Retranscription des premières minutes :
- Il est 7h, les informations avec Laurie Leclerc, bonjour Laurie, un attentat masculiniste déjoué à Saint-Etienne, un lycéen de 18 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire, les autres titres de l'actualité.
- Les deux français détenus en Iran, Cécile Collère et Jacques Paris, sont inculpés pour espionnage au profit d'Israël, ils risquent la peine de mort.
- Marseille en guerre contre les AirBnB, la mairie frappe fort et a signé en justice des propriétaires qui ne respectent pas la loi.
- Et puis près de la moitié des vols annulés dans certains aéroports aujourd'hui et demain alors que les vacances d'été commencent, la grève des aiguillères du ciel pèse lourd sur les compagnies aériennes.
- Pour la première fois en France, un suspect a été mis en examen pour un projet d'attentat au motif masculiniste.
- Timothée, 18 ans, a été arrêté vendredi à Saint-Etienne avec deux couteaux sur lui à proximité de son lycée.
- Il a été mis en examen mardi soir pour association de malfaiteurs terroristes masculinistes revendiqués.
- L'homme n'a pas caché son adhésion aux thèses INCEL. Alors Amélie Béguin, de quoi parle-t-on exactement ? C'est en tout cas une première en France. Jusqu'ici, la justice n'avait jamais mis en examen un homme pour un projet d'attentat masculiniste ou INCEL.
- INCEL, c'est la contraction de involontarie célibate, soit célibataire involontaire.
- L'idéologie INCEL est née en Amérique du Nord dans les années 80.
- Elle prône la thèse selon laquelle les hommes blancs sont victimes de la libération de la femme et de la concurrence des immigrés.
- C'est pourquoi ils ne trouvent pas une compagne à la hauteur de leurs attentes.
- Cette idéologie masculiniste s'inscrit en opposition au féminisme, qui va bien trop loin aux yeux de ses adeptes.
- Ces thèses misogynes et racistes sont largement diffusées sur les réseaux sociaux.
- C'est d'ailleurs sur TikTok que le suspect a reconnu consulter.
- C'est une vidéo d'influenceurs. Elle touche donc le plus souvent un public jeune.
- Les explications d'Amélie Béguin.
- Nous allons en savoir un petit peu plus dès 7h10 parce que je vais recevoir une experte sur le sujet, co-directrice de l'Institut du Genre en géopolitique.
- Les deux Français détenus en Iran, Cécile Collère et Jacques Paris, inculpés pour espionnage au profit d'Israël, ils risquent la peine de mort.
- En prison depuis plus de trois ans, ils sont accusés d'espionnage pour le Mossad, mais également de complot pour renverser le régime et de corruption.
- Sur terre, trois chefs d'accusation passibles de la peine de mort en Iran.
- Une inculpation dans un contexte où la répression est de plus en plus forte depuis le cessez-le-feu avec Israël au nom de la lutte contre la collaboration.
- C'est les mots de Téhéran, collaboration avec l'État hébreu.
- Oui, je constate en Iran, depuis les bombardements, à quand ils servent ces bombardements ? Les mots-là sont toujours au pouvoir. La répression s'est amplifiée.
- L'Iran s'est retiré de l'AEIA, l'Agence de l'énergie atomique.
- La recherche nucléaire, le travail sur le nucléaire se poursuit.
- Le Pentagone dit que l'Iran pourra peut-être posséder son arme atomique dans deux ans.
- Voilà où on en est.
- Bien, il devait permettre de se rafraîchir en pleine canicule.
- À peine ouvert, un parc aquatique de la Sarthe est obligé de fermer.
- À cause de quoi ? À cause d'incivilité et de violence.
- Ça se passe à Arnage, l'aquapark installé sur le plan d'eau de la Gemmerie.
- N'aura tenu qu'une journée, alors qu'un contrat de trois ans avait été signé avec Le Mans Métropole.
- La structure gonflable va être démontée après ces violences survenues dès l'ouverture, notamment contre un agent de sécurité.
- Une décision qui rend amer Anthony Wall, le dirigeant de l'aquapark, et qui nous raconte ces violences invraisemblables.
- Ils étaient avec des barres de perles, des pierres, des bouteilles.
- L'agent s'est réfugié dans le bungalow.
- Concrètement, il voulait sa peau.
- En majorité, c'était des jeunes.
- Après, ça reste des jeunes.
- Des jeunes de quartier, qui ont entre 16 et 17 ans.
- C'est malheureux, c'est dommage.
- Nous, on est dégoûtés.
- On a même essayé de parler avec eux pour essayer de diminuer les tarifs par rapport à eux.
- Et en fait, ils n'en ont rien à faire.
- Là, ils n'ont plus...
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