Retranscription des premières minutes :
- « Le Grand Matin Sud Radio, 7h-10h, Patrick Roger. » « Il est là, il est à l'heure, 6h56, bonjour Patrick Roger. » « Bonjour mon cher Benjamin, bonjour à toutes et à tous en ce jeudi 11 décembre, déjà 11 décembre 2025, il y aura des cadeaux tout à l'heure sous le grand sapin.
- Je voudrais qu'on s'arrête un instant dans « On marche sur la tête », évidemment, comme chaque matin, sur Emmanuel Macron.
- « Interdire et contrôler », ça devient l'obsession d'Emmanuel Macron.
- Là, cette fois, il s'agit d'interdire et de contrôler les réseaux sociaux.
- Il en a fait son cheval de bataille qu'il enfourche lors de son grand tour de France du numérique, hier à Saint-Malo, en mangeant une crêpe au pied des remparts, il y a quelques jours c'était à Toulouse et juste avant dans le Nord.
- Pourquoi ? Eh bien parce que les réseaux sociaux nous échappent complètement, a dit le chef de l'État.
- Il n'a pas totalement tort, c'est vrai, mais qu'est-ce qu'il a fait depuis 10 ans, Emmanuel Macron ? Puisqu'il affirme, ces réseaux nous échappent depuis une dizaine d'années.
- Le chef de l'État a déroulé le tapis rouge aux GAFAM en France comme en Europe, bras-dessus, bras-dessous, évidemment, à chaque fois à Versailles, un peu partout, bien sûr, alors que certains redoutaient cette perte de souveraineté et d'autonomie.
- On leur disait que c'était le progrès et que c'était bon pour la démocratie.
- Bah sauf qu'aujourd'hui, on a perdu le contrôle, d'où la démonstration d'Emmanuel Macron hier.
- Ça passe par des interdictions et des régulations.
- Première étape, faire comme l'Australie, interdire au plus vite l'accès des moins de 15 ans aux réseaux sociaux, à ces fameux téléphones, en fait, portables.
- Un texte sera débattu le 19 janvier.
- Emmanuel Macron voudrait une loi avant la fin de son quinquennat, la volonté, sans doute, de laisser son empreinte.
- Au moins sur un texte, puisque la plupart des autres ne sont pas allés jusqu'au bout ou ayant été détricotés ou abandonnés.
- On va en reparler.
- La météo avec vous, mon cher Rémi André, pour ce 11 décembre.
- Ça commence à se rafraîchir, là, un petit peu, après la fameuse douceur de ces derniers jours.
- Mais c'est toujours la douceur qui règne, malgré tout.
- Même si nous avons des températures légèrement plus fraîches ce matin, on n'est toujours pas dans les gelées, ce qui serait assez fréquent, normalement, à cette période.
- Mais en revanche, nous avons un anticyclone qui recouvre notre pays.
- Et l'humidité qui a été apportée hier par la perturbation, on la retrouve ce matin sous forme de brouillard très nombreux.
- Depuis les Pays-la-Loire jusque vers l'Alsace, depuis les Hauts-de-France jusque vers le sud-ouest.
- Des brouillards qui, parfois, réduisent la visibilité à moins de 100 mètres.
- Donc, grande prudence ce matin avec ce brouillard.
- Mais ensuite, dans la journée, le soleil va réussir à faire quelques belles apparitions, notamment dans le sud-ouest.
- Et évidemment, toujours depuis la côte d'Azur à la Corse ailleurs, les nuages vont persister une bonne partie de la journée.
- Même si on a des éclaircies, elles sont assez fugaces.
- D'autant qu'une nouvelle perturbation approchera la pointe bretonne en cours d'après-midi et de soirée.
- Mais on parlait de douceur, elle va se maintenir encore aujourd'hui avec des températures au-dessus des valeurs saisonnières.
- Même si on atteint les 11 à 12 degrés à Paris, il fera 11 degrés à Nancy.
- On ira jusqu'à 15 degrés à Toulouse et à Bordeaux.
- Et les 18 à 19 degrés seront encore possibles du côté de Biarritz ou de Bayonne.
- Donc ça va aller jusqu'à quand tout ça ? Pour l'instant, on ne voit pas arriver d'air froid ou de gelée matinale.
- Alors évidemment, des gelées matinales, on pourrait en avoir quand le ciel va se dégager.
- Mais jusque vers le 20 décembre, pour l'instant, pas de froid en vue pour cette fin d'année.
- Vous nous dites, parce qu'il faut quand même qu'on protège les plantes tout de même.
- Ça, normalement, c'est déjà fait.
- Non, pas pour tout le monde.
- Si vous avez une pelouse, je suppose que vous l'avez vue pousser.
- Allez, on repassera pour ça, évidemment.
- Non, mais je pense à quelques...
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