Retranscription des premières minutes :
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- On n'en veut plus.
- Les héros, ils disent un peu Macron.
- On n'en veut plus mais il pète tout parce que c'est pas tout de suite.
- Alors qu'est-ce qui se passe sur ce front ? On va en parler avec Philippe Pascot qui a écrit un livre.
- Ça n'a rien à voir, je vous assure, avec Bayrou.
- Rien à voir.
- Mais pilleurs d'État encore et encore.
- Mais qui sont ces pilleurs d'État ? On va en parler.
- Et puis, on va parler évidemment de cette polémique qui a enflammé le week-end, qui sont deux journalistes du service public, de la télévision et de la radio, de service public, ont discuté dans un café avec deux socialistes, deux membres éminents du parti socialiste.
- Et alors ? Et alors ? Les journalistes ne peuvent plus rencontrer les politiques ? Oui, attention, mais comment ? De quelle manière ? Et est-ce qu'on est dans l'hypocrisie la plus totale et le focalisme le plus institutionnalisé ? On va évidemment en parler.
- On va aussi se demander si les Français, tous les Français, doivent payer les conséquences des émeutes.
- C'est-à-dire que quand quelqu'un, un brave trublion, jeune ou pas jeune, casse, tupie ou viole, eh bien, est-ce que tous les citoyens doivent payer ? Vraie question.
- Est-ce qu'un commerçant doit être condamné ? Comme il y en a qui en ont été, parce qu'il s'est défendu lors d'une agression ? Est-ce qu'une fille qui utilise son taser, alors qu'elle en passe d'être violée, eh bien, c'est-elle la coupable ? On va en parler, tout ça.
- Et puis, en seconde partie de l'émission, on va avoir un problème, un problème.
- Non pas un problème, mais des solutions sur cette zone terrible qu'est le Proche-Orient.
- Vous savez, cette zone élue, mais toujours en balotage.
- Cette zone promise, mais pas très bien tenue.
- Adnan Azam, écrivain syrien, va parler de ce qui se passe en Syrie.
- Et vous allez voir, les massacres, et là, sont partout.
- Et François Gervigy, qui est directeur des opérations de SOS Chrétien d'Orient, va aussi parler de cette zone, de cette zone des tempêtes.
- A tout de suite.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour.
- Mais pourquoi veulent-ils le faire partir ? Pourquoi ? Je parle évidemment.
- Cet après-midi, le suspens sera à son comble.
- François Bayrou va-t-il quitter Matignon ? Alors que c'est lui-même qui a demandé un vote de confiance.
- On en parle tout de suite.
- Je suis là. Il y a eu un peu de mélange dans mes pages.
- Je suis un néophyte.
- Burger King.
- Hum, Burger King.
- Donc il y a entre 200 et 400 fois 1000 millions de soleils dans le système solaire.
- Et alors après, si vous vous demandez combien il y a de galaxies, comme la Voie lactée dans le système solaire, là, vous en trouvez 2000 milliards, dit-on récemment.
- Mais ça veut dire qu'il n'y a pas assez de grains de sable sur la Terre pour représenter les étoiles du système, de notre univers.
- Il y a des femmes qui pèsent plus lourd que d'autres.
- Moi, j'ai connu dans ma vie des femmes qui pesaient plus de 100 kilos.
- Et elles aimaient nager.
- L'histoire de ces selfies, c'est l'histoire de ma vie parce que quand j'étais...
- quand j'étais très jeune, il y avait des jeunes filles qui venaient me voir en disant « Est-ce que je peux faire un selfie parce que je vous adore ? » C'est-tu contre le cumul des mandats ? Non, c'est pas vrai.
- Peut-être, j'ai oublié.
- Mais un grand nombre de celles-là sont depuis venues me voir en disant « Est-ce que je peux faire un selfie parce que ma mère vous adore ? » Est-ce que vous vous êtes aperçu qu'il pleuvait ? Je viens de le voir, monsieur le Premier ministre.
- Vous serez de nouveau candidat au poste de Premier ministre, voire de président de la République.
- Inch'Allah.
- Nous quitter sans espoir, sans espoir de retour.
- Ce n'est qu'un au revoir, François Bayrou, ce n'est qu'un au revoir.
- Philippe Pascoe, écoutez, on ne va pas vous présenter.
- On vous connaît, on vous reçoit toujours avec plaisir.
- Vous avez écrit...
Transcription générée par IA