Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
- Et c'est pas grave, c'est avec Christine Bouillaud, mais ça me fait plaisir, on l'embrasse Cécile.
- On l'embrasse Cécile, qu'on retrouvera lundi prochain, mais vous avez entendu, c'est bien la voix de Christine Bouillaud qui officie ce soir dans le studio des Vraies Voix.
- Et je suis ravie d'être avec l'équipe des Vraies Voix. Bonsoir les Vraies Voix, tout le monde est là.
- Philippe Bilger, bonsoir.
- Retrouvaille.
- Et retrouvaille.
- Retrouvaille depuis ce matin.
- Oui, depuis ce matin.
- Retrouvaille depuis ce matin.
- Et Vincent Desport, le général Desport est là. Bonsoir.
- Bonsoir, très heureux de vous avoir.
- Mais on dit mon général quand on est une meuf ? Non, on dit général quand on est une femme.
- Ah, vous avez dit général parce que vous n'êtes pas gradé, c'est ça ? Non, parce qu'on est une femme.
- Ah, parce qu'on est une femme.
- Une femme dit général, voilà.
- C'est ce qu'on m'avait expliqué.
- Exactement.
- C'est classe, c'est classe.
- Alors qu'on aurait pu penser qu'une femme dirait plutôt mot.
- Non, parce que mot c'est monsieur.
- Oui, j'entends bien, mais enfin je pensais à autre chose.
- Oui.
- Bon, ils sont là, ils sont en pleine forme.
- Et on est ensemble jusqu'à 19h avec nos vraies voix du soir.
- Aujourd'hui, mercredi, on va revenir tous ensemble dans le débat du jour à 17h30 sur les déclarations de la fille aînée de François Bayrou.
- Vous l'avez entendu, on en parle depuis ce matin.
- C'est Hélène qui raconte avoir été rouée de coups par un prêtre lors d'un camp d'été avec la congrégation de Bétharame lorsqu'elle n'avait que 14 ans.
- Elle n'assure n'en avoir jamais parlé à son père.
- Une omerta généralisée, dit-elle, mais surtout l'envie inconsciente de protéger son père.
- François Bayrou.
- François Bayrou qui a réagi cet après-midi en père aussi, qui a dit qu'il avait le cœur brisé.
- Alors parlons vrai, est-ce que de telles violences envers des élèves vous surprennent ? Et à cette question, Bétharame, les déclarations de sa fille dédouanent-elles Bayrou ? Vous dites non à 90%.
- Vous voulez réagir ? Vous avez été élève à Bétharame ? Venez témoigner au 0826 300 300.
- Et puis le coup de projecteur tout à l'heure à 18h40, un quart des salariés.
- Et c'est un scandale français, on pourrait dire.
- Un quart des salariés sont en emploi précaire.
- Et du coup, ils restreignent.
- Leur nourriture ne mange pas à leur faim.
- C'est le résultat d'une étude Ipsos édifiante pour les épiceries solidaires Andès.
- C'est une étude qui a été dévoilée par La Croix ce matin.
- Ils sont 16%.
- 16% de ces travailleurs qui bossent tous les jours.
- Ils sautent plusieurs repas par semaine.
- Avec des horaires décalés qui aggravent cette difficulté à prendre des repas quotidiens.
- Alors parlons vrai, est-ce que ce drame n'est pas le symbole de la perte de la valeur travail en France ? Et à cette question, travailleurs pauvres, craignez-vous de tomber un jour dans la précarité ? Vous dites oui à 83%.
- Vous voulez réagir ? Odez les vraies voix, attendez vos appels au 0826 300 300.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Alors on les a déjà entendues, mais on va les ressaluer.
- Vraies voix ce soir.
- Philippe Bilger, le président de l'Institut de la parole, auteur de Me Too Much aux éditions Heliopole.
- Rebonsoir mon cher Philippe.
- Françoise Degoy, éditorialiste Sud Radio.
- Rebonjour.
- Bonsoir.
- Et Vincent Desportes, ancien directeur de l'école de guerre.
- Alors ce soir, on va aussi du côté de Nîmes avec Antoine.
- C'est notre auditeur du soir.
- Bonsoir Antoine.
- Bonsoir les vraies voix.
- Merci de m'accueillir.
- Comment ça va à Nîmes ? Eh bien ça va plutôt bien.
- Un peu gris au niveau du temps, mais le moral est bon.
- Donc c'est le principal.
- C'est parfait.
- Les férias se préparent bientôt, non ? De Pentecôte ? Oh oui, certainement.
- Absolument.
- C'est ça.
- Mais là-bas à Nîmes, souvent le mauvais temps arrive sans crier gare.
- Oh.
- Oui, bien joué.
- Non, elle est très bien.
- Pourquoi tu fais moins ? Elle est vachement bien.
- Non mais elle est vachement bien.
- Sans crier gare, c'est bien.
- À Nîmes, prends garde à toi.
- Bon, on...
Transcription générée par IA