Retranscription des premières minutes :
- TerreDeFrance.fr, le premier site d'articles français et patriotes présente...
- Ici Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Les carottes sont cuites.
- Sud Radio, Bercov dans tous ses états.
- André Bercov, Céline Alonso.
- Bonjour et bienvenue sur Sud Radio.
- Alors aujourd'hui, André Bercov, qu'est-ce qui vous met dans tous vos états comme chaque semaine ? Mais qu'est-ce qui peut ne pas me mettre dans tous mes états eu égard à ce qui se raconte dans ce cher et doux pays ? Et d'abord, et d'abord, évidemment, évidemment, le procès des cyber-harceleurs de Brigitte Macron.
- Eh oui, depuis lundi, ça s'est tenu, une riposte judiciaire, voilà.
- C'est-à-dire qu'il y a des gens qui, en ligne, vous savez, les fameux réseaux sociaux, vous avez vu qu'Emmanuel Macron avait parlé hier, avant-hier, sur les réseaux sociaux en disant « C'est plus possible de parler, il faut faire quelque chose, il faut arrêter ces pelés, ces galeux d'où vient tout le mal. » Donc, procès des cyber-harceleurs.
- Alors c'est quoi ? Eh bien c'est des gens qui ont écrit des choses sur des tweets, sur des libelles et autres.
- Et le parquet a requis des peines allant de 3 à 12 mois de prison avec sursis et jusqu'à 8000 euros d'amende contre 10 personnes accusées d'avoir relié une théorie complotiste vivant Brigitte Macron.
- On en a parlé un peu partout, les relations entre Brigitte et Emmanuel Macron, etc., Jean-Michel Tronier et autres.
- Alors la décision sera rendue le 5 janvier 2026, donc dans 3 mois.
- Et Amaury Bucaud, journaliste police-justice à Valeurs Actuelles, il va nous raconter ce qui s'est exactement passé.
- Et ce que nous avons Amaury Bucaud en ligne, nous allons pas le recevoir tout de suite, effectivement, juste après cette petite pause publicitaire, parce que nous allons parler ensuite de la précarité énergétique.
- Les Français ne peuvent plus, la moitié des Français ou le quart des Français ne peuvent plus payer l'électricité.
- On va parler sexe avec ChatGPT.
- Eh oui, ChatGPT ne devient pas seulement un interlocuteur d'intelligence artificielle, ça devient un partenaire amoureux, je vous assure.
- Et puis on va parler évidemment des chansons censurées, Georges Brassens avec Garogori, Emmanuel Pira, l'avocat va tout nous raconter là-dessus.
- Et seconde partie.
- À 14h, nous sommes vendredi, la culture dans tous ses états.
- Avec Céline Alonso, nous allons recevoir deux très grands connaisseurs de la laïcité, Henri Pénarwiz et Alain Policar, qui vont nous expliquer, ils ont des vues très différentes sur la laïcité, qui est redevenue un territoire et un champ de combat.
- Eh oui, le fait du jour.
- Cette semaine, le procès du cyberharcèlement de Brigitte Macron s'est tenu au tribunal correctionnel de Paris.
- André Bercoff et Amaury Bucaud, journalistes police-justice à Valeurs Actuelles, mais aussi chroniqueurs sur W9 dans TBT9, a assisté aux deux journées d'audience.
- André, bonjour à vous Amaury.
- Alors, racontez-nous comment se sont déroulées ces deux journées.
- Oui, surtout Amaury Bucaud, bonjour.
- Bonjour.
- Dites-moi, ce qui est étonnant quand même, c'est quelque chose...
- En fait, le chef d'accusation, c'est cyberharcèlement.
- C'est bien ça ? C'est ça.
- Ce n'est pas en fait...
- On n'est pas là sur le terrain de la diffamation.
- C'est-à-dire que le tribunal n'a pas jugé si on avait le droit d'accuser Brigitte Macron d'être pédophile ou transsexuelle.
- Ce sont les accusations régulières qui reviennent sur les réseaux sociaux.
- La question n'était pas cela.
- La question, c'était de savoir si les personnes qui étaient jugées ce jour-là, par leur comportement sur les réseaux sociaux en meute, en très grand nombre, ont dégradé les qualités de vie de Mme Brigitte Macron.
- Donc, c'était vraiment ça.
- Alors, il y avait deux types de prévenus, en fait, dans le tribunal.
- Il y avait, d'une part, des gens pris au hasard par le parquet, qui, bien sûr, ne pouvaient pas mettre tout le monde dans le tribunal.
- Donc, des tout petits comptes, des gens qui, on le voit bien, ne comprenaient pas trop ce qu'ils faisaient là.
- C'était un traumatisme.
- Ils disaient, voilà, j'ai été interpellé à 6h du matin, perquisitionné pour quelques tweets.
- Ils ont l'impression qu'il y a une espèce de main de fer qui s'est abattue sur eux.
- Attendez, Amor et Bucco,...
Transcription générée par IA