Retranscription des premières minutes :
- « Soyez les bienvenus sur Sud Radio, nous sommes le vendredi 26 décembre, il est 7h, passez d'une petite minute. » « Bonne fête avec Sud Radio. » « Et les informations en ce début de journée, c'est avec vous Simon Barbin, bonjour. » « Bonjour Maxime, bonjour à tous. » « Laurent Vinatier sera-t-il de retour prochainement en France ? Le chercheur français pourrait être libéré. L'Elysée, en tout cas, reçut une proposition du Kremlin.
- Les autres titres de l'actualité, Simon. » « La mobilisation des agriculteurs se poursuit, certains ont fêté Noël sur les barrages et puis face au froid, des associations veulent réquisitionner les logements vides au profit des plus démunis. » « Un an et demi après son arrestation en Russie, la famille de Laurent Vinatier reprend espoir. » « Le Kremlin, par la voix de son porte-parole Dimitri Peskov, assure avoir fait une proposition à la France. Emmanuel Macron dit être pleinement mobilisé.
- Et la famille du détenu n'a jamais été aussi proche de le retrouver, Clément Barguin. » « La balle est dans le camp de la France, affirme le porte-parole du Kremlin. Le chercheur français, arrêté en juin 2024, accusé d'espionnage, a été condamné à trois ans de prison pour ne pas s'être enregistré comme agent de l'étranger. » Le contenu de cette proposition est encore tenu secret, mais l'avocat français de Laurent Vinatier, maître Frédéric Belot, indique que la famille du chercheur espère qu'il puisse être libéré pendant les fêtes de fin d'année.
- D'ici au Noël orthodoxe, le 7 janvier prochain. Selon lui, un échange de prisonniers est envisageable, mais il convient d'être extrêmement prudent.
- Alors que les chercheurs pourraient faire l'objet d'un nouveau procès fin février 2026 pour espionnage, ils risquent jusqu'à 20 ans de prison.
- Les précisions de Clément Barguin pour Sud Radio.
- Le retour potentiel du dialogue entre Paris et Moscou, c'est quelque chose qu'on attend depuis plusieurs semaines, depuis plusieurs mois désormais, mais toujours pas de discussion directe avec l'Ukraine.
- C'est ce que déplore le pape Léon XIV lors d'une messe de Noël. Il invitait les deux belligérants à trouver le courage de négocier la paix en face à face.
- Les dernières discussions s'étant tenues par le biais d'intermédiaires américains.
- À ce propos, le plan de Washington pour une paix durable a fait l'objet d'un appel téléphonique hier avec la présidence ukrainienne.
- « Il y a de bonnes idées pour aboutir à un résultat commun », dit Volodymyr Zelensky.
- Un retour presque à la normale pour La Poste après la cyberattaque revendiquée par un groupe pro-russe.
- Ses services en ligne sont perturbés depuis lundi.
- La Poste affirme que les suivis des colis et les consultations des comptes bancaires sont à nouveau disponibles, mais que l'attaque est toujours en cours.
- Il est 7h03 sur Sud Radio et au lendemain de Noël, les agriculteurs, eux, poursuivent toujours leur mobilisation.
- Et des blocages, toujours, sur plusieurs routes du sud-ouest, comme sur la 64 à Carbone.
- Les agriculteurs sont opposés à la gestion gouvernementale de la dermatose bovine et au projet d'accord commercial avec le Mercosur.
- Et certains d'entre eux ont même passé le réveillon de Noël sur les barrages.
- C'est le cas de Benjamin Asna, éleveur de bovins à Castex, en Ariège.
- On pensait à une petite messe fin de campagne, on va dire.
- Et en fait, il y a eu entre 400 et 500 personnes, une célébration, comme je sais, rarement vue.
- Et tout le monde était ravi. Tout le monde était ravi. Les gens se restaient pour manger.
- Et ça nous a fait vraiment chaud, chaud, chaud au cœur, quoi.
- C'est pas évident de laisser nos familles à la maison et nous être au barrage.
- En fait, au final, on a vécu un moment, vraiment, auquel on ne s'attendait pas.
- Et aujourd'hui, encore, il y a du monde. Il y a eu du monde toute la journée.
- Ça ne désamplit pas, quoi.
- Les agriculteurs qui repartent donc à l'action aujourd'hui.
- Déjà hier, un cortège de tracteurs a défilé à Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques.
- Des températures très basses hier.
- Conséquence, le plan grand froid a été déclenché dans plusieurs préfectures.
- Dans le Grand Est, la Normandie ou encore...
Transcription générée par IA