Retranscription des premières minutes :
- Brigitte Lahaye, Sud Radio, le sexe au conseil.
- Eh bien Christian Jamin, nous allons parler du fait de filmer ses ébats.
- C'est quelque chose qui est assez courant, des couples qui se font filmer ou qui filment leurs ébats sexuels.
- D'ailleurs c'est souvent l'homme qui en a envie, certainement parce que le sens de la vue est important chez lui, mais comme la femme est souvent plus exhibitionniste, ça peut convenir aux deux.
- Alors moi je pense quand même qu'il y a quelques petites précautions à prendre.
- Il faut d'abord que les deux soient réellement d'accord, qu'il y ait une réelle harmonie et une confiance, parce qu'il ne faut pas que ces ébats se retrouvent sur le net sans un désir réel commun.
- Et puis une fois cette précaution prise, j'ai tendance à dire que c'est peut-être pas mal de ne pas trop vous montrer à visage découvert, si je puis dire, parce qu'on n'est jamais à la merci qu'un jour ces ébats...
- ces images puissent être vues par des personnes qui n'auraient pas à les voir.
- Voilà, donc je pense que c'est quand même quelque chose qui n'est pas du tout anodin.
- Et puis on sait malheureusement qu'il y a beaucoup de vengeance avec ce genre de choses.
- Donc à prendre avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de précautions.
- Oui, bien sûr.
- C'est des débats qu'on a eu beaucoup, Brigitte, la vue comme moteur de la sexualité.
- Ça c'est clair.
- C'est clair, et donc j'allais dire, le fait de filmer n'est que la poursuite de notre débat.
- Exactement, que ce soit excitant, ça je l'entends tout à fait, mais attention à ce que vous en faites.
- Voilà, et on ne sait jamais, quand on s'entend très très bien, on croit qu'il n'y a pas de problème, et puis on sait très bien que lorsqu'il peut y avoir une rupture, et que l'un possède ces images, ça peut provoquer...
- bien des dégâts, et on le sait que la vengeance, parfois, n'a pas de limite.
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Transcription générée par IA