Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
- Bienvenue à tous et merci de votre fidélité. Bienvenue dans Les Vraies Voix, on est ensemble avec Philippe David jusqu'à 19h.
- Ça va Philippe David ? Ça va toujours très bien, Cécile et vous ? Bah écoutez, je me suis, je sais pas, je me suis entierloqué, je sais pas comment on dit.
- Oui, là vous avez...
- Entierloqué, ça vous inventez des mots maintenant.
- Oui, entierloqué.
- Entierloqué, oui.
- Entierloqué, c'est hyper sympa.
- C'est hyper sympa.
- C'est hyper ché.
- Il y a encore de la place dans le Larousse.
- Oui, il y en a plein.
- Et pourquoi pas ? Et pourquoi pas ? Voilà, je me suis interlocutée.
- Et pourquoi ? Interlocutée, j'adore.
- Voilà, c'est pourquoi pas ? J'adore interlocutée, c'est pas mal.
- J'aime beaucoup ce mot, j'aime beaucoup ce mot.
- Et vous avez beaucoup de bravitudes.
- Moi, j'adore les néologismes, excusez-moi, parce que souvent je trouve qu'ils disent beaucoup plus que le langage réel.
- Donc je vais parler qu'en néologisme, tiens, aujourd'hui.
- C'est bien, personne ne la comprend.
- Bah déjà, bah...
- C'est pas grave, c'est pas grave.
- Au moins 13% d'intentions de vote, Jean-Luc Mélenchon serait largement devant Marine Tondelier, Olivier Faure et Fabien Roussel au premier tour de la présidentielle selon le dernier sondage IFOP pour Sud Radio et Le Figaro.
- Alors parlons vrai, est-ce que dans la prochaine présidentielle, la gauche aura que des candidatures de témoignage puisque tout le monde est loin du second tour ? Et à cette question, Mélenchon largement en tête à gauche et sa nouvelle échec de Fort Tondelier et Roussel, vous dites oui à 93%, vous voulez réagir.
- Et ce ne sera jamais un échec, c'est au 0826 300 300.
- On vous souhaite la bienvenue, Les Vraies Voix, jusqu'à 19h.
- Les Vraies Voix Sud Radio.
- Et c'est Vraies Voix autour de la table, Philippe Bilger est avec nous, auteur de Me Too Much aux éditions Heliopole.
- Bonsoir Philippe Bilger.
- Bonsoir mes amis.
- Françoise Degoy, éditorialiste.
- Bonsoir Françoise.
- Bienvenue.
- Vous n'avez pas de micro Françoise ? Non, non, non.
- C'est un attentat en fait.
- Oui, ça va bien.
- Absolument.
- Sébastien Ménard est de retour.
- Bonsoir.
- Après ses péripéties à l'étranger, entrepreneur dans la foodtech et patron de Presse Libre.
- Bonsoir Sébastien.
- Je suis très heureux de vous retrouver.
- Eh bien nous aussi, parce qu'on a tout fait pour que vous ne reveniez jamais.
- Vous m'avez rapatrié, vous m'avez rapatrié.
- Dites la vérité, vous m'avez rapatrié.
- Finalement on s'est dit, on va le garder quand même.
- C'est pas grave non plus.
- Tout va bien ? Tout va pas trop mal.
- Merci à vous.
- Très bien et pas trop mal.
- Et Nathalie Delesson est avec nous.
- Bonsoir Nathalie.
- Bonsoir à tous.
- Bienvenue sur Sud Radio.
- Vous revenez sur une étude du Conseil scientifique de l'éducation nationale qui veut faire commencer les élèves à 9h du matin.
- Oui, oui, c'est mon coup de gueule.
- On reprend des vieux poncifs qui ne marchent pas, sans aucune réflexion.
- Et vraiment, les enjeux de l'éducation nationale, ce n'est pas de les faire venir à 9h.
- Je ne pense pas que ça va bien changer grand-chose.
- Mais on préfère s'attaquer à ça plutôt que de rentrer dans le dur, comme d'habitude.
- C'est-à-dire le dur ? Le dur, je pense qu'il y a des enjeux idéologiques.
- Il y a des enjeux de négociation.
- Au niveau scolaire, il y a des enjeux d'autorité.
- Il y a des enjeux de recrutement.
- Philippe Bilger.
- Ça me paraît très juste.
- Mais enfin, j'avais cru comprendre que c'était une bonne chose de les faire commencer à 9h.
- Après, c'est compliqué pour les parents.
- Quand on voit le rapport de la Cour des comptes qui dit que le niveau en primaire est désastreux, qu'on est les plus mauvais en maths en CM1 d'Europe et que c'est guère mieux en langue maternelle, c'est-à-dire en français, peut-être qu'il y a des choses plus urgentes que de commencer à 9h, non ? Oui, moi je suis d'accord.
- Je ne comprends pas.
- Vous savez, c'est comme les rythmes scolaires.
- Et puis on se met dedans.
- Moi, je me souviens le délire à l'époque où c'était mes amis qui...
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