Retranscription des premières minutes :
- Oh mais...
- Ce qui est sûr, c'est qu'on en a plein le cul ! Nous sommes en guerre.
- Nous sommes en guerre.
- Nous sommes surtout le 10 septembre.
- Alors le 10 septembre, d'abord, on va voir ce qu'il va se passer.
- Je donne juste ma petite expérience personnelle de Parisien qui est venu de son domicile à Sud Radio à Boulogne.
- Jamais ça n'a circulé avec une telle souplesse.
- Alors, dans mon quartier, dans mon quartier dont j'habite, c'est pas pour parler de moi, j'habite le quartier de l'Opéra, j'arrive à Boulogne.
- Vous ne pouvez pas savoir, on avait l'impression d'être dimanche 15 août.
- Voilà.
- Et heureusement, nous avons avec nous Benjamin Cauchy et Nicolas Vidal.
- On va en parler et ça se passe autrement.
- Mais ce qui est intéressant quand même, c'est, et on va en parler avec nos deux interlocuteurs, comment dans cette particulière circonstance de ce 10 septembre, on a commencé à assigner à résidence et à donner des étiquettes à ce qui allait se passer 10 jours avant.
- C'est comme si, écoutez, ce n'était pas la peine de faire cet événement puisqu'on savait déjà comment ça allait se passer.
- Nous sommes midi, ça a commencé depuis le matin, on va en parler donc avec Benjamin Cauchy et Nicolas Vidal.
- Mais nous allons aussi parler de ce député qui avait mis, horreur et putréfaction, un drapeau français sur la fenêtre de son bureau de l'Assemblée nationale.
- Un drapeau français, à l'Assemblée nationale française.
- Alors, c'est vrai que c'est un scandale sulfureux qui méritait au moins l'exil à Cayenne.
- Bon, il a pu la remettre, on va savoir.
- Et puis, celle sans qui on ne ferait jamais d'émission, Sandrine Rousseau, vous savez qu'elle devait quitter X, eh bien, elle est retournée à X pour dire son amour de X.
- Je parle de Twitter, bien sûr.
- Toujours très intéressant, le coût environnemental de vêtements. Oui, oui.
- Vous allez vous habiller beaucoup plus cher. Pourquoi ? Pour sauver la planète.
- Et enfin, en seconde partie de l'émission, écoutez, on va faire des séances humaines. Vous allez me dire, mais pourquoi ? Oui, on va parler du numéro spécial de séances humaines sur psychologie de la connerie. Vous allez voir, ils ont fait un numéro absolument passionnant, contestable, mais passionnant.
- Qu'est-ce que c'est que la connerie ? Y a-t-il un gène de la connerie ? Qu'on conne quelle différence ? Donald Trump, etc.
- Donc, on va parler de connerie pendant de 13 à 14 heures.
- Cela dit, on pourrait parler de connerie tout le temps, comme vous le savez. A tout de suite ! Oui, nous nous sommes préparés ici. Vous savez, ça va être 10 jours qu'on dit que c'est l'insurrection qui commence.
- Et je vous dirai, les manifestations, oui, la chienlit, non.
- Comme vous disait un certain général, il y a un peu plus de 50 ans maintenant. Non.
- Soyons sérieux, le 10 septembre.
- Alors, le 10 septembre, vous avez, au jour le jour, on vous parle des rassemblements, de certaines manifestations, de poubelles qui brûlent, de lycées attaqués, de ça et là, il y a quelque chose qui se passe.
- Et on va en parler vraiment longuement avec Benjamin Cauchy.
- Bonjour, Benjamin Cauchy.
- Bonjour, André. Bonjour à tous vos auditeurs.
- Vous êtes entrepreneur, vous êtes président du cabinet Archimède.
- Et je rappelle que vous êtes ancien porte-parole des Gilets jaunes. Et évidemment, on va en parler des Gilets jaunés.
- Bonjour, Nicolas Vidal.
- Bonjour, André Bercoff. Bonjour. Toujours aussi le plaisir de vous recevoir. Vous êtes fondateur et animateur de l'excellent plateforme Putsch Média.
- Et effectivement, je voudrais juste commencer par vous, Nicolas Vidal. Vous êtes dans un café, je crois, de Montpellier.
- Qu'est-ce qui se passe en ce moment ? Qu'est-ce que vous avez vu depuis ce matin ? Oui, André Bercoff. Ce matin, j'étais sur un point de rassemblement à Nîmes, notamment hier soir, sur une AG, parce que vous savez, le terrain est important pour se rendre compte de ce qui se passe. Ça change un peu des plateaux mainstream. Et ce matin, je suis allé à ce rassemblement à Nîmes avec un regroupement, je dois vous le dire, très hétéroclite.
- Très hétéroclite....
Transcription générée par IA