Retranscription des premières minutes :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour Gilles, bonjour Perricot, c'est gentil pour Christine.
- Je suis aussi vous content, j'étais content d'être avec Christine.
- Merci à elle d'avoir été, vous êtes content ce matin, c'est bien.
- Si je vous fais un compliment et vous m'envoyez sur un...
- Mais non, je pense à notre amie Christine.
- Vous devriez penser positif.
- Notre invité Perricot Légas, bonjour, merci d'être avec nous.
- Midi, 14h, Sud Radio, la France dans tous ses états.
- Donc Perricot, on va essayer d'en savoir un petit peu plus sur vous, bien que vous ayez une très longue carrière de journaliste gastronomique.
- Non, vous êtes chroniqueur, comment vous dites ? Non, journaliste vraiment tout court.
- Tout court, oui c'est ça.
- Et ensuite je me suis spécialisé dans l'alimentation, la gastronomie, l'art de la table.
- Avec une dimension politique, toujours.
- Alors j'ai compris à l'événement du jeudi avec Jean-François Kahn qui m'a dit qu'est-ce que tu proposes comme angle, comme propos spécial.
- J'ai dit c'est un patrimoine qui est en train de disparaître, on va faire de la gastronomie avec un petit angle politique, social, culturel, économique pour dire que c'est un trésor qui peut disparaître et qu'il faut le défendre.
- Mais vous avez été victime aussi du fait qu'on vous mette dans cette case cuisine-gastronomie et qu'on ne vous laisse pas parler politique.
- Alors j'ai découvert qu'en France il y a des catégories, des corporations dans le journalisme.
- Donc si vous êtes dans une spécialité, on vous y enferme.
- Sauf les journalistes politiques qui ont le droit d'être partout et tout dire.
- Mais si vous êtes économique ou culturel, il vaut mieux que vous restiez de père en fils comme si on était au Moyen-Âge.
- Et ensuite il y a une autre classification, c'est qu'on n'aime pas le toutologue.
- Donc si on a un peu de culture générale, qu'on a 40 ans de métier et qu'on touche un petit peu à tout ce qu'ils appellent être polyvalent.
- Jean-François Kahn disait qu'il faut être polyvalent.
- Non, vous êtes toutologue.
- Donc toutologue et gastronome, ça ferme les portes plus que ça n'en ouvre.
- Vous allez nous expliquer dans un instant, nous raconter cette tranche, la France dans tous ses états.
- Pourquoi vous avez accepté cette proposition de Patrick Roger ? Vous allez tout nous raconter dans un instant.
- Mais tout de suite, c'est le zapping.
- Ce matin, les 20 otages vivants ont été libérés.
- Vous êtes bien revenus.
- Ils ont été libérés et au même moment, Donald Trump arrivait à la Knesset, le parlement israélien.
- Alors hier déjà, les Israéliens espéraient cette libération et la paix à venir.
- C'est le reportage sur France 24.
- Vous rentrez à la maison.
- Ces mots de l'émissaire américain Steve Vitkoff déclenchent l'euphorie parmi les dizaines de milliers d'Israéliens massés sur la place des otages à Tel Aviv.
- Les mêmes qui célèbrent Donald Trump eut de toutes leurs forces lorsque le nom du premier ministre israélien est prononcé.
- Au premier ministre Benjamin Netanyahou.
- Dans la foule, à la veille ou l'avant-veille du retour des derniers otages à Gaza, l'intense émotion après deux ans de mobilisation se mêle à la colère contre un gouvernement qui a fait durer cette guerre.
- J'espère que c'est mon dernier samedi à manifester contre la guerre.
- Mais je sais que de nombreux samedis nous attendent encore dans notre quête pour renverser ce gouvernement.
- Et c'est l'histoire qui est en direct.
- Vous en avez parlé avec vos débatteurs.
- Et puis hier, il y avait aussi un envoyé spécial en Israël sur France 2 avec Laurent Delahousse.
- Alors ça s'est moins bien passé qu'avec France 24.
- Il a dû interrompre.
- Duplec, je ne sais pas si vous avez vu.
- Non, je n'ai pas vu.
- Écoutez cette séquence.
- L'attente en Israël et l'après qui va continuer à être négocié en Égypte demain en présence de Donald Trump.
- En direct avec nous, notre envoyé spécial à Tel Aviv, Luc Lacroix.
- Bonsoir Luc.
- Israël, ce soir, retient donc son souffle.
- Oui, je peux vous dire que plus cette libération approche, plus les minutes paraissent longues aux Israéliens qui se sont réunis ici ce soir pour ces Israéliens très importants.
- Comme vous le...
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