Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Frédéric Brindel.
- Bonsoir à tous, c'est le premier maire, repos, donc version détente.
- Nous sommes très heureux de vous retrouver avec notre réalisateur Julien Delmas et puis les Vraies Voix qui se tiennent prêtes pour vous répondre, pour échanger avec vous et pour réagir à une actualité large.
- Le grand débat du 17h30 sera notamment consacré au Rassemblement National qui organisait son meeting du 1er mai à Narbonne dans un contexte incertain après la condamnation de Marine Le Pen et d'autres élus au Parlement européen.
- Depuis le FN de Jean-Marie Le Pen, l'approche de ce jour férié a changé avec toutefois un fil conducteur pour le parti RN, positionné ce parti comme un rempart pour les classes ouvrières.
- Aussi, nous vous posons la question, la politique du RN favorise-t-elle les classes populaires ? Vous répondez sur le compte X de Sud Radio, vous nous appelez aussi Alexandre Dardenne.
- Nicolas Nicolic, le député européen du RN sera notre invité.
- Et puis le coup de projecteur, 18h40, les syndicats français devaient une nouvelle fois relever le défi de la mobilisation en ce jour de fête du travail.
- Les chiffres révèlent une chute de la syndicalisation depuis plusieurs décennies.
- Nous ferons le point sur les manifestations de la journée et nous vous posons cette question sur les réseaux sociaux de Sud Radio.
- Aujourd'hui en France, les syndicats vous semblent 1. indispensables, 2. constructifs, 3. inutiles, 4. nuisibles. Donnez-nous votre point de vue.
- Joseph Touvenel, ancien grand syndicaliste et vice-président de la CFTC, nous donnera son point de vue sur cette journée.
- Vous nous appelez donc au 0826 300 300. Je vous présente tout de suite les 3 vrais voix.
- Il partage l'amour du travail en toutes circonstances, l'art de la rhétorique et l'expertise sur l'espérance de vie du muguet.
- Philippe Bilger.
- Vous avez choisi le bon brin.
- En effet, d'ailleurs, je l'ai acheté ce matin.
- Oui, il ne faut pas se louper parce que c'est bien si ça dure longtemps.
- Philippe Bilger, président de l'Institut de la Parole, auteur de Me Too Much, aux éditions Heliopole.
- Ça marche bien ? J'espère. Je préfère ne pas me renseigner, comme ça j'ai des illusions.
- Mais je crois que ça ne va pas trop mal. Au moins, le livre n'est pas long à lire.
- J'ai déjà une qualité.
- En plus, on ne sait jamais trop, finalement, comment ça se passe avec le monde de l'édition.
- D'ailleurs, le monsieur qui vous accompagne ce soir est Tom Conan, artiste et auteur.
- Auteur de nombreux livres. On ne sait jamais trop avec l'édition si on a beaucoup vendu.
- Oui, moi, je ne vends pas énormément. Je suis d'une sorte de classe moyenne de l'édition.
- Je ne vends pas peu, mais je ne vends pas beaucoup non plus.
- Et je rappelle qu'il y a peut-être une trentaine de personnes en France qui vivent de leur plume, vraiment.
- Il faut quand même remettre les choses en perspective.
- En France, on ne vit pas de sa plume. C'est d'ailleurs un problème.
- Et ça ne va pas s'arranger avec l'intelligence artificielle.
- Oui, sans doute.
- Et puis aussi le fait qu'il y a beaucoup trop.
- Il y a beaucoup trop d'auteurs.
- Donc, en fait, les revenus sont partitionnés entre de plus en plus d'auteurs et d'autrices.
- Et ça, honnêtement, c'est un vrai souci.
- Mais les éditeurs rentrent vite dans leurs frères.
- Oui, alors c'est ça qui est magnifique.
- Ils sont très forts.
- Oui, un auteur ne touche que 8% en moyenne dans un contrat.
- Il faut le rappeler, ça. C'est très, très peu.
- Eh bien, voilà, c'est ce qu'on appelle une présentation, on va dire, un petit peu plus détaillée de chacun.
- Alors, lui n'écrit pas, mais il est porte-parole du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme.
- Il est devenu un incontournable des vrais voix.
- Emmanuel Abramovitz.
- Merci de votre accueil et de votre gentillesse.
- Je suis ravi d'être un incontournable.
- Et peut-être commettrai-je un ouvrage.
- J'ai beaucoup réfléchi et fait parler un certain nombre de nos amis, dont Franz-Olivier Gisbert, des gens très sérieux comme l'ancien patron du 36 Quai des Orfèvres, et d'autres à propos du déni.
- Ah, ça s'écrit ou c'est en projet...
Transcription générée par IA