Retranscription des premières minutes :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Christine Bouillaud, Gilles Anzman.
- Bonjour à tous, bonjour à toutes, la dernière de la semaine, bonjour Gilles.
- Bonjour Christine.
- Bon, c'est de petite forme.
- Petite forme.
- Vous ne me donnerez pas le nom de votre médecin ? Non, oh, mais si, c'est le docteur Legras.
- On l'embrasse, en tous les cas, on vous souhaite de retrouver une voix tonitruante.
- Pour l'avis, pour le retour de Valérie.
- Pour le retour de Valérie Expert.
- Pour l'instant, on est ravis de recevoir José Daillon.
- Bonjour José, comment ça va ? Ça va, merci de me recevoir.
- On est ravis, on est ravis de vous recevoir.
- Exactement, ce soir, capitaine Marleau, avec ce numéro, cet épisode, l'ami français sur France 2, 21h10, 10 ans du capitaine Marleau.
- Mais moi, j'ai découvert, c'est mon petit côté sudiste, José Daillon, toulousaine, de naissance.
- Oui, mais par accident, on va dire.
- Oui, mais c'est cette petite anecdote que je trouvais savoureuse.
- Parce qu'en fait, comme vous savez, mon père chantait au Capitole de Toulouse.
- Son mentor, c'était Pierre Nougaro.
- Le papa de Claude, chanteur du Capitole de Toulouse.
- C'était un grand bariton d'opéra, enfin, d'un chanteur lyrique.
- La mère de Pierre Nougaro, c'était maman Cécile.
- C'est pour ça que Claude a appelé sa fille Cécile.
- Et elle était sage-femme.
- Et donc, c'est elle qui a accouché ma mère quand je suis née.
- Et votre papa chantait le jour de votre naissance ? Oui.
- J'ai chanté Carmen.
- C'est pour ça que je m'appelle José.
- Voilà, Don José.
- Don José.
- Alors ça, c'est épouvantable parce que, honnêtement, je trouve que c'est le personnage le plus niais des opéras.
- Je trouve ce personnage absolument stupide.
- Et vous n'avez jamais tourné dans votre ville natale ? Mais non, mais j'aimerais bien parce que c'est une très belle ville.
- Je ne peux pas dire le contraire, évidemment.
- C'est magnifique.
- Écoutez, on fait un appel si vous voulez venir.
- Appel d'offres, on va dire.
- Comment vous choisissez justement les endroits où vous tournez les Marlots ? Ça dépend des scénarii, vous voyez.
- Ça dépend aussi des disponibilités des régions parce qu'il y a aussi normalement des aides de région.
- Quelquefois, on n'en a pas.
- Eh bien, on tourne sans aide.
- Voilà.
- C'est fâcheux, on va dire.
- C'est moins facile.
- Et pour une ville, c'est une équipe de combien de personnes qu'elle doit accueillir ? Je ne sais pas, on est une cinquantaine environ.
- Ah oui ? Oui, oui.
- Et puis, il n'y a pas que le fait d'être une cinquantaine.
- C'est qu'on est une cinquantaine pendant la préparation et pendant tout le tournage.
- Oui.
- Donc, il y a évidemment beaucoup d'émulation, vous voyez.
- Et vous, vous aimez être dans le même hôtel que vos techniciens ? Ah oui.
- Tout le monde se mélange ? Avec mes acteurs.
- Avec vos acteurs ? Oui, je ne me mélange pas trop.
- Ah, d'accord.
- Non, mais parce que de toute façon, ce n'est pas une question de se mélanger ou pas.
- Les techniciens aiment beaucoup, par exemple, être dans des hôtels appart avec des cuisines, etc., etc.
- Moi, quand je suis à l'hôtel, je vais m'attraper à l'hôtel, je n'ai pas envie qu'il y ait une cuisine.
- Donc, moi, j'ai besoin d'être avec mes acteurs.
- Oui.
- Et au catering, vous mangez avec les techniciens ou les comédiens ? Bien évidemment, oui.
- Mais je mangerais peu.
- C'est vrai ? Sur un tournage ? Très peu.
- José Daillon est notre invité ce matin pour parler de Capitaine Marleau, cet épisode, ce soir, sur France, de l'ami français.
- On parlera aussi de cet épisode inédit qui a été diffusé la semaine dernière avec Émilie Dequenne, son dernière tournée.
- Cette sublime actrice qui nous a quittés.
- On peut voir sur France.tv, on peut voir tous les Marleaux sur France.tv.
- Et puis, Henri Première a racheté aussi des Marleaux et ils font un carton d'audience grâce à Capitaine.
- Capitaine Marleau.
- Allez, on y va pour le zapping.
- Hier, juste un peu avant le...
- Je ne sais pas si je vais aller jusqu'au bout.
- Peu avant le direct, on apprenait la mort du journaliste Daniel Bilalian.
- Au même moment, chez Pascal Praud, la nouvelle tombait,...
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