Retranscription des premières minutes :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour à toutes et à tous, heureuse de vous retrouver. Bonjour Gilles.
- Bonjour Valérie, comment ça va ? Vous allez bien ? Je vous ai quitté, vous n'aviez plus de voix.
- Ben oui, j'ai eu une semaine compliquée avec Christine, y compris vendredi.
- Je remercie d'ailleurs Christine Bouillaud d'être là, toujours.
- Moi aussi, pour ses petits conseils médicaux.
- Ça a été ma petite infirmière pendant que vous n'étiez pas là.
- Avec beaucoup de talent, Christine Bouillaud, et merci encore à elle de venir à chaque fois sur Sud Radio.
- Elle est sur Sud Radio, elle est évidemment notre correspondante, mais d'être là à Paris quand il le faut.
- Dans un instant, on va recevoir Alex Darmon, que vous connaissez bien, auditeur de Sud Radio.
- Il est tous les vendredis avec Patrick Roger dans La Vérité en Face, face à Éric Tegner.
- Et il est producteur. Et ce soir, sur Paris 1ère, une émission d'un nouveau genre, émission politique.
- Qui renouvelle le genre.
- Seul contre tous, c'est Éric Dupond-Moretti, qui le temps d'une soirée, va recevoir quatre invités.
- Il ne connaît pas leur identité, et il va se retrouver face...
- Il ne connaissait que les thématiques des débats.
- Il connaissait les thématiques, donc il aura Sandrine Rousseau, Sarah Knafo, Robert Ménard, et Émeric Caron.
- Voilà, pour parler de chasse, de déconstruction, de féminisme.
- C'est très réussi, franchement, j'ai trouvé que c'était vraiment très très bien.
- Non seulement, c'est plutôt...
- Réussi, mais c'est surtout un exercice intéressant, parce qu'il a eu l'intelligence de le faire en dehors de studio.
- Donc, il y a un cadre comme ça, ils sont très près l'un de l'autre, ils sont dans un bar à vin, et vraiment, ça donne un programme vraiment différent.
- On va en parler avec lui, il arrive dans un instant, peut-être avec Éric Dupond-Moretti, ce sera l'invité surprise.
- On est un petit peu comme dans l'émission, on ne sait pas qui va arriver tout à l'heure, mais on commence tout de suite avec le zapping.
- De ce week-end, Gilles.
- Sud Radio Média, l'instant zapping.
- Vous allez sûrement en parler dans vos débats, Valérie.
- Hier, les chaînes info étaient en boucle sur la large victoire de Bruno Rotailleau face à Laurent Vautré, comme disent les...
- Vautré ? Non, Vautré, comme disent...
- Ah, c'est drôle.
- Ah, bah oui, comme disent les cruels réseaux sociaux.
- Ils l'appellent Laurent Vautré, maintenant.
- Du coup, BFM enchaîne.
- Je ne sais même pas où me corriger.
- Ah bon ? Oui, je n'ai pas entendu, non, mais comme vous faites souvent des erreurs.
- Ah bah les...
- Mettez-moi un petit paquet.
- Bon, bah, bim.
- Christine, reviens.
- Du coup, BFM enchaînait les réactions à tout va.
- Comme ça...
- Alors, écoutez bien, ça, c'est formidable, parce qu'ils ont été voir Michel Barnier, qui, en toute modestie, n'hésite pas à dire que si Bruno Rotailleau a gagné, bah, c'est grâce à lui, enfin.
- Ah bah oui.
- Merci, Michel Barnier, de vous arrêter à notre micro quelques secondes.
- Qu'est-ce que ça signifie, l'arrivée de Bruno Rotailleau à la tête des Républicains, ce soir ? La joie de tous ceux qui ont soutenu.
- J'en ai été.
- Rotailleau, dans sa démarche, depuis le début, non pas contre Laurent Wauquiez, mais pour Bruno Rotailleau.
- Je le connais bien, puisque j'ai eu la chance de le compter dans mon gouvernement.
- Et c'est à ce moment-là, d'ailleurs, que notre parti a commencé à connaître un certain renouveau.
- Des élus qui sont revenus, des militants qui nous avaient quittés, déçus, qui sont revenus.
- Beaucoup d'autres ministres LR qui jouent leur rôle, qui sont courageux, qui sont volontaristes, pour être acteurs du destin de notre pays, non plus spectateurs de son déclin.
- Donc c'est ça, le choix que nous avons fait.
- Voilà, merci Michel Barnier.
- Bon, c'est bon, avance, avance.
- Allez, ça passe largement.
- Braque, braque.
- C'est pas drôle.
- Vous comprenez ce que je veux dire.
- Il y a eu deux morts.
- Incroyable image.
- Ce voilier mexicain qui a percuté le pont de Brooklyn.
- Ça, on serait risibles s'il n'y avait pas eu deux morts.
- Vous voyez, j'avais prévu ma désannonce.
- Oui, évidemment, on serait risibles s'il n'y avait pas...
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