Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio Bercov dans tous ses états, le fait du jour. » « Quand on arrive en ville, tout le monde change de trottoir. On n'a pas l'air viril, mais on fait peur à voir. » « Ouais, je ne sais pas si on n'a pas l'air viril et on fait peur à voir, Daniel Balavoine, mais quand on arrive en ville, on change de trottoir. » « Eh bien, ça n'a jamais été aussi hélas, aussi vrai qu'en ce moment. » « Mais qu'est-ce que vous racontez, Bercov, comment ça ? » « Alors, je vais vous dire. Je vais faire une chose extrêmement simple. On va énumérer ce qui s'est passé début novembre. » « Nous sommes aujourd'hui le 7 novembre. Eh bien, depuis quelques jours, quelques jours, ce qui s'est passé, attendez, est en partie. » « On ne parle pas de tout. On parle de ce qui a été raconté dans tous les médias. » « Beaucoup de taux, 5 tués par balle, 4 blessés à l'âge, une dizaine de quartiers en poids, des émeutes et pillages, 1000 autres blessés et plus de 100 viols. » « Par exemple, France 3 Paris, le défenseur raconte, le 6 novembre, agression à l'âge dans le RERE, 4 adolescents présentés à un juge, mis en examen, enfin non, mis en examen, oui, en vue pour tentative d'assassinat. » « Violente agression à coup de hache dans le RERE. » « Ce qui s'est déroulé à Ozoir, l'affaire hier, lundi dernier. » « 4 lycéens frappés à la tête, blessés au bras, à la main, etc. » « Donc, les agresseurs présumés ont été présentés hier. On va voir ce qu'il va se passer. » « Écoutez un tout petit sonore par rapport au RERE. Et je ne sais pas si on l'a. Vous savez, c'est quand il dit, oh, ils vont les représailles. Allez-y, on va écouter ça. » « Même moi, j'ai des amis à Ozoir. Donc, voilà. Mais peut-être qu'il y a des gens qui ne s'aiment pas dans ma ville et dans leur ville et qui font qu'ils se battent. » « Mais sinon, normalement, il n'y a rien du tout. Regardez, là, je suis à Ozoir. Il ne se passera rien du tout. » « Je pense même fortement qu'il y aura des représailles parce que c'est comme ça. Les petits, ils sont faits frapper. Ils voudront se venger. » « Voilà, c'est comme ça. C'est normal. » « C'est sûr que les parents, ils ne vont plus laisser leurs enfants sortir. Ça ne va pas être pareil qu'avant. » « Eh oui, je suis à Ozoir. Il ne se passe rien. Mais en même temps, ils vont se venger. » « Parce que ceux qui ont intégré, c'est qu'ils vont se venger. Voilà, c'est comme ça. Et puis, on ne sort pas le soir. Voilà. » « En trois mois et demi, sont résumées les contradictions tout à fait intéressantes. Voilà....
Transcription générée par IA