Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, les vraies voix qui font bouger la France, 19h-20h, les vraies voix responsables.
- Les vraies voix responsables, si les coopératives étaient une bonne alternative pour le made in France, face aux crises et à la perte de sens, les coopératives réémergent comme une réponse concrète.
- Gouvernance partagée, ancrage local, utilité sociale.
- Et longtemps considérées comme marginales, elles séduisent aujourd'hui des entrepreneurs, des salariés, des territoires en quête de modèles plus justes.
- Et si ce modèle fondé sur la démocratie économique n'était plus une exception mais un vrai choix d'avenir, on va en parler avec nos invités.
- Olivier Roberts est avec nous ce soir, fondateur de Sacré Français, organisateur des rencontres du made in France qui a eu lieu le 22 mai dernier à Marseille.
- Nous aurons Olivier Leberquier qui est président du conseil d'administration de SCOP 1336 et Jean-Michel Nicolas, repreneur de Bergère de France.
- Et Laurent Courdechet qui sera avec nous, banquier engagé chez Crédit Coopératif.
- On vous souhaite la bienvenue.
- Les vrais voix responsables, on est ensemble jusqu'à 20h.
- Les vrais voix Sud Radio.
- Avec Olivier Robert qui est avec nous. Olivier Robert, bonsoir, merci d'avoir accepté notre invitation.
- Vous êtes le fondateur de la plateforme Sacré Français et organisateur des rencontres du made in France qui ont eu lieu le 22 mai dernier à Marseille.
- D'abord un petit re-tech sur cette rencontre au sommet, si je puis dire, du made in France. Quel retour du salon ? Écoutez, merci.
- Bonjour à tous. Les retours du salon sont excellents.
- Alors on a déjà eu des retours à chaud.
- Les gens qui nous disaient que c'était constructif, intéressant, qu'il y avait des rencontres qui se faisaient.
- Ça se voyait d'ailleurs.
- Ce n'est pas pour rien qu'on a appelé ça des rencontres.
- Le but du jeu, c'est réellement de créer une synergie forte.
- Et puis les premiers retours que l'on a des exposants, par exemple, sont excellents parce que tous sont en train de trouver un retour sur investissement extrêmement significatif.
- Et ça, c'est aussi l'objectif.
- Donc l'idée, c'est vraiment quand on crée ce type de...
- de rencontres, c'est non seulement qu'on ait des inspirations faites par des intervenants, comme on a pu le voir avec le directeur général de BIC, Nicolas Chabert, certains intervenants qui sont là ce soir, mais surtout qu'il y ait des gens qui puissent se rencontrer et travailler ensemble dans l'avenir, faire des activités, enfin construire ensemble.
- C'est ça l'idée. Et aujourd'hui, les retours sont très, très positifs.
- C'était les combien tièmes rencontres du made in France sous votre patronage, Olivier Robert ? Ah ah ah ! C'est qu'il l'a fondé.
- Oui, c'est pour ça.
- Et c'est son anniversaire. Il s'était hier. On vous souhaite un bon anniversaire avec celle-ci.
- Oh, merci. Merci, merci, merci beaucoup.
- Eh bien, écoutez, nous avons créé cet événement l'année dernière.
- Donc la première édition avait eu lieu l'année dernière, le 24 mai, avec vraiment cet objectif, c'est de créer des rencontres inspirantes.
- C'est pour ça que cette marque est forte. Et en fait, c'est vraiment la promesse de cet événement.
- Donc c'est la deuxième édition.
- Enfin, j'ai bien évidemment annoncé qu'on s'était tellement régalé, on avait tellement trouvé de positif dans ce que l'on faisait qu'on renouvelle l'expérience en 2026, évidemment.
- Alors, Olivier Robert, il y a énormément de flou autour de ce made in France.
- C'est toujours important de remettre, comme dirait Philippe David, l'église au milieu du village.
- Mais il y a un espèce de flou sur des produits qui portent le drapeau français, sur des labels, il y a tout un tas de choses.
- Et c'est bien aussi de comprendre, et pour ceux qui s'engagent sur le terrain, qui relocalisent, qui rachètent des boîtes ou des marques patrimoniales, et on va en parler dans un instant, de finalement les concentrer sur des événements précis.
- Oui, tout à fait. Parce que ça permet de donner de la clarté, et vous avez raison.
- D'ailleurs, on avait une organisation qui s'appelle le Collectif en Vérité, qui s'est créée par exemple dans l'agroalimentaire, à l'initiative de grandes marques.
- L'objectif, c'est de dire les choses.
- Et c'est à ce qu'on appelle beaucoup de franco-lavage.
- Le franco-lavage, c'est...
Transcription générée par IA