Retranscription des premières minutes :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour Gilles. Bonjour Valérie.
- Nous sommes le 24 décembre, vous allez rentrer préparer votre petit réveillon.
- Nous allons dans un instant, on a un beau cadeau aujourd'hui, recevoir Mimi Mimati.
- Elle sera avec nous pour nous parler de ce Joséphine Angegardien inédit, les sirènes, qui va être diffusé lundi prochain à 21h10.
- Puis on parlera évidemment des enfoirés avec elle.
- Et puis n'oublions pas que ce soir, c'est Jean-Luc Rechman.
- Absolument, avec une pléiade d'invités.
- Exactement, où on retrouvera Mimi Mimati.
- Et bien voilà, on a eu raison d'inviter.
- Un petit zapping avec vous.
- Ce soir, c'est la belle nuit de Noël.
- Je crois que vous allez le chanter.
- C'est pas loin, vous connaissez.
- Ce soir, c'est la belle nuit de Noël.
- La neige tend son manteau blanc.
- Vous n'attirez pas la pluie.
- Je peux attirer la neige.
- Et la tradition de Noël.
- Et la tradition de Noël dans le sud, c'est quoi, Venerie ? Les 13 desserts ? Non, les santons.
- Ah, les santons.
- Les santons de Provence.
- Je pense à mon réveillon.
- Et justement, le journal La Provence a rencontré un retraité passionné de crèche et qui a recréé tout un village provençal.
- Ma tante me menait, quand j'avais 5-6 ans, à la foire aux santons à Marseille et elle m'achetait toutes les années un ou deux petits santons.
- C'est mes racines.
- Donc, vous pouvez retrouver tous les métiers qu'on a en Provence, plus ou moins, avec les lavandes, à la Fard-les-Oliviers, bien sûr, un moulin à huile, une cave coopérative, le bar de la marine avec le port.
- Trois semaines de patience, deux gestes précis qu'il partage avec sa compagne Martine.
- Quand je regarde avec plus de précision, je découvre un détail que je n'avais pas forcément.
- Je découvre qu'il a habillé ses boutiques, par exemple, à l'intérieur, alors que personne ne va vraiment y faire attention.
- Et tout ça, ça me charme et ça m'attendrit.
- Sur les réseaux, il y a beaucoup de reportages sur les santons, qui est la vraie tradition de la Provence.
- Si on habite Paris, on fait comment pour vivre la magie de Noël ? Eh bien, j'ai une idée, on va à Créteil.
- Et à Créteil, il y a quoi ? Il y a les télécabines.
- Oui, j'ai vu ça.
- Donc, c'est un petit peu l'esprit de la montagne.
- À Paris, à part que sous vos pieds, vous avez la pollution et les voitures, vous n'avez pas les pistes et les sapins.
- En tout cas, ça y est, ça marche.
- Des cabines de téléphériques sur fond de ciel blanc, comme un air de station de ski en banlieue parisienne.
- Mais ce chef d'entreprise ne s'apprête pas à dévaler les pistes.
- Il part travailler et il arrivera plus vite au bureau.
- Ne serait-ce que de gagner une demi-heure sur le trajet total, c'est déjà très important pour nous.
- On pourra endormir un peu plus.
- On va arriver au travail un peu plus reposé, quoi.
- 4,5 km dans les airs, entre le terminus du métro 8 à Créteil et Ville-Neuve-Saint-Georges au sud du Val-de-Marne.
- 18 minutes au total, contre 36 en voiture ou en bus, sans compter les embouteillages.
- Une cabine de 10 personnes toutes les 30 secondes en heure de pointe.
- Mais comme dans le métro, le téléphérique est parfois arrêté pour réguler le trafic, pas forcément rassurant, à près de 40 mètres de hauteur.
- On est arrêté ? Non, bon, ça va aller.
- Non, mais parce qu'il est nul.
- Oui, c'est vrai.
- Alors, ça, c'est exactement ce que je déteste.
- Je ne sais pas si au ski, les télésièges qui s'arrêtent ou la cabine qui s'arrête.
- Alors, moi, je rentre en Ango...
- Pas vous ? Non, non, non.
- On ne s'engouisse pas ? Non, non, pas plus que ça.
- Alors, bon, à Paris, ça va, mais bon...
- En tout cas, il y a des jeunes qui s'amusent dans la télécabine, dans cette télécabine, mais je trouve ça plutôt une bonne idée.
- Ce soir, c'est donc Jean-Luc Richemann.
- On en parlait, mais on reste nostalgique de nos soirées de Noël avec Dorothée ou encore à l'époque de Récréadeux.
- Alors, à...
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