Retranscription des premières minutes :
- Terre de France.fr, le premier site d'articles français et patriotes présente La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso La culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso la culture dans tous ses états, André Bercoff, Céline Alonso question que tout le monde me pose, et c'est un truc global, mais un jour, on a fait une photo dans le Nord, d'un petit garçon qui avait une leucémie, et tout le village l'avait aidé. Et donc, la dame avait, sa mère avait demandé de venir avec tous les gens qui l'avaient aidé, et il y a 50 personnes du village qui sont là, le boulanger, le maire, un pilote d'avion, et le petit garçon a écrit « Merci ». Et ça, c'est la solidarité, c'est très émouvant de faire ça. On a fait aussi une prison de femmes à Versailles qui m'a beaucoup touché. Les femmes, ce n'est seulement que 3,5% des détenus en France, ça veut dire quelque chose. Donc, je voulais vraiment faire une prison de femmes. Et dans cette prison, il régnait une espèce de bienveillance, d'empathie, de sororité entre ces femmes géniales. Alors, on a fait une photo où tu as la directrice de la prison, les détenus, les gardiens, on a l'impression qu'ils se prennent tous dans les bras, tous ensemble, et la directrice de la prison me dit « Je voulais faire du social, et là, je fais du social ».
- Chaque photo a été intéressante. C'est étonnant par rapport à ce qu'on dit des prisons.
- Exactement, avec une douceur, une bienveillance extraordinaire.
- Bon, il y avait l'attaché de presse du ministère de la Justice à côté de moi, il m'a dit « Oh là, je vais me faire virer, là ».
- Mais c'était vraiment... En tout cas, j'ai trouvé ça formidable. On avait aussi un petit garçon autiste, ça m'a beaucoup touché, un petit garçon qui était autiste, parce que une dame vient me voir, elle me dit « Voilà, j'ai mon petit garçon qui est autiste, et il aura du mal à monter dans le studio, il va avoir peur des flashs.
- Est-ce que je peux venir tôt le matin ? » Je dis « Bien sûr, qu'ils viennent, ils arrivent le matin. » Et le petit garçon, il avait peur de venir, il était terrorisé par les flashs, le studio, et donc pendant une heure, elle l'a appelé, elle lui a parlé avec une tendresse et un amour invraisemblable, et quand tous les deux ils sont sur le banc, et qu'elle le prend dans ses bras, et qu'elle sourit, tu sens l'amour incroyable d'une mère pour un enfant, pas comme les autres, et ça m'a vraiment touché. Et en fait, vous leur demandiez de... Vous disiez que le parti pris, c'était quand même de sourire.
- Mais ils souriaient naturellement.
- Ah oui, vraiment ? Ça, vous leur disiez quand même.
- Les gens, on ne fait pas la gueule, quand tu viens...
Transcription générée par IA