Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, c'est excellent », Judith Bélair.
- Bonsoir, bonsoir, vous êtes bien sur Sud Radio et vous le savez, le dimanche soir, c'est excellent.
- C'est un éternel enfant de la glace et une véritable icône du patinage artistique.
- Vous l'aurez deviné, à mes côtés sur le plateau se trouve le double médaillé olympique Philippe Candeloro-Philippe.
- Vous retrouvez le chemin des théâtres avec votre complice Nelson Monfort que nous connaissons bien sur Sud Radio.
- Pour une nouvelle aventure scénique, sa patine à Tokyo s'est entournée dans toute la France.
- Puis il y a aussi votre spectacle « La fille du marchand de sable sur glace ».
- C'est conçu et mis en scène d'ailleurs par Olivia Darman-Candeloro et ça arrive très bientôt.
- Ben oui, bonjour déjà, bonsoir plutôt parce que c'est vrai qu'on est dimanche soir, demain il faut retourner au boulot.
- On va mettre les gens de bonne humeur.
- C'est excellent.
- Et d'ailleurs c'est l'émission qui crée le lien que de médaillés sur ce plateau aujourd'hui.
- Elle est chef pâtissière et elle vient d'être nommée chevalier de l'Ordre National du Mérite en reconnaissance de son parcours d'excellence.
- Jessica Pré-Alpato s'impose.
- Comme une figure incontournable de la gastronomie contemporaine, Jessica, vous avez aussi été sacrée meilleure pâtissière du monde en 2019 et vous réinventez l'art sucré avec la décéralité.
- C'est tout un concept.
- On a hâte que vous nous en parliez.
- On s'en lèche les babines d'ailleurs.
- Bienvenue.
- Bienvenue, merci beaucoup.
- Avec plaisir.
- Et vous, chers auditrices, chers auditeurs, bienvenue chez vous, c'est excellent.
- Alors, Philippe Candeloro, sa patine à Tokyo donc ? Ben oui, sa patine à Tokyo à 20h30 et puis comme je dis souvent à la fin du show, sa tapine à Tokyo.
- Donc à 23h30.
- Voilà, on saura tout.
- Et vous faites ça les deux avec Nelson Monfort évidemment.
- Il y a un changement de costume entre les deux.
- Non, lui il va se coucher et on prend quelqu'un d'autre à sa place.
- Alors, c'est en tournée dans toute la France, c'est mis en scène par Hugo Kremaski, également co-auteur de la pièce, il a assisté Julien Grange.
- Alors, le pitch grosso modo, vous êtes à Tokyo pour commenter la finale des championnats du monde de patinage artistique et puis là tout bascule, il y a un corps inanimé qui est découvert dans la baignoire de votre chambre.
- Voilà.
- En fait, de Nelson quand il arrive, moi j'ai sorti toute la nuit, lui il arrive à 7h du matin comme d'habitude.
- Frais comme un gardon pour aller visiter la ville, sauf que moi je suis rentré 2h juste avant.
- Vous n'êtes pas très frais vous.
- Pas très frais, je ne me rappelle pas de ce qui s'est passé d'ailleurs.
- Et effectivement, il y a un corps inanimé dans ma salle de bain.
- Et alors pour dénouer l'intrigue.
- Ce corps inanimé, c'est le corps du champion de patinage français qui doit concourir pour le championnat du monde le soir même.
- Donc là, je ne vous dis pas la galère.
- C'est louche.
- Parce que nous...
- C'est louche.
- Voilà, on est victime d'un chantage des yakuza là.
- On doit dire que les japonais sont meilleurs que les français.
- Sauf que moi, je refuse de faire ça.
- Et on s'engueule, on se drague.
- Voilà, et puis c'est très sympa.
- Vous vous éclatez en fait.
- Ah ouais, on se marre bien.
- Surtout quand on sort des textes.
- Ouais.
- C'est ça qui est amusant pour moi.
- Quand vous faites de l'impro d'autant plus quoi, c'est ça ? Ouais.
- Bah on essaye.
- Après, forcément, ce qui est dur...
- C'est en fonction du public un petit peu, non ? Que ça se passe.
- Ouais, et puis c'est en fonction de l'ambiance qui règne dans la salle.
- Moi, c'est le moment que je préfère, parce que c'est là où ça décontenance un petit peu Nelson.
- Ouais.
- Vous aimez bien décontencer Nelson.
- Bah j'essaye, parce que c'est ce qui fait marrer les gens.
- Donc en fait, il faut leur donner ce qu'ils sont venus chercher.
- Et alors, comment s'est née l'idée de cette intrigue ? Comment vous avez décidé de faire ça ensemble ? Alors, à la base, moi, j'étais en train de me faire...
Transcription générée par IA