Retranscription des premières minutes :
- Comment, qu'est-ce qui se passe ? Vous savez, c'est le Proche-Orient qui enflamme effectivement, pour des raisons diverses et variées, en Europe et ailleurs.
- On va essayer de décrypter tout cela.
- Et ensuite, on va parler aussi de, voilà, vous savez, on a beaucoup parlé de l'aide française au développement, de l'argent, où va notre argent, où va l'argent du contribuable.
- Alors vous allez voir, on va encore donner quelques exemples par rapport, voilà, on aide Yaoundé, le Cameroun, eh bien, on aide Cameroun, mais on n'aide pas Chambord, on n'aide pas Chambord.
- Vous savez, c'était juste le dit, et je vais rappeler ce que disait Raymond Cartier.
- Raymond Cartier, un essayiste très connu, grand reporter à Paris Match, disait « Est-ce qu'on choisit la Corrèze avant le Zambèze ? » Eh bien, la question est plus que jamais posée, 50 ans après Raymond Cartier.
- Et puis, on va parler de ces écoliers qui font trop de bruit à Maison Lafitte.
- « Oui, mais ils font trop de bruit, ils gênent un certain nombre de gens, et voilà, qu'est-ce qu'on va faire ? On va déplacer l'école, peut-être ? » On a en parlé avec Jacques Millard, que l'on collait bien ici, maire de Maison Lafitte.
- Et puis, il paraît que, vous savez qu'il pollue la planète ? Vous savez qu'il pollue vraiment la planète ? Eh bien, c'est vos chats et vos chiens.
- Oui, oui, oui, il est temps d'agir pour sauver la planète.
- Qui dit ça ? Eh bien, vous allez l'entendre.
- En seconde partie de l'émission, nous allons recevoir Pierrot de San Giorgio, essayiste, auteur de « Survivre à la planète », auteur aux éditions Culture et Racines, et auteur d'un bouquet qui s'appelle « Gros, carrément gros, sur l'alimentation ».
- Eh oui, la malbouffe est toujours là, et peut-être qu'il faut de plus en plus la combattre.
- À tout de suite.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour.
- Israël, Palestine, très repromise, mais si difficilement tenue.
- Voilà, dernier épisode, encore en tout cas le plus récent épisode, et non pas le dernier, le dernier.
- Peut-être un jour une paix, mais quand ? À Pâques ou à la Trinité, en attendant ? Donc à l'Assemblée Générale de l'ONU à New York, le président français Emmanuel Macron a dit ceci.
- Écoutez.
- Le temps est venu.
- C'est pourquoi, fidèle à l'engagement historique de mon pays au Proche-Orient, pour la paix entre le peuple israélien et le peuple palestinien, je déclare que la France reconnaît aujourd'hui l'état de Palestine.
- Voilà, la France reconnaît aujourd'hui l'état de Palestine, donc officiellement, de façon, voilà, engagement au Proche-Orient, peuple israélien, peuple palestinien.
- Il a ajouté d'ailleurs que pour lui, cette reconnaissance de cet état de Palestine est une défaite pour le Hamas, comme pour les antisémites, dit Emmanuel Macron.
- Il faut maintenant, voilà, aller vers le chemin d'une négociation utile, briser l'engrenage de la violence.
- Et il appelle Israël à ne plus rien faire pour entraver les négociations.
- Rien ne justifie plus la poursuite de la guerre à Gaza, dit Macron.
- Alors, est-ce qu'effectivement, ça ouvre une porte, ça enferme ? Qu'est-ce qui peut se passer ? Nous sommes avec Anas Emmanuel du Fao.
- Anas Faour, qui est philosophe, qui est ancien professeur en Syrie, qui vit en France, qui est ingénieur en informatique, qui vit en France depuis 2004 et qui est ex-secrétaire général en 2007 de l'Union Générale des Éditions de Palestine.
- Alors, Anas Faour, vous avez vécu longuement au Proche-Orient, vous vivez en France depuis plus de 20 ans.
- Est-ce que vous considérez, c'est-à-dire très précis, que cette déclaration d'Emmanuel Macron, cette reconnaissance officielle par la France de...
- d'un État de Palestine, de l'État de Palestine, ouvre une porte, ferme une porte, pour vous, ça représente quoi ? Cette déclaration... Merci beaucoup pour l'invitation, d'abord.
- Cette déclaration, elle n'ouvre pas de porte.
- Cette déclaration n'ouvre pas de porte.
- D'abord, c'est un obstacle pour la diplomatie, pour la diplomatie française.
- Comment on va discuter avec tous les côtés du conflit ? Comme aujourd'hui, j'ai attendu ce RTL, l'ambassadeur d'Israël a dit, il a dit que ça n'a aucun sens.
- Et aussi pour...
Transcription générée par IA