Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio Bercov dans tous ses états. » « Nous sommes en guerre. » « Il contrôle la constitutionnalité des lois, mais personne ne sait combien il gagne. » « Ma question écrite était fort simple, c'était quel est le montant annuel de rémunération des membres du conseil constitutionnel. » « Alors, c'est combien ? » « Non, mais non, je ne vais pas crier. » « Le gouvernement n'a pas souhaité répondre précisément. » « Des millions. » « Combien ? » « Un, deux, trois, quatre, dix-sept, enfin voilà, c'est un chiffre qui peut changer. » « Vous avez l'argent, ça va, ça vient, il faut que ça circule. » « Profitez, les gars, profitez, parce qu'à mon avis, l'année prochaine, on ne sera plus dans la même classe. » « Nous sommes en guerre. » Et oui, le fameux « Nous sommes en guerre » du non moins fameux président de la République.
- Vous vous rappelez, c'était Covid.
- Mais alors aujourd'hui, ce n'est plus Covid.
- Mais la guerre, en revanche, la guerre, qu'est-ce qu'on en entend, les bruits de guerre.
- Et les bruits de guerre sur fond d'eux.
- Français qui se disent « Mais où on habite ? » « Où on est ? » « À qui ? » « Ce pays, c'est quoi ? » « C'est quoi au niveau du drapeau ? » « Au niveau des manifestations, c'est quoi ? » On va en parler parce que, selon beaucoup de sondages, les Français sur les idées d'identité, de patriotisme, de souverainisme, d'indépendance, ils seraient à au moins 55%.
- Et pourtant, chez les souverainistes, les patriotes, les indépendants, les identitaires, etc., ce n'est pas la guerre.
- Mais c'est attiré, affleuré, non moucheté.
- Pourquoi ? On va en parler avec Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France.
- Qu'est-ce qui se passe ? Parce qu'il y a eu un certain nombre de déclarations encore aujourd'hui.
- Et on se dit qu'à l'aune et à la veille des municipales, et dans un an et demi, si, attention, ça peut être avant les présidentielles, qu'est-ce qui se passe ? On en parle.
- Et puis, cette fête du cochon qui a été interdite en Bretagne, après d'autres.
- Alors, le cochon, il ne serait pas français ? Non, le cochon, c'est quelque chose de très sulfureux, paraît-il.
- On en va en parler aussi.
- On va en parler aussi d'un certain nombre de problèmes visant à ces manifestations à Londres.
- 100 000 personnes selon certains, 1,5 million de personnes selon les autres.
- Et honnêtement, même ceux qui n'étaient pas du même bord admettent qu'on ne s'était du jamais vu.
- Et ensuite, et ensuite, ensuite, en seconde partie de l'émission, nous allons recevoir le journaliste Ivan Stefanovic, qui a écrit un livre.
- Un livre remarquable sur cette puissance non élue et qui fait presque tout.
- Non, non, non, ce n'est pas Ursula von der Leyen et la Commission européenne, c'est le Conseil constitutionnel.
- Un livre remarquable sur le Conseil constitutionnel.
- On les appelle les neuf sages.
- Sages, on verra.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour.
- Le fait du jour, eh bien, je vais vous dire, c'est un tweet que je vais vous lire, François Asselineau.
- Alors, François Asselineau a tweeté ceci.
- « Rien ne va plus chez les « souverainistes » d'extrême droite.
- C'est la guerre entre Dupont et Nian, qui a fait alliance à Vierzon avec Zemmour, Maréchal et Ciotti, tous antifrexites.
- Et Philippot, c'est toujours François Asselineau qui parle, désormais proche de Villiers, soutien de Zemmour en 2022. » Alors, on lit ça, on se dit, voilà, il n'y a plus personne, il y a une terre brûlée, il n'y a que moi, Asselineau, qui représente, évidemment, le souverainisme à moi tout seul.
- Et je dis tout de suite que si François Asselineau a envie de répondre, s'il écoute, eh bien, il n'y aura aucun problème, il est chez lui.
- Alors, Nicolas Dupont et Nian, vous, franchement, on ne peut pas vous reprocher d'avoir changé ni de voie, ni de ligne rouge, ni de chemin essentiel.
- Vous êtes indépendantiste, souverainiste, vous l'avez toujours dit, vous l'avez...
- Toujours marqué.
- Et on a l'impression d'un...
Transcription générée par IA