Retranscription des premières minutes :
- Le Loft Musique Sud Radio, Yvan Cujus.
- Croire en soi, c'est déjà presque réussir. Victor Hugo.
- C'est la citation du jour. Chela, c'est la citation du jour.
- Oui, ben c'est pas faux. Moi je dis c'est pas faux.
- Ça fait réfléchir, ça fait réfléchir. Bonjour Chela, merci d'être avec nous.
- On est très ravis d'avoir cette jolie tablée pour un dimanche comme à la maison, en famille, avec celui qui est avec nous et qui se régalait devant ce nouveau studio de Sud Radio pour les 10 ans du Loft cette année. Tu vois, on a mis les petits plats dans les grands.
- Pascal Obispo, c'est un joli studio. Moi qui suis claustrophobe, j'ai respiré quand je suis arrivé ici.
- Il est avec nous, il s'appelle Pascal Obispo.
- Je suis tombé pour elle.
- Souvenir de Pascal, qui est dans une période de souvenirs avec cette évocation des 30 ans de carrière et plein de revisites, de titres, qui donne un moment de scène absolument magnifique où on se dit, il a fait ça aussi.
- Ah, il a fait aussi ça. Et puis il joue comme ça. Et puis ça joue. Et puis c'est qui, lui ? Et puis on est assez comme des gosses devant le spectacle d'Obispo, avec Fred Nardin, ce jeune soliste au piano, Max Pinté, ces gens qui est Pinto, ces gens que tu as découverts et que tu fais venir sur scène pour un peu, j'allais dire, mélanger, parce qu'on met souvent des étiquettes, lui fait du jazz, on s'en fout en fait de la musique.
- Les mecs, ils sont là, ils jouent, ils sont heureux.
- Moi, je m'en fous pas.
- De mettre des étiquettes ? Ah oui, non, non, je m'en fous pas des musiciens. Je m'en suis jamais foutu.
- Tu sais, on leur met des étiquettes.
- Lui, il fait du jazz. Lui, il fait ça, t'indiques-toi, toi, tu décloisonnes ça.
- Et ça fait du bien, en fait, c'est tout. Ça fait du bien.
- Je sais pas, tu veux que je fasse un commentaire ? Non, aucun.
- Ah bon ? J'allais faire une petite référence, parce qu'en fait, je l'aurais dit, moi, j'ai fait pas mal de trucs en musique.
- Et il y a un truc qui m'a toujours fasciné, j'ai toujours été fan de Police et de Sting.
- Au moins, mes deux maîtres, c'est McCartney et Sting.
- OK, bon, bref.
- Parce que j'ai commencé la musique en 1980, quand j'avais 15 ans.
- Bref.
- Et...
- Et quand Sting est passé avec les musiciens, donc avec Omar Hakim, Kenny Kirkland, Daryl Jones, Branford Marsalis, ça m'a quand même interpellé.
- Et j'ai dit, là, pour faire les 30 ans de succès, je me suis dit, bon, on va pas mettre d'écran, parce que quand on met un grand écran, en ce moment, on voit plein d'écrans, des écrans, je me suis dit, mais ça, ça veut dire que, bon, souvent, c'est un substitut à la musique.
- Et moi, je l'ai fait aussi, donc je me suis dit, on va faire différemment.
- Et je vais avoir plein de musiciens, et je vais engager mes musiciens de jazz que j'ai rencontrés au Duc des Lombards.
- Et donc, j'ai le musicien de jazz 2016, Fred Nardin, j'ai Max Pinto, qui est un super saxophoniste.
- Et donc, en fait, disons qu'on a un peu élevé le niveau de mes chansons, grâce à eux, tu vois, parce que mes petites chansons pop, tout d'un coup, elles sont devenues...
- Une chanson, c'est une chanson.
- Une chanson, c'est une chanson, oui, mais la musique...
- La façon dont elle est retraitée, c'est très important.
- Oui, parce que...
- De les retraiter.
- Ah oui, d'accord.
- Mais les gens, ils aiment bien ça.
- Mais c'est nous, les retraités, tu crois ou pas ? On n'est pas retraité.
- De les retraiter, les chansons ? Ben non, pas du tout.
- Ben non, mais Sheila...
- Tu fais un nouvel album.
- Mais oui ! Attends, on va parler avec elle, Sheila.
- Il faut que je fasse l'annonce, parce que c'est écrit sur le conducteur, avec nous également, Sheila ! Ah voilà, ça, par contre, ça me gonfle, tu vois ce que je veux dire.
- Pourquoi Sheila ? Parce que...
- Non,...
Transcription générée par IA