Retranscription des premières minutes :
- Générique La traduction employée par Marine Tondelier lors de son passage hier dans la matinale de nos confrères de TF1 n'est pas la bonne.
- Elle emploie le terme « déportation » et elle ne manque pas de se faire reprendre par le présentateur de l'émission.
- « La déportation » c'est le terme juridique qui est dans les papiers israéliens.
- « Arrêtez, vous savez très bien ce que signifie la déportation. » C'est une mesure juridique, je suis désolée d'employer le terme qui est utilisé par les autorités elles-mêmes, je n'en ai pas d'autres.
- Sauf que non.
- « Déportation » ne se traduit pas par « déportation » en français, mais par « expulsion ».
- Il est question d'une déflottie à destination de Gaza, avec à son bord une eurodéputée de son camp politique arrêtée par l'armée israélienne pour être expulsée et non déportée, comme Marine Tondelier le prétend, en se fiant aux textes juridiques qui sont en anglais.
- Eh bien c'est bien évidemment, si on en parle ce matin, c'est que cette sortie médiatique a provoqué mais alors un tollé sur les réseaux sociaux.
- Et forcément Maxime, ça ne passe pas auprès des internautes puisqu'on lui reproche clairement la comparaison.
- Entre les juifs déportés lors de la seconde guerre mondiale et l'expulsion des membres de la flottille sur X, la séquence est qualifiée d'abjecte dérapage par cet internaute.
- De manière plus sobre, certains estiment que c'est un curieux choix des mots et demandent si elle réalise l'immondice que ça représente.
- Quand pour d'autres, cela montre donc que les écologistes sont de véritables ordures.
- Quoi qu'il en soit, travailler son anglais semble donc une nécessité pour Marine Tondelier parce que oui, les mots ont tous un poids et une importance.
- Alors à l'avenir, peut-être faudrait-il faire attention à ceci.
- Qu'ils sont employés ou alors tout simplement faire appel à un traducteur.
- Non mais ça c'est sûr et ce que j'adore dans l'extrait que vous avez diffusé, c'est le flègme de Bruce Toussaint qui présente cette émission.
- Quelqu'un qui fait Marine Tondelier, arrêtez, on sent tout le désespoir dans la voix.
- C'était le « On en parle » signé Jules Bosqueriné.
- Il est 7h43 dans un instant, vous en avez l'habitude.
- Sud Radio vous explique un chiffre, 150 000.
- C'est quoi ? C'est le nombre de jeunes qui quittent la France chaque année.
- C'est ce qu'on appelle la fuite des cerveaux parce qu'en réalité, ils font carrière à l'étranger.
- Ils partent ailleurs.
- Alors pourquoi ? Parce que la mentalité française ne leur plaise pas.
- Parce qu'ils estiment que par rapport aux études qu'ils ont réalisées, ils ne sont pas suffisamment payés en France.
- On pourrait appeler ça des caprices, peut-être.
- Mais en attendant, ça devient un vrai sujet.
- Il y a une étude inédite sur le sujet.
- Vous allez voir, c'est assez édifiant.
- Une fois de plus, je leur ai prêté près de 150 000 jeunes qui quittent la France après avoir fait des études pour travailler à l'étranger.
- C'est considérable.
- Et Sud Radio vous explique ce sujet parce que c'est important.
- A tout de suite et très bon réveil, 7h44.
- Sous-titrage ST' 501 .
Transcription générée par IA