Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-20h, Frédéric Brandel, Judith Belair.
- Allez, bonjour à toutes et à tous. Alors, comment ça se porte dans le studio, Frédéric Brandel, aujourd'hui ? Oh, oh, et dignement, Judith. Bonjour à tous.
- C'est le moment de se réveiller. Je ne dis pas ça parce que François Bayrou vient de finir son allocution.
- Mais enfin, attention, si vous aimez le 8 mai et le lundi de Pâques, vous allez être garnis.
- Voilà, les Vraies Voix de l'été vous donnent rendez-vous chaque jour de 17h à 19h en direct sur Sud Radio pendant deux heures. Politiciens, spécialistes et citoyens engagés débattent, analysent les faits d'actualité.
- Ici, toutes les opinions trouvent leur place, s'expriment sans retenue.
- Respect, échange et authenticité, c'est ça l'ADN du parlant vrai de Sud Radio.
- Judith et moi sommes fiers de vous présenter le sommaire du jour.
- Oh, c'est très littéraire aujourd'hui.
- Le grand débat à 17h30.
- Donald Trump a annoncé un important renforcement de l'aide militaire à Kiev via l'OTAN, incluant des acquisitions d'armes par plusieurs pays européens.
- Accompagné d'un ultimatum de 50 jours adressé à Poutine de son côté, l'Union Européenne prépare un nouveau train de sanctions contre Moscou.
- Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, je vais y arriver, a salué ses initiatives et réclame un soutien renforcé pour la défense de son pays.
- Le conflit diplomatique et militaire s'intensifie dans un climat international de plus en plus tendu.
- Prenons le président américain au mot.
- Et si, dans 50 jours, Poutine continue ? Se mettra-t-il à dos toute la partie du...
- du monde qui commerce avec la Russie ? Interviendra-t-il militairement ? Nous rapprochons-nous finalement d'un conflit mondial ? D'où notre question du jour.
- Sur le compte X de Sud Radio, réarmement massif de l'Ukraine par Trump, est-ce une stratégie gagnante ou aggravante ? Votez ! Et puis notre coup de projecteur à 18h40, dans le cadre de la présentation du budget 2026, François Bayrou a alerté sur la gravité de l'endettement public, qualifiant la situation de malédiction, qui n'a pas d'issue alors que la dette française dépasse désormais les 3 300 milliards d'euros.
- Le gouvernement vise une réduction du déficit public de 40 milliards d'euros pour atteindre cet objectif.
- Le Premier ministre a annoncé plusieurs mesures d'austérité.
- Alors effectivement, il va supprimer à priori un ou deux jours fériés.
- Mais il y a aussi un effort de 5 milliards d'euros sur les dépenses de santé, le non-remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite, la suppression d'agences jugées improductives et la création d'une société foncière pour mieux gérer le patrimoine de l'État.
- Chaque seconde, la dette de la France augmente de 5 000 euros.
- On vient d'en prendre 30.
- Oui, puisque j'ai pris mon temps.
- Le Premier ministre propose deux plans d'action.
- Stop à la dette et en avant la production.
- Il faudra se serrer la ceinture.
- Nous aurons le droit à la fameuse année blanche.
- Alors, nous vous posons la question sur le compte X de Sud Radio.
- Faut-il censurer François Bayrou ? Vous donnez aussi votre avis au 0800 26 300 300 où la chamante Aude vous attend au standard de Sud Radio et puis nos éditorialistes du jour.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Nous sommes avec...
- Alors...
- Belle Bowie, le préféré de Frédéric Brindel.
- Non, non, non, ne dites pas ça.
- Mais nous avons...
- J'en ai jalouse, jalouse, jalouse.
- Nous avons, Judith et moi, l'été, on va dire une immense écurie de talent.
- Écurie, carrément.
- Et nous avons décidé de sortir nos deux Formule 1 ce soir.
- Donc, vous avez cité à Belle Bowie.
- Ah oui, donc vous, c'est écurie et voiture.
- Oui, bien sûr.
- Alors, à Belle Bowie, je peux juste dire quand même qu'il est président de l'association Tous Unis que Tous Unis.
- Et quelle association ? Et quelle association, Abel ? Bon, Aude, je pense que Frédéric Brindel vous aime beaucoup aussi.
- Non, non, non, non, non.
- J'ai juste eu le plaisir de commenter ses matchs quand elle était handballeuse et de commenter son action quand elle était députée.
- Je ne sais pas quand est-ce que j'étais le plus dithyrambique, mais il y a eu un moment.
- Mais sinon, vous vous appelez Odamadou...
Transcription générée par IA