Retranscription des premières minutes :
- 10h midi, Christine Bouillaud, Gilles Gansman, Sud Radio Média.
- Bonjour Gilles.
- Bonjour Valérie.
- Oh vous êtes... Valérie.
- Ah bah voilà.
- Je m'en vais.
- Je suis conditionné.
- Allez on recommence.
- On recommence.
- Bonjour Christine.
- Voilà.
- Vous avez des petits yeux, vous n'auriez pas fait la fête hier.
- Non je suis allée voir une très jolie comédie musicale grâce à un certain Gilles Gansman.
- On en reparlera oui.
- On va se plonger au cœur des sujets qui est parfois lourd mais là on comprend toute la mécanique.
- On reçoit Géraldine Levasseur, bonjour.
- La reine des docs.
- Alisha Makni qui a réalisé ce documentaire que l'on verra ce soir à 21h05 dans zone interdite, au cœur de nouvelles prisons de haute sécurité.
- C'est spectaculaire.
- C'est incroyable parce que tourner ce genre de sujet pour être reporter aussi à certains moments de mon métier, que c'est compliqué de rentrer dans des établissements pénitentiaires.
- On ne fait pas ce qu'on veut, on ne filme pas.
- Et là on voit absolument tout le fonctionnement.
- Bravo.
- Écoutez, merci beaucoup.
- C'est une question d'autorisation et de confiance de l'administration pénitentiaire.
- On avait déjà bossé avec eux, ça s'était bien passé.
- Et donc effectivement, ils ont donné une grande confiance à Alisha et David Périssère et elle a pu tourner.
- Oui, mais il y a à la fois tourner et il y a à la fois garder son indépendance de journaliste et d'aller chercher les choses.
- Et moi c'est ce que j'ai aimé dans le doc, c'est qu'on ne se contente pas de dire qu'il y a une porte.
- Là il y a ci, il y a ça.
- Il y a l'explication et je vais chercher les choses.
- Et moi, j'ai trouvé qu'il y avait un travail remarquable de documentaire.
- C'est vraiment un super travail que vous avez fait.
- Vous m'avez rappelé qu'on vous avait reçu pour Moisan.
- Mais là aussi, vous avez fait attention à aller chercher les questions et pas simplement faire la pub des prisons de haute sécurité.
- Parce que cette prison de haute sécurité a fait couler beaucoup d'encre sur pas mal de choses.
- À la fois sur les conditions de détention, la révolte des détenus.
- Et vous étiez là quand ils ont tenté d'expliquer pourquoi ils ne sont pas d'accord d'être dans cette prison de haute sécurité qui regroupe la centaine de narcotrafiquants les plus dangereux du pays.
- Oui, ce qu'on voulait faire, c'était surtout faire une démonstration.
- C'est-à-dire permettre au public de comprendre toutes ces mesures, comment fonctionne cette nouvelle prison.
- Et pour les nouveaux détenus, évidemment, on en a rencontré, deux, pour échanger avec eux sur leurs conditions de détention, ce qu'ils reprochaient à ce nouveau régime.
- Et à la fois montrer l'efficacité aussi de ce nouveau régime, puisqu'on est en cellule avec eux.
- Ils nous montrent les caillebottis et ils expliquent qu'ils n'ont vraiment plus de contact.
- Oui, parce que ce sont effectivement des conditions de détention à l'isolement, ce qui est assez rarissime dans les prisons françaises.
- Mais on va y revenir dans un instant avec vous.
- Bien sûr, mais Gilles, c'est l'heure de faire le zapping, parce qu'il s'est passé beaucoup de choses depuis hier à la télévision.
- Et vous nous faites un petit résumé.
- Apparemment, on ne retournera pas donner notre voix dans les urnes pour re-voter pour le Parlement.
- Apparemment ! Ce qui est valable aujourd'hui n'est pas forcément à la fin du week-end.
- En tout cas, pour l'instant, on ne va pas redonner notre voix.
- Un peu comme Léa Salamé, qui a eu du mal à donner de sa voix.
- Petit clin d'œil.
- Je mets ce petit clin d'œil parce qu'évidemment, tout le monde en a parlé sur les réseaux.
- C'est l'extrait qui passe le plus.
- Et à noter que c'est 6,8 millions qui ont regardé le journal de Léa Salamé.
- C'est un vrai carton.
- Et ça a été très, très suivi, l'intervention du Premier ministre des missionnaires.
- Bonsoir Sébastien Lecornu.
- Bonsoir.
- Merci d'avoir accepté notre invitation ce soir.
- Merci au service public de m'avoir invité.
- Sébastien Lecornu, il y en a un que vous connaissez bien, qui a sa solution pour la sortie de crise.
- L'Edouard Philippe.
- Et lui, il dit, c'est trop...
Transcription générée par IA