, tout est proche, exactement.
- Parfois ça se complique, ça se mélange un peu.
- Enfin, bref, soyez...
- Mon docteur de bénédicte, genre, tu sais, on va aller se faire soigner chez elle.
- J'ai mal à l'estomac.
- C'est pas grave.
- C'est les ovaires.
- Il faut tout enlever, il faut tout enlever.
- Ça va être facile.
- Après ce sera un peu compliqué, mais bon, on vous expliquera.
- En tout cas, soyez les bienvenus.
- Nous, on est ensemble jusqu'à 19h avec ce numéro de téléphone et Aude qui est avec nous au 0826 300 300.
- Et aujourd'hui, ça n'est pas Max, c'est Quentin qui est avec nous, qu'on embrasse bien entendu.
- Et qu'on embrasse.
- Notre réalisateur du jour.
- Allez, au sommaire de cette émission, le grand débat du jour à 17h30.
- Bruno Retailleau serre la vis sur la nationalité française.
- Dans une circulaire adressée au préfet, le ministre de l'Intérieur exige un relèvement net des critères d'accès.
- Niveau de français renforcé, ressources financières vérifiées et adhésion sans ambiguïté.
- Aux valeurs de la République.
- Alors, parlons vrai.
- Est-ce que les mesures de Retailleau ne sont pas de simples mesures de bon sens ? C'est la question.
- Retailleau a-t-il raison de durcir les conditions de naturalisation ? Vous dites oui à 92%.
- Vous voulez réagir ? Aude, attend vos appels au 0826 300 300.
- Et puis, pour le coup de projecteur des vraies voix à 18h40, vous l'avez entendu agresser pour avoir voulu faire cesser un rodéo à Goriaguet en Gironde.
- Un élu municipal a été violemment tabassé samedi après avoir tenté d'interrompre un rodéo urbain.
- Il s'est interposé.
- Ses agresseurs l'ont roué de coup.
- Dix jours d'ITT, passage aux urgences.
- Cela provoque, bien entendu, l'indignation locale.
- Alors, parlons vrai.
- Faut-il, comme dans certains pays, autoriser les forces de l'ordre à aller au contact ? Et à la question, faut-il donner plus de pouvoir à la police contre les auteurs de rodéos urbains ? Vous dites oui à 94%.
- Vous voulez réagir ? Encore et toujours, le 0826 300 300.
- Et c'est Éric Henri Guissera avec nous.
- Notre invité, délégué national du syndicat Alliance Police Nationale.
- Alors, on vous souhaite la bienvenue, les vraies voix, jusqu'à 19h.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Avec un Philippe Bilger qui est avec nous, président de l'Institut de la Parole et auteur de Me Too Much, aux éditions Heliopole.
- Bonsoir, Philippe.
- Bonsoir.
- Je suis désolé de vous imposer un visage encore plus dégradé qu'à l'ordinaire avec cette petite chose, mais vous êtes adorable de m'accueillir tout de même.
- Vous avez fait la chirurgie esthétique, vous avez le droit.
- Et je ne demande même pas un abattoirment systématique et qu'on me donne raison, ça risquerait d'entraîner une faiblesse psychologique chez moi.
- Si jamais, toutefois, vous avez fait la chirurgie et que c'était pour le nez, et bien il s'est trompé, parce qu'il vous a raté, en fait.
- Non, non, il a...
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