Retranscription des premières minutes :
- Et vous écoutez Sud Radio, il est 8h.
- Sud Radio, parlons vrai.
- Merci à tous d'être fidèles à Sud Radio et de nous écouter.
- Bon réveil à vous en ce lundi 20 octobre.
- Le Grand 8 avec vous, Laurie Leclerc.
- Bonjour Laurie.
- Bonjour Patrick, bonjour à tous.
- Près de 24 heures après le cambriolage du Louvre, cette question, a-t-on une chance de retrouver les bijoux d'une valeur inestimable volée hier matin au Louvre ? Les autres titres avec vous.
- Les débats s'annoncent houlots.
- Le budget 2026 arrive aujourd'hui en commission à l'Assemblée nationale.
- Plus de 1700 amendements ont été déposés.
- Pour faire des économies, le gouvernement mise sur un autre moyen et va raboter les allocations familiales.
- Et puis Nicolas Sarkozy ira demain en prison.
- Son fils Louis Sarkozy organise un rassemblement en soutien.
- Bah oui, il a donc fallu 7 minutes pour les dérober au Louvre.
- 8 joyaux de l'histoire de France sont dans la nature depuis hier matin.
- Le diadème de l'impératrice Eugénie ou encore le collier et la parure de saphir de Marie-Amélie, la dernière reine de France, ont été dérobés par les malfaiteurs.
- Ils ont installé un monte-charge avant de fracturer les fenêtres puis les vitrines des joyaux, laissant tomber dans leur fuite la couronne de génie.
- Félix Mathieu, deux scénarios sont privilégiés par la justice.
- Oui, les malfaiteurs peuvent avoir agi pour un commanditaire.
- Imaginons un riche collectionneur passionné d'histoire.
- Pourquoi pas étranger ? Ce ne serait pas la pire des hypothèses.
- Dans ce cas-là, ces joyaux ne seraient pas détruits en espérant bien sûr qu'ils soient retrouvés.
- Trouvez un jour autre hypothèse qui serait plus fatale pour ces joyaux que les malfaiteurs aient agi pour leur compte afin d'obtenir des pierres précieuses et de pratiquer des opérations de blanchiment car ces pièces uniques, historiques, sont impossibles à revendre en l'état trop identifiable.
- S'ils comptaient les revendre à la pièce, ça supposerait de les détruire irrémédiablement, de retailler les pierres pour qu'elles ne soient plus reconnues.
- De quoi relancer le débat en tout cas sur la sécurité des musées.
- Moins sécurisés par exemple que les banques.
- Ce casse a duré 7 minutes au total, donc sous les yeux ébahis de quelques visiteurs. Les malfaiteurs avaient placé des cônes de part et d'autre du monde-charge dans la rue.
- Ils ont menacé les gardiens à la disqueuse avant de repartir en abandonnant sur place ce monde-charge qu'ils ne sont pas parvenus à incendier. Les gilets fluos utilisés par le commando ont également été retrouvés. 4 personnes de ce commando recherchées par une soixantaine d'enquêteurs, notamment de la BRI. Nous retrouverons les oeuvres et les auteurs seront traduits en justice, a promis sur X le président de la République, Emmanuel Macron.
- On rouvrira ces portes ce matin à 9h. Certaines parties resteront toutefois inaccessibles au public.
- Oui, bon, nous en reparlerons dans le grand débrief.
- Qu'en pensez-vous évidemment ? Est-ce que vous croyez qu'il y a eu une faiblesse de la sécurité ? C'est une faiblesse plus large de l'État ? Il y a une responsabilité politique ? J'aimerais vous entendre 0826 300 300 dans le grand débrief de l'actualité. Nous en reparlerons et nous allons y revenir aussi avec Françoise Degoy dans 5 minutes maintenant.
- Les débats autour du budget.
- 700 amendements déposés. L'étude de ce budget commence ce matin en commission à l'Assemblée nationale.
- Dès 9h, dans une heure, la commission des finances va se pencher jusqu'à mercredi sur la partie recette du projet de loi finance 2026 qui arrivera ensuite vendredi dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Des mesures d'économie mais également des propositions pour revaloriser le pouvoir d'achat comme par exemple celle du nouveau ministre des PME Serge Papin qui souhaite la mise en place d'une participation immédiate et défiscalisée pour les entreprises.
- Une mesure qui selon Marc Sanchez, un secrétaire, général du syndicat des indépendants et des TPE, exclut les plus petites entreprises.
- Aujourd'hui, la solution est assez simple.
- Notamment, ce qu'il faut savoir, c'est qu'aujourd'hui, pour 100 euros que verse un employeur, le salarié va toucher à peu près 55 euros net. Ce qu'il faut, c'est réduire l'écart entre le net et le brut et c'est à partir de là qu'on...
Transcription générée par IA