Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Minibus.
- Les Vraies Voix sont en votre compagnie avec un immense bonheur, avec l'incontournable Cécile de Minibus.
- Bonjour Cécile.
- Bonjour Philippe David, comment ça va ? Oh, quand je suis avec vous, ça va toujours bien.
- Oh, vous êtes mignon.
- Et chaque jour, ça va encore mieux.
- Vous le pensez ou vous dites ça comme ça pour faire plaisir ? Eh bien, droit dans les yeux, je le pense.
- Ah bah c'est bien, voilà.
- Vous êtes contente au moins, j'espère ? Bah oui, je suis contente.
- Je fais des mondes, je fais des mondes cabrées, regardez.
- Elle est très surprise.
- J'aurais adoré qu'ils me disent le contraire.
- Maintenant, je fais ça pour l'antenne en fait.
- Mais non, je ne mens jamais.
- Imbécile.
- Oh bah je vous en prie.
- Non, je parlais de moi.
- Ah bon ? Non, je ne me permettrais pas quand même, Philippe David.
- Oh, avec tout, vous me dites bien pire.
- Culbuto.
- J'ai dit ça ? Oui, culbuto, c'est adorable.
- Vous avez des progrès, mais c'est mignon, culbuto.
- C'est adorable.
- Mais c'est mignon.
- Est-ce que vous l'avez vu, le vrai culbuto, Philippe David ? Est-ce que vous avez vu le petit jouet culbuto ? Écoutez, vous m'avez tellement transformé que maintenant, quand je me regarde dans la gueule, je me dis tiens, salut culbuto.
- Il est trop mignon.
- Et vous le mettez en arrière, il revient en avant, il est trop mignon.
- Voilà, mais j'adore ce culbuto.
- En tout cas, au temps de cette table, Philippe Bill, j'arrête avec nous.
- On va en parler dans un instant, bien entendu, puisque là, vous m'avez complètement désorienté.
- Et c'est le sommaire de cette émission.
- Bruno Retailleau dénonce l'entrisme des frères musulmans visant à faire basculer la société française dans la charia, stratégie d'infidélité.
- Il trace sion dans les associations sportives, culturelles et sociales.
- Un rapport sera présenté demain au Conseil des défenses.
- Alors parlons vrai, êtes-vous surpris par le contenu de ce rapport ? Et à la question, entrisme des frères musulmans, sommes-nous face à des années de déni ? Vous dites oui à 97%.
- Vous voulez réagir ? Aude, attend vos appels au 0826 300 300.
- Et Jacqueline Eustache-Brignaud sera avec nous, sénatrice LR du Val-d'Oise et rapporteure de la commission d'enquête sénatoriale sur la radicalisation islamiste et les moyens de le combattre.
- En 2000, et puis la Cour des comptes refuse de certifier les comptes de la CAF pour la troisième année consécutive.
- La raison paraît invraisemblable, une horaire de 6 milliards 300 millions d'euros dans les comptes des caisses d'allocations familiales.
- Alors parlons vrai, est-ce que cette somme qui représente 8% des prestations vous semble surréaliste ? Et à la question, 6,3 milliards d'erreurs à la CAF, l'État doit-il nous rembourser de ces erreurs de gestion ? Vous dites oui à 93%.
- Vous voulez réagir ? Encore et toujours, le 0826 300 300.
- Vous n'aurez rien à rembourser à Aude.
- Et Benoît Perrin, directeur de Contribuables Associés, sera avec nous.
- Allez, on vous souhaite la bienvenue.
- C'est Les Vraies Voix jusqu'à 19h.
- Les Vraies Voix Sud Radio.
- Mais oui, vous l'avez voulu, il est là, Philippe Bilger.
- Bonsoir, Philippe Bilger.
- Bonsoir, mes amis.
- Auteur de Me Too Much aux éditions Heliopole, Mickaël Zadoun est avec nous, chroniqueur et consultant.
- Bonsoir, bonsoir.
- Ça fait pas longtemps qu'on ne s'est pas vus, mais c'est quand même un plaisir de vous retrouver.
- Mickaël, au début, quand il venait, il avait une veste, machin, et maintenant, il est un peu friderware.
- Il y a un petit côté Macron, je trouve, ces derniers temps.
- J'apporte une petite jeunesse à cette émission, quand même.
- On dirait Emmanuel Macron dans ses grands débats.
- Et en plus, quand je vois ses chemises, moi, il m'en faudrait deux pour rentrer dedans, quand même.
- Parce que là, dans le buto, là, c'est la finesse.
- Mais deux, vous êtes en dessous de la vérité, Philippe.
- J'ai envie de vous dire.
- Et Loïc Guéret est avec nous, avec la pénaliste.
- Bonsoir, Loïc.
- Bonsoir, maître, devrais-je dire.
- Et j'en profite pour vous dire qu'on va lancer un petit jeu, puisqu'on a envie de vous offrir des cadeaux...
Transcription générée par IA