Retranscription des premières minutes :
- Les vraies voix sud radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
- On vous souhaite la bienvenue comme tous les jours de 17h à 19h avec Philippe David.
- Bonsoir Philippe. Bonsoir Cécile de Ménibus.
- Vous avez vu comme je ralentis pour dire votre nom là ? C'est absolument parfait. Ça glisse tout doucement comme ça.
- On dirait du patinage artistique. Philippe David.
- C'est du patinage artistique. C'est très bien fait.
- C'est des glissements en quelque sorte, non pas du désir mais du prénom.
- Ça y est, les affaires reprennent. Je crois que Philippe Bilger...
- Au centre, c'est vraiment le printemps vu les propos de Bilger ces derniers temps.
- C'est dingue. C'est fou ça, ce côté-là.
- C'est comme ça.
- En fait, il se retient toutes les journées.
- Oui, tous les ans. C'est comme ça.
- Et ça dure combien de temps, Philippe Bilger ? Ça s'arrête vers le 15 juillet.
- Vous savez, on a souvent...
- On a pu souvent rejaillir le feu de l'ancien volcan qu'on croyait trop vieux, vous savez.
- C'est ça.
- Prenez pour Jacques Marigny.
- Oui, oui.
- Allez, les amis, en tout cas, ce numéro de téléphone 0826 300 300 avec Philippe David nous a invités dans quelques instants.
- Je vous rappelle que Yael Brown-Pivet sera avec nous à partir de 18h jusqu'à 19h.
- Vous pouvez bien entendu nous appeler au 0826 300 300 pour déjà vous faire précaler, entre guillemets, par Aude.
- Allez, le sommaire de cette émission, le grand débat du jour à 17h30.
- Vladimir Poutine sèche les négociations d'Istanbul.
- Le président russe n'est pas venu en Turquie aujourd'hui, comme l'allié invitait l'Ukraine.
- Et ses alliés, la Russie, sera donc représentée par une délégation de second rang.
- Alors, parlons vrai.
- Pensez-vous que les négociations ont mal débuté, sachant que le ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, a qualifié Volodymyr Zelensky de, je cite, pathétique ? Et à la question, sans Poutine, les négociations d'Istanbul peuvent-elles outir ? Vous dites non à 79%.
- Pardon, ça vient de baisser.
- Vous voulez réagir ? Au datant vos appels, au 0826 300 300.
- 300.
- Sous-titrage ST' 501 Vous l'aviez déjà dit, c'était pour ça.
- Mais c'est pas ça, c'est la répétition.
- La communication, c'est la répétition.
- Alors, parlons vrai.
- Vous voulez réagir ? Interpellez la présidente de l'Assemblée nationale.
- Appelez la charmante Aude au 0826 300 300.
- Bienvenue dans les vraies voix.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Vous l'avez entendu, Philippe Bilger, auteur de Me Too Much aux éditions Heliopole.
- Bonsoir, Philippe Bilger.
- Bonsoir, cher Féphile.
- Bonsoir, Philippe David.
- Oh là, vous dites non, vous êtes bien poli aujourd'hui.
- Vous êtes bien poli aujourd'hui, on aime bien.
- En face de vous, non ? Devant Yael Brown-Pivet, je vais éviter de vous appeler le dodu, parce que là, on se demanderait où elle est tombée.
- Vous pourriez vous sentir offensé.
- Alors moi, je ne vais pas me gêner, je vous le dis tout de suite.
- Éric Revelle est avec nous, éditorialiste.
- Bonsoir, Éric Revelle.
- Sylvain Lévy-Lévalency est avec nous, journaliste, directeur de la rédaction Radio Emo, spécialisé en économie et politique.
- Et on vous retrouve, bonsoir, tous les samedis matins.
- Pour Parlons Emo, à 9h15, voilà.
- Bonjour à tous.
- Et merci.
- Avec plaisir.
- Avec ce numéro de téléphone, on vous l'a dit, 0826 300 300.
- Julien de Viry-Châtillon est avec nous.
- Bonsoir, Julien.
- Bonsoir à toute l'équipe.
- On est ravis de vous accueillir de Viry-Châtillon.
- Comment ça va, Viry-Châtillon ? Eh bien, il fait beau, donc on en profite, c'est agréable.
- Très bien.
- C'est Sylvain.
- Donc ça veut dire que vous êtes torse nu sur votre balcon, c'est ça ? Tout de même pas, mais je profite dans le jardin, je profite.
- D'accord.
- Et si vous avez répondu non, non, pas torse nu, nu tout court, vous auriez réagi comment, Cécile ? Envoyez-nous des photos.
- Et vous vouliez revenir plus sérieusement sur cette génération de Français qui déteste la France.
- Oui, tout à fait.
- C'est que j'entends beaucoup dans les médias qu'on blâme l'immigration, mais quand on regarde bien la population qui fout le bordel, c'est pas des immigrés, c'est des deuxième, troisième ou quatrième génération de l'immigration, mais c'est vraiment des générations qui se disent, qui haïssent la France, qui...
Transcription générée par IA